Les
oiseaux de mauvais augure dressent un portrait sombre d'une société en
mal d'avenir et d'ambitions collectives. A les entendre, les jeunes
contestent moins, les créatifs suivent la mode, les philosophes
bégaient...
Dans leur description, ils oublient que si le contexte économique,
politique et social incite à la morosité, il est aussi porteur de
contradictions génératrices de nouvelles énergies : Les excès
d'individualisme redonnent le goût pour la réflexion collective ; Les
pertes de sens incitent au bon sens créateur de nouvelles utopies ; La
technologie crée des liens et autant de nouvelles envies de faire
ensemble.
Ensemble...collectons, rassemblons, métissons tous les idées, rêves,
énergies existantes. Les objectifs sont que chacun puisse avoir des
rêves assez hauts pour ne pas les perdre de vue et écrire un futur
commun désirable qui nous permettra de le choisir et non plus de le
subir.
NOUVEAU THEME : Le sport... et ses excès : argent, compétition, culte du corps. Marketing sportif, comment les marques peuvent-elles contribuer à un nouvel esprit sportif?
CONTACTE NOUS SI TU VEUX PARTICIPER...LE PROCHAIN RENDEZ-VOUS AURA LIEU LE JEUDI 19 JUIN À 9H DANS NOS BUREAUX AU 8 RUE MYRHA 75018 PARIS (METRO CHATEAU ROUGE, LIGNE4)
L’idée que l’on se fait du sport s’associe souvent à une notion de valeurs partagées. Valeurs englobant de nombreux critères : loyauté, honnêteté, acceptation des règles, respect des autres, respect de soi-même, égalité des chances, accepter la défaite avec dignité, garder le respect de l’adversaire dans la victoire, ne pas utiliser de moyens déloyaux, respect de l’officiel et acceptation de ses décisions, contrôle de ses émotions… Le marketing sportif de nos jours exploite cette tendance et se positionne à travers des valeurs.
Cependant le sport ne représente pas que des valeurs mais est également régit par des règles. Or aujourd’hui, les règles semblent poser problème vu les nombreux accrochages récents sur le terrain et hors terrain : durant les matchs de football, certains joueurs subissent insultes racistes ; les milieux du cyclisme, athlétisme sont fréquemment frappés par le scandale du dopage ; les supporters n’acceptant pas la défaite deviennent violents aux sorties de matchs… Les règles restent l’écriture d’une façon de faire, sont le résultat d'une pratique. Mais il s’emblerait que les pratiques aient évolué plus vite que les règles et qu’aujourd’hui celles-ci ne soient plus adaptées à une nouvelle réalité que vivent les joueurs, ce qui fait que certaines personnes refusent de jouer avec d’autres, que les manageurs ne sachent plus comment manager, que les supporters ne se supportent plus…et que le spectateurs suivent un autre jeu que celui pour lequel ils avaient allumé la télé. Des jeux d'influence, d'argent, de stars...
En effet, aujourd’hui on ne semble plus faire du sport, le sport est comme devenu un prétexte à autre chose...et que la course à la victoire soit devenue un but en soi, pour des raisons politiques ou économiques, sans se soucier des moyens pour y parvenir. Les J.O de Pékin ont comme très souvent une dimension politique très forte et cette année de nombreux citoyens se demandent s'ils doivent jouer avec les citoyens chinois, est-ce que c’est une équipe ou un pays, une ville qui a joué sur les terrain de foot cette saison lors du déclassement de Lens qui plongea une région dans le désespoir, les côuts de retransmission du foot ou du rugby sont toujours un bras de fer entre les diffuseurs et lorsque les sommes atteignent 600 millions d’euros pour le foot, payées par Canal + pour les droits de 2008, on peut se dire que l’argent est devenu une part intégrante du sport , d’ailleurs est-ce que les joueurs jouent par amour du sport ou pour l’argent (les joueurs du PSG qui demandent une augmentation pour ne pas passer en ligue 2), et les régates se multiplient sans pour autant avoir de particularités pour montrer des stars embarquées dans des navires avec de gros logos sur les voiles….Pour qui les sportifs jouent ? Pourquoi jouent-ils ? Comment jouent-ils, alors que le sport s'inscrit de plus en plus dans un contexte socio-économique qui dépasse tout le monde?
