Rédigé le 08 juillet 2014 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
Rédigé le 18 avril 2014 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
Rejoignez l’event Facebook
WILFRIED*
Il s’agit de créer une installation visuelle, musicale et immersive,
grâce à laquelle le groupe (4 musiciens) jouera autour du public (35-40
personnes), celui-ci étant placé au milieu d’une structure circulaire en
tissu transparent. Le groupe sera réparti autour du public, à sa
hauteur (et non face à lui comme d’ordinaire sur une scène), de même que
le système de diffusion du son (entourant, panoramique), l’installation
changeant de forme, de couleurs (éclairages, projections de vidéos),
d’intensité, en fonction des titres joués. Cette scénographie vise à
questionner la place du spectateur et du musicien dans la représentation
pop, et à proposer une expérience live inédite, déroutante et
excitante. Entrez dans la Matrice !
3 concerts de 60 minutes. L’installation restant ouverte à la visite
entre les concerts (chill-room).
Wilfried* avait testé le dispositif, lors de sa résidence à Mains d’Œuvres, lors du festival Mo’fo’11 en janvier 2011.
Facebook
Soundcloud
Participez à la Matrice
Rédigé le 30 septembre 2013 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
Green Room Session est un projet artistique dédié aux musiques actuelles, dont l’ambition est d’accompagner tous les fans de musique dans leur recherche d’expériences fortes.
Cette plateforme défend donc un certain style de vie, une certaine vision des musiques actuelles en soutenant de nombreux festivals, salles de concerts et événements.
Cela se traduit par la recherche perpétuelle de contenus exclusifs afin de pouvoir proposer un regard nouveau en collaboration avec les acteurs qui font la musique. Régulièrement Green Room Session propose des jeux-concours, de nombreux reportings de concerts et de festivals, des interviews et sessions live des artistes que nous aimons!
Site musical au ton rock, avec une équipe qui assume sa subjectivité, ses prises de position et sa passion des détails. Pour cet E-Magazine fondé en 2007, seul le détail compte.
The CameRoscope est une équipe de photographes et de vidéastes qui explorent l’univers de la nuit et de la musique électronique.
Vidéozine spécialisé en niches en tous genres, The Drone réhabilite l’art perdu de l’interview avec un nouveau portrait d’artiste chaque semaine.
Magazine de musique indépendante, défricheur de tendances et empêcheur de tourner en rond. En kiosque chaque début de mois, accompagné d’une compilation mixée !
Vice est un magazine mensuel gratuit et international axé sur la culture urbaine, la photographie, l’art et la musique
Webmag pluridisciplinaire destiné à faire rester les visiteurs dans l’air du temps avec un panel d’informations culturelles et artistiques.
Rédigé le 04 septembre 2012 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
Quelques heures à joliment tuer dans un bureau désert? Essayez les jeux vidéo inspirés de titres des Chromatics, M83, Matthew Dear ou Cut Copy et initiés par Pitchfork.
L’initiative vient de Pitchfork, avec divers appuis technologiques, mais ne peut qu’éveiller la curiosité des gamers et/ou des amateurs de musique intéressante.
Le site US a ainsi demandé à quelques game designers ou artistes numériques de programmer des petits jeux, pas forcément passionnants, révolutionnaires mais graphiquement intéressants et très à même de vous faire perdre quelques heures de productions au bureau, inspirés et mis en musique par certains des groupes que l’on apprécie.
Graphiquement très inspiré des débuts de l’ère numérique, le dernier épisode en date de cette série intitulée Soundplay est celui consacré aux excellents Chromatics. Il se nomme Geometry of Love, a été programmé par l’artiste new-yorkais Ivan Safrin, inspiré par le titre Lady des Américains, et se joue à cette adresse.
Avant cela, M83 avait eu droit à la version ludique de son Intro, extrait de son dernier album Hurry Up, We’re Dreaming, nommé We Were You et cette fois programmé par Jake Elliott et accessible sous ce lien. Des morceaux de Cut Copy (sous ce lien) ou Matthew Dear (sous celui-ci) sont également passé par la case gameplay.
Rédigé le 24 juillet 2012 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
A l’occasion de sa campagne The Amazing Everyday organisée pour le lancement du Nokia Lumia 800, son premier Windows Phone, la marque finlandaise s’est offerte lundi 28 novembre une superbe projection sur la Millbank Tower à Londres.
