Nouveau clip de Chromeo pour Momma's Boy, réalisé par le très bon Stephane Manel.
Chromeo - Momma's Boy
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Nouveau clip de Chromeo pour Momma's Boy, réalisé par le très bon Stephane Manel.
Chromeo - Momma's Boy
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Rédigé le 31 juillet 2008 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Quand l'homme Dior plonge dans un bain electro
Photo : reuters
C'est dans l'îlot bucolique des jardins de l'Observatoire que Kris Van Assche présente sa collection pour Dior Homme. Sous une tente plongée dans la pénombre, deux bandes de pop stars viennent se ranger auprès de Sidney Toledano, le dirigeant de Dior Couture. Celle de Kanye West et sa bande en capuche et drills (fausse dents en or) précède de peu celle de Karl Lagerfeld, tout de noir vêtu accompagné de son staff. En quelques secondes, les pas de la tente se relèvent, inondant de lumière du jour une assistance qui traverse les shows avec des lunettes noires greffées sur le visage. Au son saturé de Justice (qui compose là la meilleure bande-son de ces défilés) arrivent des garçons sanglés dans des costumes noirs, près du corps, portant des baskets hautes, croisement entre des recherches de la Nasa et des modèles pour la NBA du futur. Des lunettes écran très fin des années 80 achèvent de donner une touche electro-rock à cette présentation. Des coupe-vent d'un bleu flamboyant, des pantalons moulant bronze ou or agrémentés de pierreries, des blousons de cuir ajourés par des découpes géométriques seront les pièces maîtresses de ce show électrisant, passé par les filtres du rétro-futurisme et coupé au rasoir.
Dans un précipité de couleurs et d'attitudes qui aurait relégué au rang de premiers communiants les Scissor Sisters, John Galliano a prouvé une nouvelle fois qu'il n'a peur de rien - surtout pas du ridicule. Son shaker d'influences pop (mangas, Matrix, East-End londonien, punk, queer) n'est évidemment guère commercial, quel garçon pourrait sans rougir enfiler ces juxtapositions de jupes, leggings et couvre-chefs, ces harnachements quasi-bondage et ces tons hum. Entre pastels et feu d'artifice ? Mais l'audace du bonhomme, son entêtement à faire des shows quand d'autres ne font que du réchauffé : chapeau.
Pour Hermès, Véronique Nichanian s'emploie depuis des années à décoincer la vénérable maison, à la rendre plus relax tout en retenant du luxe l'essentiel : qu'il ne se voit pas. Et à observer son défilé plutôt chaloupé (malgré les Kills en bande-son), où des mannequins chaussés de sandales et d'espadrilles semblaient prêts à s'embarquer pour quelque croisière romantique sur le Nil, force est de constater qu'elle y réussit de mieux en mieux. Oubliés les ceintures et détails aux tons vifs qui rythmaient son vestiaire, envolé également le classicisme qu'elle maintient au gré de certaines collections. Ici, Nichanian tend vers l'épure cool, ses pantalons se font larges et décontractés, ses parka et sweat-shirt sont à capuche, taillés dans de l'agneau perforé (à effet ajouré, un peu sportswear), il n'y a qu'une poignée de cravates et beaucoup de rayures bleues, des cols ronds larges et une palette allant du fumé au taupe, du blanc cassé à quelques imprimés vintage Hermès. S'en dégageait, dans ce décor fait de grands voiles de coton blanc, une sensation de douceur et de léger exotisme. Comme les prémices d'un été où l'on siroterait des mojito au soleil crépusculaire de la Méditerranée.