Les règles sont de plus en plus importantes dans le sport comme dans la vie de tous les jours, vu l'effondrement des repères traditionnels. Les redéfinir est un véritable enjeu, le sport comme tout les autres jeux, est un moyen idéal.
Y a-t-il aujourd’hui une opportunité pour les marques, à travers le sport, de non seulement représenter des valeurs, mais aussi proposer de nouvelles pratiques et règles ? Marques de sport, sponsors, ou medias sportifs...ou ....
Estelle Lesure, Chargé de veille image, Sesame-ouvre-toi
Jérémy Dumont, Directeur et planneur stratégique, pourquoitucours ? (l'agence des idées)
Olga Kaniki, assistante planneur stratégique, pourquoitucours ? (l'agence des idées)
LES QUESTIONS QU ON VOUS POSE :
Nous assistons à l’avènement d’un sport médiatisé sous le signe de l’individualisme et de la compétition. « L’éthique du sport peut-elle encore être « vendue » comme une idée moderne ? À l’heure de la mondialisation et de la loi de marché, dans une société ultralibérale qui ne reconnait que la réussite et ne jure que par la compétition, difficile de convaincre l’athlète que rien n’a changé pour lui depuis un siècle et que l’essentiel est toujours de participer » (N.Guillon et G.Nicolet, ibid). On parle plutôt de « sport spectacle» générant de grands enjeux économiques et politiques, exacerbant la compétition, générant des batailles d’audience, des manifestations violentes, des fraudes pour gagner (dopage, match truqué)…
QUELS SONT LES SPORTS DE DEMAIN ? Ainsi, aide nous à trouver des sports dont la pratique, les règles sont génératrices d’un nouvel esprit sportif Des sports moins connus par exemple, le Yoga où la notion de classement n’existe pas entre amateur et professionnel, (place dans un retour à soi, une union à soi). De nouveaux sports inspirés de sports populaires, avec de nouvelles règles. Par exemple, le « beach soccer » se pratique dans un environnement associé à la détente la plage, avec une équipe plus restreintes (5 joueurs pouvant être remplacés à tout moment) et une adaptation des règles du football.
COMMENT DECLOISONNER LE SPORT ? Aider nous à décloisonner le sport qui aujourd’hui représente : - fermeture sur soi, l'individualisme. Une relation de dualité avec les autres. - une fermeture dans l’espace car le plus souvent le sport se pratique sur un terrain bien délimité ou un stade, un gymnase - un temps "présent", celui de la rencontre au cours de laquelle l’homme se doit de tenter de réaliser le meilleur score en un temps minimum... - un diktat du corps où le corps devient vitrine d’une bonne pratique sportive. Le corps sportif devient modèle d’esthétisme, un corps sain se doit d’être musclé. Par exemple, un sport ouvert sur la nature tel que la randonnée pédestre qui s’organise autour de circuits en pleine nature et dont le but n’est pas d’arriver le plus vite mais de découvrir des paysage en suivant un trajet définit par un moniteur.
Y A T IL DES EXEMPLES DANS LE MARKETING,LA COMMUNICATION, LES MEDIAS ENCOURAGEANTS ? Aider nous à trouver des exemples de marques qui incitent à un nouvel élan sportif, un nouvel esprit sport dans l’esprit de la publicité de la BNP représentative d’un jeu collectif(http://www.musiquedepub.tv/), où la campagne Adidas qui adopte un positionnement plus collectif qu’individuel contrairement à son concurrent direct Nike.
Jérémy Dumont, directeur de pourquoi tu cours.
