Rédigé le 10 décembre 2022 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)
"Nous ne formulons qu’une requête : que d’ici le débat du premier tour de l’élection présidentielle, les journalistes et les rédactions prennent l’engagement volontaire de mettre l’accent sur le climat et la biodiversité à hauteur de 20% de l’espace audiovisuel disponible"
2,7%. C'est la place qu'occupe la question climatique dans le débat public lors de cette campagne présidentielle. Il est bien sûr difficile de regarder ailleurs que vers l'Ukraine.
Néanmoins, malgré l'urgence, ce sujet est quasiment absent de la couverture médiatique et des débats dans le cadre de l'élection présidentielle. Pourtant l'urgence est là : le deuxième volet de du rapport du GIEC sur les conséquences du réchauffement climatique - notamment sur la biodiversité - est sans appel. Les solutions de "demain", doivent se trouver aujourd'hui.
Dans ce contexte, le collectif transpartisan QuotaClimat s'est créé avec une proposition simple : que d’ici le débat du premier tour de l’élection présidentielle, les journalistes et les rédactions prennent l’engagement volontaire de mettre l’accent sur le climat et la biodiversité à hauteur de 20% de l’espace audiovisuel disponible.
Vous pouvez rejoindre l'appel que nous vous laçons en signant notre manifeste.
Exigeons un minimum de temps d’antenne pour le climat et la biodiversité !
Le collectif Quotaclimat est une initiative spontanée qui a pour objectif faire résonner une proposition dans le débat public : instaurer un quota dédié au climat et à la biodiversité dans les médias.
Initié par Eva Morel, Anne-Lise Vernières et Lola Morel toutes collaboratrices parlementaires issues de plusieurs partis politiques, le collectif se veut apartisan.
+ 1000 signataires déjà ! Les premiers signataires :
Valérie Masson-Delmotte, chercheur senior au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement ; Jean-Marc Jancovici, président de The Shift Project ; Yann Arthus Bertrand, Fondation GoodPlanet ; Alain Grandjean, président de la Fondation pour la Nature et l'Homme ; Gilles Bœuf, biologiste ; Arthur Keller, spécialiste des risques systémiques ; Cédric Ringenbach, président de la Fresque du Climat ; Arnaud Gossement, avocat spécialisé en droit de l'Environnement ; Matthieu Auzanneau, directeur du Shift Project ; Corinne Lepage, ancienne ministre de l'Environnement et avocate ; Arnaud Schwartz, président de France Nature Environnement ; Eva Sadoun, fondatrice Lita.co et présidente du Mouvement Impact France ; Delphine Batho, ancienne ministre de l'Environnement et députée ; Benoît Leguet, directeur Institute for Climate Economics ; Bettina Laville, Conseillère d'État et Présidente du Comité 21 ; Maud Lelièvre, présidente du Comité français de l'IUCN ; Eric Duverger, co-fondateur de la Convention des entreprises pour le Climat ; Nicolas Dufrêne, haut-fonctionnaire et directeur de l'Institut Rousseau ; Fabrice Bonnifet, directeur Développement Durable chez Bouygues ; Dominique Méda, professeur d'université ; Jordan Allouche, fondateur d'Ecolobby ; Lamya Essemali, présidente de Sea Shepherd France ; Dr Pierre Souvet, président de l’Association Santé Environnement France ; Géraud Guibert, président de La Fabrique Écologique ; Jean-Charles Colas-Roy, député ; Sandrine le Feur, députée ; Delphine Bagarry, députée ; Jean-Luc Fugit, député et président du Conseil national de l'Air ; Albane Gaillot, députée ; Matthieu Orphelin, député ; Aurélien Taché, député ; Marjolaine Meynier-Millefert, Députée ; Noël Mamère, écologiste ; Grégoire Fraty, membre de la Convention citoyenne pour le Climat ; Juliette Nouel, journaliste ; Thomas Friang, fondateur et directeur général de l'Institut Open Diplomacy ; Frédéric Moncany de Saint Agnan, Président du Cluster Maritime Français ; Jean Moreau, Phenix et Impact France ; Philippe Zaouati, Directeur Général de Mirova ; Virginie