Sous le soleil et la chaise pliante plantée dans le sable, Paul Smith clôturait les défilés masculins avec des garçons aux yeux charbonneux, cheveux emmêlés comme des surfeurs après des «rides» en Californie, ou à Tanger. Une série de costumes très Savile Row finement rayés (un classique de la maison britannique), dans une palette chocolat, chanvre et ocre, allongeaient les silhouettes de ces vacanciers de luxe. Leur cravate rentrée entre deux boutons de chemise leur donnait une allure à la fois étrangement précieuse et rock'n'roll. Plus Point Break que Brice de Nice, accompagné par une bande-son psychédélique seventies, le défilé enchaîna sur une série de jeans délavés comme après des centaines de plongeons dans l'eau de mer, retroussés mi-mollets sur des chaussures bateau bleu ou vert électrique.
Justice pour Dior Homme, collection printenps/été 2009
Lu sur le site www.nextorigine.liberation.com
Rédigé le 29 juillet 2008 dans 06 Aller, Voir, Faire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Dior se positionne sur le marché du téléphone portable... avec un véritable "objet", une pièce féminine intemporelle.
Les codes de la maison, savoir-faire et créativité, sont toujours là. Les matériaux sont innovants, résistants et inrayables comme le Cristal Saphir, l'acier inoxydable et même sur certains modèles les diamants. Mais la réelle nouveauté, c'est que ce nouveau portable de luxe sur mesure est accompagné d'un mini téléphone, le My Dior, à accrocher à votre sac ou à garder à la main, relié au téléphone principal grâce à la technologie Bluetooth.
My Dior permet de recevoir et d'émettre des appels, d'identifier les appels au travers d'un écran miroir, d'accéder au répertoire, aux dix derniers appels et de consulter l'heure. Révolutionnaire !
Lu sur le site de Colette
Rédigé le 28 juillet 2008 dans 03 Objets (design, produits...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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La nouvelle version du site communautaire de Pyramyd Créabook est désormais disponible. Ce site permet à tous les créatifs de se constituer gratuitement un book en ligne. Avec une interface plus fonctionnelle et plus sobre, un fonctionnement redéfini dans la logique du web 2.0, créatifs et commanditaires peuvent désormais communiquer ensemble via une messagerie personnelle. Connaître la fréquentation de son book, voter pour les meilleurs projets afin de les faire apparaître en page d’accueil. Plus collaboratif, le nouveau Créabook développe aussi de nouvelles fonctionnalités : celles par exemple de pouvoir intégrer à son book des fichiers Flash et vidéo, de partager son book sur Facebook, d’effectuer une recherche plus précise en fonctions de types de projets de noms ou de visuels. Pour plus d’explications : voir la démo en vidéo.
Lu sur le site du magazine Etapes
Rédigé le 28 juillet 2008 dans 06 Aller, Voir, Faire, 08 Paroles de creatifs | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Dans son dernier film shot by shot, l'Américain Adam Pesatane, dit Pes, (cf étapes : 146 ) nous prépare une appétissante assiette de Spaghettis, à sa sauce...
PES' Western Spaghetti from ideals creatives on Vimeo.
Lus sur le site du magazine Etapes
Rédigé le 28 juillet 2008 dans 02 Images (photos, videos, graphismes...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Présentation
Julius Wiedemann et Felipe Taborda
Latin American Graphic Design
L'ouvrage présente les meilleurs graphistes latino-américains d’hier et d’aujourd’hui.
Avec vingt pays, en Amérique du Nord, Amérique du Sud et Amérique centrale ainsi que dans les îles des Caraïbes, l’Amérique latine a une population de plus de 500 millions d'habitants. De l’Argentine au Mexique, tous les pays latino-américains sont hispanophones, à l’exception du Brésil, où l’on parle le portugais. L’Amérique latine produit une forme d’expression graphique tout à fait unique depuis des dizaines d’années, et cet ouvrage historique en rassemble les meilleurs exemples du XXe siècle à aujourd’hui.
