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Rédigé le 29 janvier 2009 dans 3 Themes d'innovation en cours | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Plus d'infos sur www.lesaperosdujeudi.com
http://www.lenouveleconomiste.fr
Le rapport d'innovation de courts circuits sur "la valeur de l'information dans la presse écrite" sera présenté a 20h30
Les titres de presse écrite ne se sentaient pas en péril tant que leurs lecteurs estimaient payer le prix acceptable pour leurs publications. Mais aujourd’hui, c'est la valeur de l’information qui est remise en question. Et ceci alors que l’information, dans un monde complexe et en mouvement rapide, est au cœur de toutes nos décisions, de nos actions....
Le danger vient non moins de la presse gratuite d'information que par le Web qui diffuse l'information en même temps que l ‘événement se déroule, que la conversation a lieu, et que les émotions jaillissent.
C'est certainement en abordant l'information dans sa circulation entre ceux qui font l'information, entre le papier et le web, entre les gens qui la lisent et la commentent ...que nous pourrons recréer des écosystèmes viables qui garantiront une information de qualité qui se paye a son prix.
Plus d'informations : www.courtscircuits.fr
NOUS JOUERONS AU VOLEUR ET A LA VICTIME A 21h
Façon «pickpocket » de R. Bresson, ou nous allons déborder d’imagination pour imaginer des situations de vol mises en scènes comme un roman photo. Comme une métaphore et une réflexion de la situation actuelle nous proposerons de vous mettre dans la peau d’un voleur. Jean Cemeli et David Dao shooteront des scènes de vols très glamour dont vous serez les acteurs.
A cette occasion des artistes vous exposeront leur vision du vol contemporain.
Nicolas Receveur, David Dao, Anne-Flore Cabanis, Natcha de la Grandville, Benjamin Hélion et Gaétan Bros.
Un évènement organisé par Jérémy Dumont, Cyril Skinazy, Sans Interdits ARTS avec l'aide du Nouvel Economiste
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Rédigé le 22 janvier 2009 dans 3 Themes d'innovation en cours | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
LA VALEUR DE L’INFORMATION DANS LA PRESSE
De nombreux journaux sont dans l’impasse économique ou s’y acheminent.
Les états généraux de la presse écrite sont en train de se sont tenus pour remédier à une baisse tendancielle de la diffusion, un déficit chronique d’un certain nombre de titres, et de nombreuses menaces de disparition de journaux, un vieillissement du lectorat, ainsi qu’à une contraction des rédactions. Confrontés à un redoutable effet de ciseaux, avec la hausse des coûts d’un côté, la baisse des recettes de l’autre, qu’il s’agisse des ventes, de la publicité, ou des annonces, de nombreux journaux sont dans l’impasse économique ou s’y acheminent.
Les groupes de presse qui évoluent suivant une logique économique ne se sentaient pas en péril tant que leurs lecteurs estimaient payer le prix acceptable pour leur publication. Mais aujourd’hui, la valeur de l’information est mise en péril.
Et ceci alors que l’information, dans un monde complexe et en mouvement rapide, est au cœur de toutes nos décisions, de nos actions, et qu’elle attise les convoitises de ceux qui peuvent avoir intérêts à manipuler l’opinion où influencer le comportement des masses : politiques, industriels, publicitaires…
L'Élysée propose de créer des groupes de presse "champions internationaux" pour remédier à la crise. Il invite à nous inspirer des journaux à succès de l'étranger (BBC en Angleterre, El Pais en Espagne, qui assurent un meilleur échange entre tous les supports (presse, radio, télé, numérique (internet, mobile...). Mais qu’en est-il de l’indépendance de la presse, de la qualité de l’information, du rôle du journaliste si on s’achemine vers une solution ou l’information est traitée comme de la data qu’on met dans plusieurs tuyaux et le journaliste comme un homme orchestre qui doit retranscrire l’information en texte, son, vidéo, flux RSS pour tous les canaux simultanément ?
Le danger vient non moins de la presse gratuite d'information qui attire les lecteurs qui n'ont jamais été tentés par le payant, que par le Web. En effet, l'information émanant du Web est gratuite, claire, immédiate, efficace, mise en images et en vidéo, on demand. Elle se diffuse à chaque seconde, en même temps que l'évènement qui la fait, en même temps que l ‘événement qui se déroule.