PRESENTATION DU COURTSCIRCUITS LORS DE LA SOIREE "LES APEROS DU JEUDI" QUI AURA LIEU LE JEUDI 26 JUIN À PARTIE DE 19H-23H, À LA SCENE BASTILLE (2 BIS RUE DES TAILLANDIERS 75011 PARIS, METRO : LEDRU-ROLLIN OU BASTILLE) : www.lesaperosdujeudi.com
Soirée filmée Céline de Connexion Prod, et photographiée par véronique (ici) et hugues (ici) le jeudi 15 mai 2008 de 19h à 22h30 Avec une équipe de connecteurs de SUP DE PUB. Et deux masseurs : magalie (ici) et cédric (ici)
Au chai du parc de bercy, Paris 12eme: en sortant de métro
Bercy, se diriger vers la cinémathèque française, continuer dans cette
direction jusqu'au Chai ( bâtiment rouge près longé par un potager)
KYOSEI, grand prix du développement durable : marketing, communication, média, création. clic ici pour en savoir plus.
Le jury....
Les présidents du jury seront :
Jacques Olivier Barthes, directeur de la communication, WWF Jérémy Dumont, directeur de pourquoitucours Delphine Gamblin, commissaire du Festival International de l'Image Environnementale
Le jury sera composé de l'ensemble des membres de courtscircuits de cette année (voir ci dessous)
Human after all ! L'enjeu de la grande conversation médiatique www.courtscircuits.fr
Les médias, marques, agences de communication relèvent ce nouveau défi. Deux armes : la réalité vécue par les gens (notre étude sur "l'accomplissement de soi"), la gestion de l'open source (notre étude sur le "community planning").
Avec les membres de courtscircuits suivants: Simon Bachelet, Planneur stratégique, MEDIACOM. François Laurent, coprésident de l'ADETEM et Blogueur (MarketingisDead) Shirley Braga-Postel, Responsable du développement stratégique, l’ORÉAL. Laurent Ponthou, Directeur deal flow et customer expérience, ORANGE LABS. Boris Sawicka, Responsable salons des médias (Média Spring). Jean-Maxence Granier Directeur et Fondateur de THINK OUT. Alain Beauvieux, président de AMI Software Pierre La Carbona, consultant new media mobile TV, SOFRECOM. François Le Pichon, Directeur artistique et Responsable User Experience, VIRTUOZ Pascal Bidault, Président-Fondateur, CUBB. Olivier Mouliérac, Directeur de création, EURO RSCG. Leïla Berrached, Chargée de la connaissance médias, ARGUS PRESSE. Géraldine Tilly, Responsable Marketing, JET MULTIMEDIA.
Human after all ! L'enjeu de la grande conversation médiatique
Dans un monde digitalisé... Tout est média : les médias, les marques, nous, moi. Il y a pléthore de contenus numériques disponibles : divertissement, information, évasion... L'enjeu est désormais dans l'activation des données numériques. Les données ne sont plus uniquement informatives, elles deviennent des moyens d'accomplissement.
Rendre les données « activables » semble réclamer le retour
d'une part
d'humain : rendre les moteurs de recherche plus humains,
ou traduire
l'idée que derrière le contenu il y a un humain comme moi.
- Comment le terminal à venir pourra t'il interpréter
et "comprendre" le
contexte ? Devra t'il "suggérer"
du contenu (à la manière des smart
radios ou de l'algorithme
Amazon, par induction) ?
- Ce développement du média contextuel passe t'il par
une humanisation
de la technologie, de l'interface ?
Dans quelle mesure ? En quoi le
contenu des médias
contextuels est-il spécifique ?
- Est ce que la solution est de faire confiance à des communautés
d'intérêts "mon meilleur moteur de recherche c'est
ma communauté"...et
aux applications de type social glue... ?
Les médias, marques, agences de communication relèvent ce nouveau défi. Deux armes : la réalité vécue par les gens (notre étude sur "l'accomplissement de soi"), la gestion de l'open source (notre étude sur le "community planning").