16 projecteurs installés de l’autre coté de la Tamise, à 300m de la tour, ont été nécessaires pour envoyer les images sur la tour de 118m, dont les 800 fenêtres avaient été entièrement recouvertes de vynil pour l’occasion.
C’est le célèbre DJ Deadmau5 (qui ne devait certainement pas avoir froid en portant son énorme parka Canada Goose) qui a assuré la partie sonore de cette performance avec des remixes exclusivement créés pour le show.
Deadmau5
Deadmau5 en concert à Coachella en 2008
Surnom | Halcyon441 |
---|---|
Nom | Joel Zimmerman |
Naissance | 5 janvier 1981 (1981-01-05) (31 ans) Niagara Falls |
Pays d'origine | ![]() |
Activité principale | Disc jockey Remixeur Compositeur Producteur |
Genre musical | Electronica Neo-trance Progressive house Electro house |
Instruments | Synthétiseurs Table de mixage JazzMutant Lemur |
Années d'activité | Depuis 2006 |
Labels | Mau5trap Recordings Play Digital Ultra Records Virgin Music EMI |
Site officiel | www.deadmau5.com |
Entourage | Skrillex Kaskade Melleefresh Steve Duda Tommy Lee DJ Aero Glenn Morrison / Titouan Vibert |
---|
Deadmau5 (prononcé comme dead mouse en anglais, et qui veut dire « souris morte » en français) est un artiste canadien de musique électronique, orienté vers les styles Electro House, Progressive House et Techno. Son vrai nom est Joel Zimmerman mais il a aussi utilisé Halcyon441 comme pseudonyme. Il s'est fait connaître pour des titres tels que Faxing Berlin, Not Exactly ou encore Arguru qui ont été appréciés de grands artistes et inclus dans de nombreuses compilations.
Sommaire[masquer] |
Joel Zimmerman nait le 5 janvier 1981 à Niagara Falls au Canada. Il y devient co-producteur d'une émission de radio nommée The Party Revolution sur la bande 101.1 The Planet. Mais il ne commencera la musique qu'à Toronto sur le label Play Digital [1]. Il y crée son premier album en 2006 : Get Scraped suivi la même année d'un deuxième : Vexillology.
Deadmau5 commence à connaître le succès en février 2007 quand une copie de Faxing Berlin fut diffusée sur une émission de radio animée par Pete Tong. Dès lors Deadmau5 a réalisé des singles en ligne, a fondé son label Mau5trap Recordings et a été inclus dans 15 compilations dance en 2007. Joel Zimmerman fut alors considéré comme le plus remarquable producteur de 2007 par Tiësto[2] et Armin van Buuren[3], respectivement 2e et 1er du classement des DJs de DJmag.com cette année là.
Le nom de Deadmau5 vient d'un incident s'étant produit chez Joel Zimmerman où une souris se serait infiltré dans son ordinateur. Le nom de départ était Deadmouse (souris morte en français) qu'il a choisi de transformer en Deadmau5 par leet speak car Deadmouse comprenait trop de caractères pour pouvoir être utilisé comme nom d'IRC sur le réseau qu'il utilisait à l'époque [4]. Ce nom est à l'origine de la grande tête de souris, surnommée Mau5head, qu'il porte dans la plupart de ses concerts et qui lui sert également de logo. Celle-ci se veut relativement schématique, un peu façon Mickey Mouse avec ses grandes oreilles rondes, le plus souvent rouge mais qui se décline sous de très nombreuses couleurs, parfois même avec des petits miroirs comme une boule à facettes avec les yeux qui peuvent s'éclairer ou clignoter[5].
All U Ever Want, un single en collaboration avec Billy Newton-Davis a gagné un Juno Awards en 2008 dans la catégorie des titres Dance. Par ailleurs, le remix de No Pressure de One+One par Deadmau5 a été inclus à la radio Electro-Choc de Grand Theft Auto IV (dont il est DJ) ainsi que sa collaboration avec Chris Lake pour le titre I Thought Inside Out. Le 19 février 2008, sur son MySpace, Deadmau5 crée la surprise en mettant en ligne un lien de téléchargement de 56 titres qu'il avait créé plus tôt dans sa carrière[6]. L'initiative fut ainsi nommée Project 56, le lien n'est aujourd'hui plus valide. Les nombreux titres étaient de longueur très variable mais pour la plupart très courts (quelques secondes), en effet il s'agissait plutôt de titres expérimentaux sans réelle volonté d'aboutissement.