Alors que faire d'une information qui n'a semble-t-il plus de valeur car posée sur le papier, figée, dépassée ? Quel prix est-il bon de payer aujourd'hui pour de l’information relayée par la presse écrite ?
Et surtout comment augmenter la valeur perçue de l’information pour que l ‘écosystème de l’information soit pleinement viable pour toutes les parties prenantes les médias, les journalistes, les lecteurs et les annonceurs ?
Des pistes pour revaloriser l’information en fonction des attentes des lecteurs
Aujourd’hui la valeur de l’information sur le papier réside dans son traitement.
Les journalistes l’analysent, la mettent en perspective, valident les sources, l’illustrent.
Il faut aller encore plus loin pour parvenir à augmenter la valeur perçue de l’information dans la presse. Plus loin…au plus prés des attentes des lecteurs…
Bref la traiter en fonction de leurs attentes spécifiques, en pleine affinité avec eux.
Il existe plusieurs pistes de réflexion possibles, puisque chacun de nous valorise une information d’une façon différente :
- Brute : le lecteur se fait son opinion
- Transparente : l’information transparente : le lecteur suit l’information à la trace pour la valider en fonction des relais d’information
- Opérationnelle : elle devient un moyen de réalisation
- Gratuite : sa valeur est aussi dans son rapport qualité prix
- Ethique : sa valeur vient des valeurs et opinion des personnes qui la diffusent
- Expérientielle : il y a partage d’expériences
- Exclusive : il n’est pas accessible a tout le monde, rédigée par des experts
- Hyper disponible : disponible immédiatement
- Hyper-pertinente : l’information est ciblée
Le nouveau rôle de la presse : aggrégateurs d’information et de communautés d’intérêts.
Jusqu’alors la presse faisait particulièrement autorité face à d’autres grands médias comme la télévision ou la radio. Mais les gens ont accès à de plus en plus de sources ultra ciblées, que ce soient des médias presse, la télé…là ou ils veulent, quand ils veulent.
De plus, tout le monde aujourd’hui peut devenir producteur de contenu, et diffuse via les plateformes de blogging ou micro-blogging.
Il faut se rendre à l’évidence : l’information n’est plus maîtrisable et maîtrisée. Nous assistons à la montée d’un besoin grandissant de filtrage, de hiérarchisation et de simplification de l’information.
Certaines personnes sur internet, choisissent et organisent de façon quasi professionnelle leurs flux d’information grâce aux applications netvibes ou autres igoogle, la ou un très grand nombre de personnes sélectionnent leurs chaînes de TV en choisissant tel ou tel bouquet satellite, ou en choisissant leur journal au kiosque.
On voit paraître un besoin d’agrégation de l’information à la fois individuelle et collective.
C’est pour cela que la presse doit s’adapter. La presse doit donc désormais se présenter comme le meilleur point d’entrée pour prendre connaissance de l’ensemble de l’information qui circule dans la presse, internet, à la TV, de bouche à oreilles et qui est pertinente pour les lecteurs. Elle doit ainsi agréger, en faisant remonter l’ensemble des prises de paroles et en les intégrant : il ne s’agit plus de faire cohabiter l’information «officielle » aux cotés de l’information « non officielle » comme par exemple sur le site web du monde.
Dorénavant pour les journalistes, c'est comme si le vrai travail commençait après la diffusion d’une information. Ils deviendraient plus que jamais aggrégateurs de contenus similaires a ceux qu’ils ont signés et animateurs de communautés d’intérêts autour de ces contenus réunit. Cela permettrait a certains contenus d’émerger dans la presse et sur internet alors qu’ils n’étaient pas encore connus par les journalistes, cela permettrait d’effectuer périodiquement une grande synthèse.
Le développement de services autour de l’information
Puisque Internet a démultiplié les points de relais de l’information, on assiste à une scission entre le média et l’information. Il est donc important de coller au plus près des usages et de mieux appréhender les contextes de vie pour sélectionner au mieux les points de diffusion et la nature des contenus. "Direct soir" n'est que le début d'un grande vague d’innovations contextuelles dans la presse.
Les médias doivent coller a l’actualité des usagers avant tout, en suivant leur consommation d’information d’un média à l’autre : l'information doit décoller a la radio, s'imposer sur le papier, s'étaler sur le net, se partager a la TV...se diffuser de bouches à oreilles...et se retrouver en bas d'un article.