Le livre commence par un essai historique approfondi sur la contribution de l’Amérique latine au graphisme, et analyse son évolution de 1900 à nos jours. Mais la plus grande partie est consacrée à près de 200 graphistes et agences de graphisme, classés de A à Z. Ce sont eux qui ont construit l'identité graphique de l’Amérique latine, et ils continuent aujourd'hui sur cette voie. Enfin, un index pratique donne un accès rapide à toutes les informations essentielles du livre, comme le nom des graphistes, les pays, les publications, les écoles ainsi que les événements importants.
Les auteurs
Felipe Taborda, né au Brésil, est graphiste. Il enseigne et dirige un cabinet de graphisme à Rio de Janeiro (Brésil).
Julius Wiedemann, né au Brésil, a été rédacteur artistique à Tokyo pour des magazines de design et numérique, avant de rejoindre les éditions Taschen, pour lesquelles il a notamment dirigé les ouvrages Animation Now!, Advertising Now! ou Web Design.
Lu sur le site ParisArt
Rédigé le 28 juillet 2008 dans 02 Images (photos, videos, graphismes...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Le Superdome est un stade mythique: construit en 1975 à La Nouvelle-Orléans (Louisiane), il a accueilli de nombreux Super Bowls (la finale du championnat de football américain), un concert des Rolling Stones, le pape Jean-Paul II, la Convention Républicaine et les réfugiés de l’ouragan Katrina. Paradoxal, le Superdome jette un pont entre le divertissement le plus grand et la détresse absolue.
S’inspirant de cette logique additionnelle et schizophrénique d’un «I can get no satisfaction» ET d’un «Notre Père qui êtes aux cieux», Marc-Olivier Wahler propose SUPERDOME, une nouvelle session réunissant cinq expositions personnelles oscillant entre spectacle et vanités, décibels et prières, high-tech et chaos, dans la continuité du programme d’expositions testant la notion d’élasticité de l’œuvre d’art entamé au Palais de Tokyo avec Cinq milliards d’années.
Jusqu'au 24 août 2008 au Palais de Tokyo (13 avenue du Président Wilson 75016 Paris)
Vernissage "Last Manoeuvres in the Dark"
Lu sur le site du Palais de Tokyo
Rédigé le 28 juillet 2008 dans 06 Aller, Voir, Faire | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Un écran expérientiel pour la Fiat 500
Des images qui réagissent au mouvement! Le petit pot de yaourt nouvelle génération, sait se mettre en valeur et montrer ses plus beaux atouts.
Impossible de faire dans la communication classique lorsqu'on se prénomme Fiat 500! On se doit comme tout produit hors du commun d'avoir une communication à la hauteur de ses courbes? Pour se faire, rien de mieux qu'un écran tactile innovant, divertissant et beau. Ça tombe bien! Les Anglais de Mooving Brands, accompagnés de l'agence AQKA ont développé un écran à interface gestuel, lancé dans un concept store à Londres en février 2008!
Mais qu'est-ce donc Doudou dis donc? Composé de 9 écrans et 48 capteurs infra rouges fixés au plafond et sur les murs, l'écran interactif traque les mouvements des consommateurs et les reproduit au travers d'animations ou jeux divers. Le chaland contrôle et choisit les animations qu'il a envie de voir sur l'écran. La sélection des informations lui donne une certaine impression de liberté.
Ce système permet à la fois de recueillir des infos sur le véhicule tout en étant diverti. Une vieille recette simplement réactualisée... En tout cas, rien de mieux qu'une bonne dose de marketing expérientiel tendance nouvelle technologie pour amuser et emmener vers l'environnement choisi, le possible futur acheteur. ..
Cliquez ici pour voir le message
ARTICLE : Raphael Legrand,
Lu sur le site Influencia
Rédigé le 28 juillet 2008 dans 02 Images (photos, videos, graphismes...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Dans la famille Cassavetes, on aime le cinéma. Zoé, la petite dernière du clan se lance à son tour dans la réalisation de longs métrages et à la conquête du 7ème art avec Broken English, une histoire de grandes personnes qui cherchent l'amour entre New-York et Paris.