Le 1er mai 2008, Deadmau5 est devenu le DJ / producteur / remixeur le plus récompensé des Beatport Music Awards. Il a été décrit comme la personne la plus influente, plus avant-gardiste et plus pertinente en musique électronique [7] lors de ce concours[8] en 2008. Il y gagne plusieurs prix, dont celui du meilleur artiste Electro House et Progressive House ainsi que celui des meilleurs singles composés durant cette année. Toujours sur ce site, il est devenu en 2008, l'artiste ayant le plus vendu avec plus de 30 000 téléchargements pour les singles Not Exactly, Faxing Berlin, et Ghosts N Stuff[9].
Après cela, il signe avec le grand label de musique électronique américain Ultra Records pour son 4e album Random Album Title sorti en septembre 2008.
Joël est aussi en collaboration avec Tommy Lee sous le nom de WTF? avec la participation de DJ Aero et Steve Duda ainsi que de BSOD toujours avec celle de Steve Duda. Il signe aussi régulièrement des collaborations avec d'autres artistes comme Mellefresh, Jelo, ou encore Glenn Morrison. L'une d'elles, Move for Me, réalisée avec Kaskade s'est retrouvée en première place du classement Hot Dance Airplay, le classement des meilleurs diffusion en club aux États-Unis du magazine Billboard dans son édition du 6 septembre 2008[10]. Elle sera l'objet du premier clip vidéo de Deadmau5.
En 2009, Deadmau5 a même été nommé aux Grammy Awards pour son remix de The Longest Road des artistes Morgan Page et Lissie. Cette même année, pour les Beatport Music Awards il est de nouveau celui qui remporte le plus de prix, gagnant les mêmes qu'en 2008 et devenant ainsi le plus grand DJ deux années de suite. Le 5 février, en collaboration avec l'entreprise Future Audio Workshop, il sort une application pour iPhone ou iPod Touch, nommée Touch Mix, première du nom[11]. Celle-ci permet de mixer une dizaine de morceaux du musicien grâce à une interface adaptée à l'écran de ces appareils.
Le 27 avril, le deuxième clip vidéo de Deadmau5 sort sur la chaîne officielle de l'artiste du site YouTube[12]. Le clip est celui du titre qu'il avait réalisé avec Kaskade : I remember qui se présente un peu comme un court-métrage, une version longue sera d'ailleurs réalisée et également éditée sur YouTube[13].
Deadmau5 a par ailleurs informé via MySpace et sa newsletter la sortie de son nouvel album, For Lack of a Better Name le 22 septembre 2009 aux États-Unis et le 5 octobre pour le reste du monde sous le label Ultra Records. L'album, dont la liste des titres avait été dévoilée et certains morceaux sortis avant la sortie officielle de l'album, semblent prendre un autre tournant en incluant d'autres styles de musiques avec notamment un featuring du titre à succès Ghosts N Stuff avec le chanteur Rob Swire du groupe Pendulum ou encore Hi Friend! en featuring avec MC Flipside, déjà sorti en 2008 qui contient un sample de Thriller de Michael Jackson mais à l'envers [14]. Le 24 août 2009 sort le clip officiel du titre Ghosts N Stuff avec la voix de Rob Swire sur la chaîne officielle de Deadmau5 sur YouTube[15] bien que certaines copies officieuses furent éditées sur le site auparavant[16]. Dans ce clip apparait clairement un tatouage de Space Invader sur le cou de l'artiste, bien que celui-ci existait bien avant. Certains y ont vu une filiation avec le logo du DJ français Joachim Garraud, qui est également un Space Invader [17]. Des théories ont prétendu que Deadmau5 appréciait la musique de Joachim Garraud, ce qu'il a récusé affirmant ne pas connaitre cet artiste auparavant, d'autres affirmant que les artistes prévoyaient une collaboration. Il est plus vraisemblable que les deux artistes soient tous deux fans de ce célèbre jeu, d'autant que des sources proches de Deadmau5 précisèrent qu'il était gêné par cette affaire.