Mais surtout, en prenant pied dans la vie des gens qui utilisent cette information pour réaliser des actions concrètes a un moment ou Internet et le mobile bouleversent l’ordre établit dans la presse traditionnelle : c'est le lecteur qui va vers le contenu et non plus l'inverse….et il le fait quand il a un besoin immédiat, une envie a réaliser, ou un projet a construire.
C’est une évidence, la presse écrite doit réagir rapidement. Mais les différents participants des états généraux de la presse seront-ils assez volontaire pour mener à bien les mutations nécessaires et assez créatifs pour développer de la valeur ajoutée plutôt que de réaliser des économies d'échelles en créant des grands regroupements médias ou ils sont surs d’aboutir à des points de convergences ? Repensons le rôle des médias, développons les services, revalorisons l’information avec créativité, courage et bon sens.
Jérémy dumont, directeur de pourquoi tu cours (l'agence des idées)
Les membres de courts circuits suivants travaillent ensemble sur ce thème d'innovation :
-
Lisa Ernst, journaliste - chargée de communicaton audiovisuelle et éditoriale
- François Laurent, Consumer Insight
- Alain Giraudo, ancien journaliste et fondateur du "Monde
interactif"
- François Sergent, rédacteur en chef Libération
- François Kermoal, rédacteur en chef Stratégies
- Eric Scherer, directeur analyse stratégique AFP
- Jean Maxence Garnier, directeur et fondateur de Think Out
- Philippe Plassart, rédacteur en chef, Le Nouvel Economiste
- Isabelle Fredriksson, chargée de mission, Association de la promotion
de la presse magazine
- Michel Lévy Provençal, responsable nouveaux medias, France 24
- Bruno Ricard, directeur marketing, syndicat de la presse régionale
- Marie-Estelle Rybinski, Directrice de publicité cross media, Mondadori France
- Marcelle Blandel, Directrice audience marketing, Orange
- Marc-Philippe Dubreuil, Ad&So Consulting – Cohom
-
Judith Sautereau, Project manager, Symantec
- Benoît Raphael, Rédacteur en chef lepost.fr
- Isabelle Crouzet, fondatrice de Cozop
- Pascal Beauchesne, consultant, Lab Foundation
- Christophe Rebours, directeur In Process
- Stéphane Chirie, COO Yoowalk
- Leila Berrached, chargée de la
connaissance média (Argus presse).
-Jean Yves lemoine -Spécialiste de la convergence TIC,usage et contenu
-Eves demange blogueuse, spécialiste du web
-Xavier dordor directeur APPM
-Marie laure lerole directrice pôle presse, Ipsos média
-David Hanau Responsable des contenus web, Isobar
AXES DE REFLEXION
PREMIER AXE : Comment favoriser un écosystème
logique entre les 3 principaux systèmes de traitement de l’information
dans la presse : « les faits », « les opinions », et « le sensationnel
» ?
Il semblerait que la viabilité de la presse «
d’opinion » et de la presse « à sensation » soit bonne. Par contre
l’équilibre économique de la presse « de faits » est plus difficile car
l’information traitée par les journalistes a un cout qui n’est pas
couvert intégralement alors que la presse d’information gratuite et
internet font abonder l’information brute.
1) Analyse des quatre systèmes de traitement de l’information
2) Quelles synergies trouver entre les quatre systèmes ?
DEUXIEME AXE : Quels sont les nouveaux enjeux de la libre circulation de l’information portée par les NTIC?
Ou
comment les médias peuvent recréer les conditions d’un dialogue entre
les différents acteurs qui participent a sa circulation ? Les grands
médias ne sont plus les seuls émetteurs et les gens commentent les
informations diffusées. Pourtant, ces échanges ne sont pas organisés de
manière satisfaisante et aujourd’hui cette libre parole, rendue
possible a grande échelle par les technologies, mais non-organisée est
cacophonique.
1) Humaniser l’émetteur pour recréer les conditions d’un dialogue
2) Mieux gérer l’interactivité des médias
- Identifier les lieux d’échanges
- Clarifier les niveaux de prise de parole entre ceux qui font l’information et ceux qui la commentent
3) Faire « la grande synthèse » :
Comment les medias gardent la main en étant non seulement émetteur mais aussi opérateur de synthèse de la grande conversation.
TROISIEME AXE : L’accès personnalisé à l’information comme service ultime « à la carte »
Et si la personnalisation était un service ?