Avec les membres de courtscircuits suivants: Simon Bachelet, Planneur stratégique, MEDIACOM. François Laurent, coprésident de l'ADETEM et Blogueur (MarketingisDead) Shirley Braga-Postel, Responsable du développement stratégique, l’ORÉAL. Laurent Ponthou, Responsable insight et customer expérience, ORANGE LABS. Boris Sawicka, Responsable salons des médias (Média Spring). Jean-Maxence Granier Directeur et Fondateur de THINK OUT. Alain Beauvieux, président de AMI Software Grégory Pouy, CEO, BuzzParadise (VANKSEN Group) David Hanau, directeur de clientèle, Isobar Pierre La Carbona, consultant new media mobile TV, SOFRECOM. François Le Pichon, Directeur artistique et Responsable User Experience, VIRTUOZ Pascal Bidault, Président-Fondateur, CUBB. Olivier Mouliérac, Directeur de création, EURO RSCG. Leïla Berrached, Chargée de la connaissance médias, ARGUS PRESSE. Géraldine Tilly, Responsable Marketing, JET MULTIMEDIA. Dylan Devillers, COMMUNITY CHEST. Raphaël Berger, Responsable Adjoint Département Consommation, CREDOC
Le
cours des matières premières végètales augmente, les agriculteurs sont
tentés d'avoir recours aux OGM's pour nourrir le monde, les industriels
se soucient plus des questions d'hygiène que de la réalité
nutritionnelle finale, les distributeurs rachêtent des filiaires
entières de production pour contrôler leurs fournisseurs...on voudrait
nous faire croire que seul notre pouvoir d'achat nous préoccupe alors
que notre santé, notre bien être, notre vitalité dépendent de ce qu'on
mange.
La nature c'est la vie, ce n'est pas un produit comme les autres !
Nous
militons pour une communication alimentaire plus responsable : Bio,
fraiche, bonne pour la santé, nutritionnellemement juste...
Les membres de courtscircuits suivants feront 10 propositions : Bruno David, président fondateur de Communication Sans Frontières/ directeur associé TBWA Non Profit. Arnaud Lemoine, Responsable de la communication, FNSEA (federation nationale des exploitants agricoles) Marie Martin-Pêcheux, mouvement CiTerrien, www.citerre.org Natacha Benard Isautier, chargée de mission ONIGC (office interprofessionel des céréales) Elisabeth Lerminier, direction des services éducatifs, France 5 Pascale Hébel, directrice département consommation, Credoc. Corinne Ben Soussan, créatrice culinaire, Cuisines à Cœur à Marseille
Cédric Gossart, membre du conseil d’administration de l’office français
FEEE (fédération pour l'education à l'environnement) Alexandre Pasche, écrivain et fondateur d’Eco and Co. Véronique Sauret, directrice générale, Agence Verte. Anne-Stéphanie Pierry, responsable communication commerciale, Crédit Coopératif. Philippe Noël, Planneur Stratégique freelance. Julien Ledortz, directeur associé, Agence Et Si. Rudy Brancquart, journaliste, Questions de Santé, France 5. Sauveur Fernandez, consultant en communication et innovation responsable et www.econovateur.com Siegrid Dumas, fondatrice de www.menudujour.fr Pierre Meneton, chercheur à l'INSERM sur l'hypertension Janique Laudouar, présidente d'ARTANK Pascale Laussel, Omnicom Media Group, Citoyenne du monde Jacques Maret, agriculteur Bio, écrivain, "le naufrage paysan" Ségolene Lefevre, historienne de l'alimentation Emanuelle Pommetan, journaliste (projets alternatifs, créatifs culturels) Hélène Binet, spécialiste en communication environnementale Mélanie Fauconnier, animatrice et chargée de développement de Slow Food
ANGLES D'APPROCHE A DATE
1) Le vivant
L’Homme a « inventé l’Humanisme » en opposition à Dieu et à la Nature. Il s’est alors vu comme un fruit de la politique et de l’éducation plutôt que comme un fils de la Nature. Cet « arrachement » originel a été très productif (Droits de l’Homme, Démocratie) mais il se révèle « excessif » = l’homme ne peut pas tout comprendre et tout contrôler par la raison. Il est partie d’un tout, il est un animal, il est vivant. Il se nourrit de vivant.