En juin 2010, on apprend l'officialisation du partenariat entre Activision et Deadmau5 pour devenir l'un des ambassadeurs du jeu vidéo DJ Hero 2 qui sortira courant octobre aux États-unis et en Europe. Lors d'une prestation le 30 juillet 2010 Deadmau5 s'effondra sur scène souffrant d'epuisement et de vomissements. Il fut amené à l'hopital le plus rapidement possible ou il fut examiné. Cet incident l'a conduit à annuler 9 concerts.
Deadmau5 travaille en ce moment sur le prochain album de la célebre chanteuse Madonna dont d'ailleurs le DJ Français Martin Solveig participe aussi à la production .
Joël indique sur son site internet qu'il s'inspire de nombreux genres musicaux, principalement électroniques. Il y cite la Techno et plus particulièrement la minimale mais s'inspirant aussi beaucoup de la Tech House, de la Trance ou de l'Electro. Mais son style ne s'arrête pas là, on retrouve bien souvent de l'Electro House mais aussi beaucoup de Progressive House. Ses derniers morceaux ainsi que ses sets live montrent l'intérêt grandissant qu'il porte au Dubstep, genre musical très en vogue en Angleterre. Deadmau5 a également produit quelques morceaux dans un style proche du Trip-Hop, comme l'inédit "Failbait".
Tout comme son style de musique, ses influences sont variés. Il cite comme personnes l'ayant influencé : Sasha, John Digweed, ceux-ci étant connus pour leurs réalisations en Progressive House, Pete Tong, Tiësto, Carl Cox, Dubfire, Eric Prydz, Sander Kleinenberg, Erick Morillo et Laurent Garnier, précisant que la liste est en réalité bien plus longue. Il a également cité, au cours d'une interview, Radiohead et Boards of Canada comme les artistes l'ayant mis sur la voie de la musique qu'il pratique aujourd'hui [18].
Pour la composition, Deadmau5 utilise deux principaux synthétiseurs, un Moog Little Phatty et un Dave Smith Prophet '08 [19]. Il utilisait avant un Juno-106 [20]. Comme expandeurs, Joël se sert d'un Clavia Nord Rack 2x, d'un Minimoog Voyager Rack Mount Edition, d'un Korg Kaossilator ainsi que d'un Doepfer A-100 Analog Modular System pour ses basses. Quant aux contrôleurs, il utilise ceux de la marque Moog dont le CP-251 et plusieurs MoogerFooger, les MF-101, MF-102, MF-103, MF-104Z, MF-105 [21], et surtout le MF-107 qu'il dit posséder en trois exemplaires[22] .
Les logiciels qu'il utilise sur ses nombreux ordinateurs (un MacBook, un MacBook Pro ainsi qu'un ordinateur fixe en dual-screen) [19] sont eux aussi nombreux même s'il utilise principalement en composition comme en prestation le logiciel Live d'Ableton[22]. Les autres sont FL Studio[23], Reason, Reaktor, Cubase et Nuendo.
Pour ses concerts, ce n'est pas véritablement un DJ, activité qu'il a critiqué sous certaines de ses formes. En effet, Joël fait des mix beaucoup plus libres, s'éloignant assez de l'activité de simple DJ utilisant des platines CD ou vinyles, il utilise pour cela la table de mixage Allen & Heath Xone:4D, autrefois la Xone:3D[24], reliée à un MacBook. Il se sert du JazzMutant Lemur, qu'il utilise aussi en composition, puis d'autres outils comme le Monome 256 et un appareil à multi-effets Pioneer EFX-1000. Il utilisait aussi à un moment une table de mixage Pioneer DJM-800[21]. Il a par ailleurs réalisé une interview pour le magazine Future-Music dans laquelle il présente son studio d'enregistrement et l'ensemble des techniques et instruments qu'il utilise dans ses créations aussi bien que dans ses concerts[25]. Plus récemment, il s'est mis à utiliser la groovebox Native Instrument Maschine ainsi que 2 iPad utilisant TouchOSC eux-mêmes reliés à OSCulator et à Live[26].
En décembre 2007, Marcus Schössow, DJ Eco et Maor Levi ont créé un projet nommé Deadrat6 en ironisant sur le pseudonyme de Deadmau5, avec des titres ressemblant[27]. Un autre projet similaire, faux lui aussi, a été créé sous le nom de Sinterklaa5 [28]. En réponse, Deadmau5 a lui aussi ironiquement créé une piste sous le pseudonyme de Marcus Fatsow en parodiant le nom de Marcus Schossow : en effet fat sow signifie grosse truie en anglais.