Un jour, elle croise Julien, un français joyeux et insouciant, incarné par notre Melvil Poupaud national. Mais la peur d'un nouvel échec l'empêche de le suivre en France.
Prise de remords, elle décide de finalement le rejoindre. Ce voyage sera l'occasion de reprendre en main sa destinée…
Zoé Cassavetes : famille, passion et création.
Zoé Cassavetes a baigné toute sa vie dans le milieu artistique. Son père n'est autre que l'acteur et réalisateur John Cassavetes, auteur notamment de Gloria et Une femme sous influence et l'un des chefs de file du cinéma indépendant américain. Sa mère est la grande Gena Rowlands et ses frères et sœurs, Nick et Alexandra Cassavetes, sont également réalisateurs et scénaristes.
Avec un tel héritage, Zoé est devenue une artiste multiple : photographe, actrice, productrice, elle a d'abord signé des pubs et de clips vidéos. Après des collaborations avec Sofia Coppola et quelques courts métrages prometteurs, la fille suit les traces de son père en signant cette année son premier long-métrage Broken English.
Dans une société où les relations amoureuses sont embrouillées, la jeune réalisatrice s'est inspiré de son vécu et des contradictions de son environnement pour écrire l'histoire de son héroïne : "Je n'ai pas peur de m'appuyer sur ma propre expérience, mais je suis également inspirée de ce que j'observe autour de moi. Broken English est une histoire d'amour, mais c'est aussi et surtout l'histoire d'une recherche, d'une exploration intérieure."
Le cinéma féminin est entre de bonnes mains…
Lu sur Cinefil
Rédigé le 24 juillet 2008 dans 02 Images (photos, videos, graphismes...) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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Je découvre le terme “mash-up” qui traduit une forme émergeante qui consiste à mélanger des séquences sonores courtes de manière très rapide et parfois disruptive. Il ne s’agit pas ici de mix au sens où on le conçoit traditionnellement pour un DJ. La virtuosité n’est pas dans l’art de mélanger de manière fluide, invisible, une sélection de morceaux musicaux dans l’idée d’un enchainement sans fin, mais elle repose dans une capacité à manier les intensités des éléments qui ré-émergent de leur singularité, la singularité propice à faire émerger le souvenir, à réactiver une connexion de la mémoire. A l’apparition d’une séquence musicale, on va tout d’un coup s’exclamer intérieurement “je reconnais” et c’est bien d’une re-naissance dont il s’agit, une re-co-naissance car le souvenir est réapparu par la médiation du fragment. Ce n’est que le caractère fragmentaire, brut et bref qui a permit l’impulsion soudaine dans ce territoire que constitue la mémoire, car la promptitude de l’apparition, en frustrant l’auditeur qui voudrait “poursuivre”, va renforcer l’impression. Le mash-up est aussi bien entendu une tentative de rendre audible la totalité de l’histoire de la musique et de l’enregistrement audio en général, en s’affranchissant des éléments de propriété et de copyright rattachés à la création (en jouant sur la notion de “citation courte”), dont l’usage abusif opéré par les grands conglomérats des médias (notamment le prolongement continuel des droits sur des éléments qui devraient rentrer dans le domaine public par exemple), ampute grandement la possibilité de création actuelle en empêchant la réappropriation d’une culture, à présent numérisée, qui est commune à tous. DJ Food a créé en 2004 un mash-up correspondant à une histoire du cut-up (Raiding The 20th Century) : il sollicite des échantillons de référence de la musique HipHop, ainsi que les voix de William Burroughs et ceux des précurseurs de l’approche musicale par fragment extrait de la phono-fixation, ou de l’enregistrement ferro-magnétique, que l’on doit à l’origine à Pierre Schaeffer.
DJ Food - Raiding the 20th Century - ReMixed Mash-Up
Lu sur le site de Claude Le Berre
Rédigé le 21 juillet 2008 dans 01 Perspectives dans le monde de la création | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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