Raisson Victor, Co-fondatrice et porte-parole du Grand Défi des entreprises pour la planète ; Claire Lejeune, Militante écologiste, membre du Parlement de l'Union Populaire ; Pierre-Emmanuel Saint-Esprit, Directeur Général ZACK - Groupe Manutan International ; Sylvain Angerand, Canopée ; Marine Braud, Ancienne conseillère spéciale de la ministre de la transition écologique ; Frédéric Bordage, GreenIT ; Romain Segond, journaliste ; Raphaël Demonchy, journaliste scientifique à la Fondation ARC ; Mathieu Hennequin, Journaliste au Parisien ; Marion Simon-Rainaud, journaliste aux Echos START ; Anne-Sophie Novel, journaliste
Rédigé le 13 mars 2022 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)
Violaine Degas : Le magazine papier Glamour était en baisse en chiffres de ventes au numéro : cela nous a donc conduit à repenser la formule. Céline Perruche, la rédactrice en chef, avait envie, depuis son arrivée en janvier 2017, de reconnecter les contenus du magazine avec les attentes de son lectorat, de revoir le positionnement éditorial qui ne semblait plus en phase avec son époque et sa cible. Nous voulions nous éloigner des clichés des magazines féminins : ils parlent de mode, de beauté… dans un modèle d'injonction — « Que faut-il que j'achète ? Que je consomme ? » —, qui n'est pas assez ouvert. Or, on peut adorer acheter du maquillage et se passionner pour le changement climatique.
L'idée était donc de remanier le journal afin qu'il offre des sujets plus société, news ou politique, tout en gardant des pans mode et beauté. Des contenus qui passionnent notre audience et que nous voulions traiter différemment : en les ancrant plus dans la réalité des jeunes femmes d'aujourd'hui. À mesure que le concept éditorial s'affinait du côté de la rédaction, nous avons repensé le modèle de distribution des contenus, en accordant une place plus forte au digital et au social. Nous sommes allés sur des thématiques plus conversationnelles et où les plateformes sociales peuvent jouer un rôle plus grand que ce que l'on pouvait faire jusqu'à présent.
Lire l'article : http://storyjungle.io/entretien/-la-vraie-question-est-comment-donner-envie-aux-lecteurs-de-payer-pour-du-contenu-_a-210-5315.html
Rédigé le 08 avril 2018 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)
Toutefois, si l'identité de chaque réseau social reste assez forte pour se permettre d'imiter certaines fonctionnalités de leurs concurrents, celle-ci connaît ses propres limites. Ainsi, au début de ce mois de février, Twitter a connu les foudres de ses utilisateurs après qu'un article de BuzzFeed a annoncé la fin de la chronologie sur le fil des utilisateurs. Ces derniers ont créé le hashtag #RIPTwitter pour exprimer leur vif mécontentement.
"La limite pour les évolutions d'un réseau social, c'est que l'utilisateur se sente dépossédé de son outil", analyse Yann Guégan de Dansmonlabo.com. Or, Twitter c'est le direct par excellence et donc la nécessité de la chronologie des tweets. Le fondateur du réseau social, Jack Dorsay a dû lui même rassurer les utilisateurs. " Le réseau social Digg avait pour sa part perdu quasiment toute son audience après avoir refait sa page d'accueil dans le but d'élargir sa communauté", rappelle le journalisteEn imitant les fonctionnalités de Snapchat ou de Twitter, Facebook ne prend donc pas véritablement de risques. Au contraire, c'est une manière de dire aux jeunes, très fidèles à l'application de photographies éphémères, qu'ils trouveront sensiblement les mêmes options sur Facebook
Rédigé le 21 mars 2016 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé le 12 novembre 2015 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé le 12 novembre 2015 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé le 12 novembre 2015 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé le 12 novembre 2015 dans 01 Perspectives dans les media | Lien permanent | Commentaires (0)