La rivalité entre Deadmau5 et Marcus Schössow monte d'un cran lors d'une représentation en avril 2008 à Oslo, où, selon Marchus Schössow, Joel Zimmerman aurait refusé de jouer dans le club si Marcus allait, lui aussi, y jouer après. Cela conduit à empêcher à Marcus Schossow l'entrée au club et a fait de l'événement une prestation solo de Deadmau5[29].
De plus la controverse née autour de Deadmau5 s'est amplifiée quand il a joué l'Essential Mix en juillet 2008 avec une playlist composée presque entièrement de ses propres morceaux et remixes, ce qui est mal vu dans la scène DJ. C'est en octobre 2008 que la polémique prend toute son ampleur avec un article de l'Irish Daily Star relatant une interview avec Deadmau5 et dans laquelle il dit :
« It puts me to fucking sleep to be quite honest, I don’t really see the technical merit in playing two songs at the same speed together and it bores me to fucking tears and hopefully with all due respect to the DJ type that will fucking go the way of the dinosaur id like them to dis-a-fucking-pear. It's so middle man, they’re like fucking lawyers. You need them, but they’re fucking cunts. God bless them they’re my number one customer right so I’m not gonna go diss every fucking DJ. But to say you become this massive up on a podium performer by playing other peoples productions at the same speed as someone else’s productions and fading between the two of them, I don’t get it. » [30]
que l'on pourrait traduire :
« Pour être honnête, ça me donne envie de pioncer, je ne vois vraiment pas quelle prouesse technique cela représente de passer deux morceaux à la même vitesse en même temps, ça m'ennuie à mourir et j'espère, sans vouloir manquer de respect à quiconque, que ce genre de DJs suivront le chemin des p****** de dinosaures, j'aimerais les voir p***** de disparaître. Ils ne sont que des intermédiaires, ils sont comme des p***** d'avocats. Vous avez besoin d'eux, mais ce sont des p***** de s******. Dieu les bénisse, ce sont mes meilleurs clients, donc je ne vais pas rabaisser chaque p***** de DJ. Mais dire que l'on devient un artiste d'envergure perché sur un podium en jouant la production d'un autre à la même vitesse que la production d'un autre que soi, et en passant de l'un à l'autre avec les faders, je ne comprends pas. »
Deadmau5 s'excusera de ce discours le 4 novembre 2008 en expliquant que l'interview était mauvaise et qu'elle n'exprimait pas correctement son opinion vis-à-vis des DJs. Sur son MySpace, il explique :
« let me start by admitting…. i did not grow up in the EDM scene. I dont consider my career to be about “being a DJ”. i dont have “DJ roots” . I never had any intention of becoming a DJ. and my conception of “DJ’s” in general from this standpoint has always been… .. being forced into some nightclub when i would have rather stayed home, and watch some dood mash the “play / stop” button and occaisionally move a pitch slider. Love it or hate it…. that’s just been my conception of the traditional “dj”. Mind you, im not a total fucking idiot, and i recognize talent when i see it…. and there are many talented DJ’s out there for sure. In my eyes, those would be the individuals who utilize technology to deliver the music in ways that are both skillful and innovate, moreso than my vision of the “play/stop/pitch” DJ. To me, the club is about “the party” …. the people make the night… the DJ obviously needs to use that to his advantage, it’s give and take. »[31]
en français :
« laissez moi commencer par admettre…. Je n'ai pas grandi dans la scène EDM. Je ne considère pas ma carrière comme étant celle d'un DJ. Je n'ai pas de "racines de DJ". Je n'ai jamais eu la moindre intention de devenir un DJ. Et ma conception du "DJ" en général à partir de ça a toujours été... Etre bloqué dans une boîte de nuit quand j'aurais mieux fait de rester chez moi, et regarder quelques types appuyer sur le bouton "play/stop" et occasionnellement régler le curseur de pitch. Aimez le ou détestez le… Ça a juste été ma conception du DJ traditionnel. Dites-vous bien, je ne suis pas un p***** d'idiot complet, et je reconnais le talent quand je le vois… Et il y a beaucoup de DJ talentueux évidemment. A mes yeux, ceux-là seraient les seuls à utiliser la technologie pour délivrer de la musique d'une façon qui soit à la fois habile et innovante, bien plus que ma vision du DJ "play/stop/pitch". Pour moi, le club tourne autour de "la fête"… Les gens font la soirée… le DJ a évidemment besoin d'utiliser cela à son avantage, c'est du donnant-donnant. »