Une nouvelle approche de la nature et de l’alimentation vue comme étant « vivante ». - tendance à manger des germinations de graines, ne pas mettre les oeufs au frigo pour stopper processus vivant, manger cru
Idée de pas de TVA sur les produits vivants, et pas de possibilité de s’approprier le vivant a travers le génie génétique ….la bioéthique : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bio%C3%A9thique
Qui porte cet angle ? - Sauveur Fernandez, consultant en communication et innovation responsable www.econovateur.com/ - Dr. Christian Tal Schaller, www.santeglobale.info.
La bioéconomie est peu ou prou une réduction de la théorie économique à l’économie des matières premières. Elle vise à intégrer des critères biologiques et environnementaux dans l’estimation des besoins et des capacités productives.
Problème de la bioéconomie : postule une autorégulation de l’écosystème planètaire. C’est un « acte de foi » : l’homme peut vivre en harmonie avec la Nature (mais : en quoi est-ce sur ? peut-être que l’homme est une « erreur » et qu’une telle harmonie n’existe pas).
• La bioéconomie est l'économie qui permet de maintenir, d'entretenir et d'améliorer la vie du corps social planétaire humain. • Le corps social planétaire humain est cet organisme vivant qu'est la société humaine. Il est formé de nombreuses cellules (chaque être humain), chacune de ces cellules appartenant à des organes ou sous-organes (nations, groupes sociaux, services publics, entreprises, etc.). • Les principes de la bioéconomie sont fondés sur l'observation d'un organisme vivant et de ses interactions avec le milieu environnant. Cette observation est transposable à notre société tout entière et à ses fonctionnements. • La bioéconomie se propose d'étudier et de définir les lois et les fonctionnements qui permettent le maintien en vie et en bonne santé du corps social. • Ce maintien en vie et en bonne santé dépend étroitement de la bonne santé de l'ensemble des cellules, des organes et donc des flux qui circulent à l'intérieur du corps et qui nourrissent chaque élément de ce corps. • La bioéconomie étudie aussi le rapport des cellules entre elles, des organes entre eux et des rapports entre les cellules et les organes. • La bioéconomie se doit aussi d’étudier les rapports que le corps social entretient avec le milieu qui l'entoure, puisque c'est dans ce milieu qu'il puise sa substance pour se nourrir et se protéger, qu'il respire et puise l'eau dont il a besoin. • Contrairement aux modèles économiques connus, sous-tendant des systèmes sociaux comme le communisme ou le "libéralisme", la bioéconomie est un modèle qui prône la solidarité et l'harmonie économique dans un seul but : le bien-être général ET particulier, non seulement pour maintenir l'état de santé optimum de la société et de la planète, mais aussi pour amener l’humanité vers une évolution supérieure. • Un état de santé optimum est un état où la Vie est maintenue, favorisée, entretenue, encouragée. Cette santé n'est pas seulement matérielle, mais aussi affective, intellectuelle et spirituelle.
Problème : « santé spirituelle » : veut tout et rien dire, des centaines d’interprétations.
Qui porte cet angle ? - Marie Martin-Pêcheux, mouvement CiTerrien, www.citerre.org
3) La nutrition
La seule façon de réguler ce marché c’est de mettre au centre des nutritionnistes qui connaissent les besoins des hommes.
Proposer un indice d’evaluation de la qualité nutritionnelle des aliments - Indice purement quantitatif aboutit à des cachets de vitamines. - Versus Indice qualitatif = par exemple grain de la farine - mais indice généralisé a tous les produits
Passer de …les Probiotiques favorisent la résistance de l’organisme aux agressions…a les pro biotiques et les pre biotiques nourrissent les ecosystemes de notre corps.
Qui prend cet axe ?
5) L’éducation des consommateurs:
Ce n’est pas que la responsabilité de l’état…les distrinuteurs en particulier devraient comme le faisait leclerc « servir d’intermédiaire » et nous éclairer sur nos choix.
