Comment décrire l’état de béatitude contemplative absolue dans lequel nous a plongé Auditorium. On en viendrait à regretter d’avoir déjà publier le top 10 des jeux chronophages de l’année. Tout fonctionne parfaitement. Le visuel accompagne parfaitement la musique, et on écoute autant qu’on regarde.
Le but est d’activer les pistes musicales en déviant un flux de particules grâce à des zones de force. Plusieurs zones sont disponibles (directions, gravitationelle) et il faut juste trouver où les placer et quelle puissance leur donner. Ensuite ? Ensuite, on profite du spectacle.
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