Et
si l’ultime moyen de personnaliser son offre c’était de permettre aux
gens de faire leurs choix eux même en fonction de leurs propres désirs ?
1) Fragmenter l’offre d’information en fonction de profils types pour permettre une agrégation personnalisée
2) Optimiser la synergie multimédia (papier/internet/multi mobile) autour de plateformes d’accès
Ex : Carte d’abonnement, site internet de pilotage
3) Offrir une vision panoramique de l’information (pour faire découvrir l’ensemble des possibilités)
QUATRIEME AXE : Renforcer la dimension communautaire des médias
L’enjeu de l’information est aujourd’hui économique, politique et social ?
A qui sert l’information ?
A quoi est elle nécessaire et utile ?
Une question de sens, le retour de la MARQUE !
1) Quels sont les enjeux de l’information pour les lecteurs, les annonceurs, les actionnaires.
2) Comment la presse se met au service de ses communautés d’intérêt (lecteurs, annonceurs, actionnaires).
3) La nouvelle approche des communautés : les communautés de sens (intra et intercommunautaire)
CINQUIEME AXE : Quels sont les nouveaux modèles d’éditorialisation de l’information dans la presse : Les avis d’experts
6-1) L’approche des agences de contenu
6-2) L’approche des concepteur-rédacteurs
6-3) Comment travaillent les comités éditoriaux en presse papier / web ?
SIXIEME AXE : Comment l’information se transmet-elle au quotidien ?
Questionnaire administrée à plusieurs personnes qui au quotidien transmettent de l’information.
"Quand vous avez une information à partager/communiquer à une autre personne,
1)
Comment vous y prenez vous ? (jouez vous sur un registre rationnel ou
émotionnel ?/Faites vous autorité ou jouez vous de votre empathie).
2) Dans quelle mesure lui laissez-vous la parole ?
3) Dans quelle mesure prenez vous en compte sa réponse ?"
Planning des réunions restantes:
· Vendredi 9 janvier 9h30 chez pourquoitucours (8 rue Myrha, 18eme)
· Vendredi 16 janvier 9h30
· Vendredi 23 janvier 9h30
une initiative de courts circuits
Publié sur : courtscircuits
CREDIT : Aldo perben
Rédigé le 12 janvier 2009 dans 3 Themes d'innovation en cours | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
....Des petites histoires comme traces d’une grande histoire.....
La culture est un ensemble de pratiques et de croyances.
Le but d’un créateur de culture, le but de toute marque, est donc d’organiser ces croyances et ces pratiques, de les orienter, de les catalyser.
Les histoires jouent un rôle essentiel, par leur capacité à formaliser des modèles, à être des tuteurs psychosociologiques.
Nike invite à la transcendance. Elle le fait en s’appuyant sur des récits ponctuels, mosaïques, qui renvoie à l’air du temps comme à son méta-récit.
Storytelling signifie littéralement raconter une histoire en anglais.
Le Storytelling est la version moderne de l’art de la transmission et de la conviction par le pouvoir des histoires. Il consiste à faire émerger une ou plusieurs histoires à fort pouvoir de séduction et de conviction. Selon le principe que pour parler à la tête, il faut souvent d’abord toucher le coeur. Autrement dit passer par l’émotion pour atteindre la raison.