Passer le stade de la culpabilisation et communiquer sur la positivité (mieux-être dans ma tête et dans mon corps)
Qu’est-ce qu’une nutrition adéquate ? Adaptée aux besoins nutritionnels, au métabolisme (critère numéro un). Le plaisir, c’est la santé. http://fr.wikipedia.org/wiki/Nutrition
Renversement des représentations : Ce qui est bon pour les papilles=ce qui est bon pour le corps (activation des croyances). Des tabous à lever : la vie est sacrée, psychanalyse de l’ingestion (lait maternel), changement de régime = changement culturel, des tabous religieux : hallal/ kacher/ carême…, ethnologie du cannibalisme, troubles alimentaires (anorexie, boulimie). ENJEUX CULTURELS très importants. http://fr.wikipedia.org/wiki/Troubles_des_conduites_alimentaires
Qui prend cet axe ? - Bruno David, président fondateur de Communication Sans Frontières/ directeur TBWA non profit - Julien Ledortz, directeur associé, Agence Et Si.
Qui prend cet axe ? - Alexandre Pasche, écrivain et fondateur d’Eco and Co. - Elisabeth Lerminier, direction des services éducatifs, France 5
Mais aussi le slow food, d'un indice de produits toxiques et non assimilables (ce
qui rejoint la catégorie nutrition), et d'alimentation consciente (catégorie
1), des dangers (cancer, hypertension...)...
Le spot "A Journey", conçu par Ogilvy & Mather et
réalisé par Bruno Aveillan, propose un retour aux sources de
l'authenticité et de l'accomplissement de soi. Un film propre, fin et
raffiné, comparant l'expérience du luxe à une invitation au voyage.
Voyage à travers le monde et voyage à l'intérieur de soi.
Une stratégie sur la même longueur d'ondes que le
courtscircuits de mars consacré au luxe, et dont l'output sera présenté
le 28 février
"Mon Identité de Luxe" (présentation à 19h30 le 28 fev) :
En s’appropriant les codes du luxe, les marques bridge (comme Paul&Joe ou
Ralph Lauren), au plus près des nouvelles aspirations individuelles, séduisent
de plus en plus. Elles pourraient contraindre les « vraies » entreprises de
luxe, qui cherchent à valoriser la qualité de leurs produits tout en proposant
un renouveau stylistique, à des logiques d'ultra luxe. Plus qu’une remise en
cause de la notion de « luxe », nous assistons ici à un conflit
d’identité.
Pour tenter de comprendre (voire de résoudre) la tension
rareté-diffusion dans le secteur en perpétuelle redéfinition du luxe, nous
réfléchissons ce mois-ci, à l'ère du digital et du relationnel, à l'évolution de
cette notion d'identité. Une recherche en profondeur non pas du coté des
marques, de leur ADN, de leur image, mais du coté des individus dans leur quête
existentielle : « le luxe, c'est moi en mieux » / « le luxe, c’est moi qui
brille ».
avec les membres de courtscircuits suivants... Véronique Pican, Directrice marketing Express Roularta Services Francoise Fassin, directrice adjointe au marketing Express Roularta Services Christine Arnaud, Directrice commerciale femmes Express Roularta Services Jérémy Dumont, directeur de pourquoitucours Nathalie Balle, Responsable marketing de l'offre, Galeries Lafayette. Maud Zilnyk, responsable merchandising aux Galeries Lafayette Anne-Marie Sargueil, présidente de l'Institut du Design Dominique Weizman Directrice de Dezineo Monique Large, Directrice associée de Dezineo Bruno Auret Directeur associé Saguez&partners/Raymond interactive Claudio Colucci, Designer Paris/Tokyo Jean Baptiste Sibertin, Directeur de la création Daum Bertrand Minckes, Montblanc Design Studio Stéphane Galieni, directeur de Balistik Art Matthieu Pratt, consultant marques de luxe Julien Tauvel, Responsable Régie interactive Mint Philippe Noel, planneur stratégique Altédia Eric Bougaud architecte et designer, Zoevox Cécile Quintin, consultante luxe, Agence Special