Les contributeurs de ce rapport d’innovation :
Jérémy Dumont (Directeur Planning stratégique, Pourquoi tu cours)
Morgane Craye (Assistante Planneur stratégique, Pourquoi tu cours)
David Hanau (Responsable des contenus web, Isobar)
François Gomez (Consultant en marketing événementiel)
Simon Bachelet (Planneur Stratégique, Mediacom)
Alexandre Pasche (Directeur, Eco & Co)
Janique Laudouar (Chef de Projet, Artank)
Jérome Barbe (Directeur de Création, TBWA/EXCEL)
Frédéric Farrugia (Co-fondateur, You to You)
Stéphane Dangel (Consultant en communication et storytelling)
Jean Pascal Debailleul (Horakles Consultant, La voie des contes)
Christian Salmon (Ecrivain)
Virginie Breton (Consultante en stratégie de marque, Argile Marketing)
Anne Caroline Paucot (Hyaka)
Jean Yves Le Moine (Créateur et réalisateur)
Reuben Steiger, CEO of Millions of Us
Robert Zarader (Equancy)
Pablo Altes (Designer numérique)
Laurence Malenson (Directrice Planning stratégique, Rouge)
Mehdi Mejri (Planneur stratégique, Rouge)
Nicolas Mirguet (Chef de Projet, Vanksen Culture Buzz)
Luc Offerlé (Directeur éditorial, Pressendo)
Djamchid ASSADI (Séminariste et auteur)
Cedric François (Directeur de Création, Nouvel Œuvre)
Hugues de la Rochefordiere (Directeur Editorial, La Télé des Marques)
Roger Nifle (Président de l’Institut de la prospective humaine)
David Bourguignon,(Business developer, Masa Group)
Sandrine Clavelly (The Place to Be)
Maud sauvagé (Planneur stratégique)
Laurence Saquer (Planneur Stratégique et Sociologue)
Catherine Gheselle (Auteur Rédactrice Multimédia)
Anne Marie Soderberg, Professeur de communication organisationnelle
Pierre Nicolas Combe (Assistant Réalisateur)
Aurélie Charpentier, Auteur
Delphine Baillergeau (Maître de Conférences en Sciences de Gestion)
Sebastien Durand (Consultant en communication et storytelling)
Sam Ford (Convergence Culture Consortium, MIT)
Charles Antoine Colomb (Directeur Conseil, Ogilvy PR)
Ivanne Rialland (Chercheur, Paris IV Sorbonne)
Rémy Lorioz (Etudiant en Ecole de Commerce)
Michel Drac (Co-fondateur, Sciptoblog.com)
Stéphane Lautissier (Consultant en marque et marketing relationnel)
Annabelle Klein (Directrice Département, Facultés Notre Dame de la Paix)
Gill Wildman et Nick Durrand (corporate storytellers, Plot UK)
Amine Chellali (Doctorant à l’Ecole des Mines de Nantes)
Camille Rooy (CMA CGM)
Cathy Breda (Professeur au Groupe Ecole de Commerce Chambéry)
Fernandez Sauveur (Conseiller en marketing, L’Econovateur)
Henry Jenkins (Director of the MIT Comparative Media Studies Program)
Eric Miller (Director, World Storytelling Institute)
François Filliettaz, Auteur
LE RAPPORT CI DESSOUS EST VISIONABLE ET TELECHARGEABLE
Vous pouvez également le télécharger directement :
Téléchargement Présentation storytelling Intro def [Mode de compatibilité]
Téléchargement Présentation Storytelling Partie 1 def [Mode de compatibilité]
Téléchargement Présentation Storytelling Partie2 def bis [Mode de compatibilité]
Téléchargement Présentation Storytelling partie 3 [Mode de compatibilité]
Rédigé le 08 janvier 2009 dans 4 Themes d'innovation traites | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
courts circuits sur la Socio Performance
envoyé par pourquoitucours. - L'info video en direct.
La liste des contributeurs de ce rapport d'innovation :
Roger Nifle (président de l’université de la prospective humaine)
Jérémy Dumont et Sophie Demol (Pourquoitucours)
Nicolas Marang (crisis manager l‘Oréal)
Alain Lefebvre (consultant NTIC)
Laurent Ponthou (directeur insight et expérience client, Orange Labs)
Serge Perez (président, les Ateliers Corporate)
François Marie Pons (auteur du livre «l’innovation à tous les étages »),
Daniel Luciani, (directeur général Icom)
Laurent Vanexe (stratégie et coordinateur réseau Good action)
Laurent Térisse (directeur agence Limite)
Olivier Maurel (Danone community)
Michel Lévy Provençal (fondateur Zutopik)
Yves Michel (éditeur indépendant, éditions Yves Michel)
Mathieu Coste (chief chaos officer nearby)
Martin duval (Ceo Blue Nove)
Isabelle et Thierry Crouzet (Créatrice de Cozop)
Florent Niwinsky (agence Elegangz)
Laurence Saquer (planneuse stratégique et sociologue)
Vincent Berthelot (responsable intranet RH)
Céline Ruffet (directrice france, Qype)
Anne-Stephanie Pierry (responsable communication, Crédit coopératif)
Philippe Noel (planneur stratégique)
Francis Cholle (écrivain, « l'intelligence intuitive »)
Olivier Zara (écrivain, « management de l’intelligence collective »)
Posté sur : courts circuits
Posté par : jérémy dumont
Rédigé le 02 janvier 2009 dans 1Bis Courts circuits en vidéos | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)