Rédigé le 26 mars 2012 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
Rédigé le 08 janvier 2012 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
10 morceaux en écoute toute la semaine :
‘’Avec Sebastien Devaud (plus connu sous le nom d’artiste Agoria), on a créé le label fin 2003. Comme souvent dans ce genre d’histoire, l’idée du label est née de la frustration de ne oas pouvoir expérimenter ce qui nous semblait intéressant à mener en terme de projets artistiques. Je travaillais pour un distributeur et un label indépendant, et je souhaitais faire un truc à la fois ambitieux en terme d’esthétique et briser les barrières d’un certain conformisme de la musique électronique…j’étais (je le suis toujours d’ailleurs) le manager d’Agoria, qui venait de sortir son album Blossom et on partageait un certain nombre de points de vue sur le music business et la façon de promouvoir et soutenir les artistes dont on pourrait produire les disques. »
« Nos artistes sont résolument transfrontières : Clara Moto est autrichienne, Murcof mexicain, Bachar Mar-Khalifé est libanais mais vit en France, Rone est parisien mais vit à Berlin…on sent bien qu’on a besoin de cette universalité, à la fois pour s’épanouir, mais aussi parce qu’on ne peut évidemment plus envisager le music business sur un territoire aussi réducteur que la France…De plus, au delà du contenu des disques, nous voulions travailler avec des artistes ayant l’envie d’aller plus loin que la classique équation disque / scène. En cela, je trouve notre histoire assez réussie, nous avons mis en place depuis deux éditions, chaque été, une résidence dans un lieu mortel, La carrière de Normandoux, où les artistes se rencontrent et développent des idées parfois pas simples à mettre en place…c’est un peu une répétition ce qui va se passer cette semaine à la Gaîté Lyrique. »
« Pour finir, je trouve aussi que notre époque est assez étrange et schizophrène : à l’heure de la crise du disque, je vois tout autour de moi une foison de trucs géniaux, de jeunes artistes qui n’attendent pas un hypothétique succès populaire ou égotique, et qui n‘hésitent pas à bousculer l’establishement en faisant évoluer la musique, l’image de celle-ci et la façon de la vendre…je suis hyper fan d’un label comme Hyperdub en Angleterre ou d’un gars comme Owen Pallet qui fait sonner les cordes à merveille… »
Retrouvez l'intégralité de l'interview d'Alexandre Cazac et d'autres membres du label sur le Blog Infiné
Rédigé le 15 avril 2011 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
1. Festival Présences Électronique
Il y a eu dix ans le 4 février dernier que Iannis Xenakis, pionnier des musiques électro-acoustiques, nous a quittés. En son honneur, le festival Présences électronique lui consacre une soirée gratuite ce dimanche. Pour l’occasion, le festival invite plusieurs de ses héritiers venus de Russie, de Finlande, de Norvège, des Etats-Unis et de Belgique à mettre leur travail en perspective avec celui de Xenakis, dont la pièce Occident-Orient (1960) sera diffusée.
Samedi, Présences électronique propose une soirée percussive avec instruments modifiés, systèmes électroniques interactifs, synchronisation de lumières stroboscopiques et musique improvisée. Aussi au festival : l’agresseur de tables tournantes Otomo Yoshihide, le fondateur du groupe Cabaret Voltaire Chris Watson et l’artiste minimal Murcof.
Les concerts de Présences Électronique, tous gratuits, ont lieu au 104 de vendredi à dimanche. Toutes les infos ici.
2. L’expérience de l’expérimentation
Mardi prochain, les Instants chavirés poursuivent leur cycle de conférences sur les musiques expérimentales avec une présentation de Matthieu Saladin sur "l’approche conceptuelle dans les musiques expérimentales et l’art sonore". Le docteur en esthétique et chercheur associé à l’IDEAT (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne/CNRS) discutera de la musique comme "manière de poser des questions à travers les sons et leur absence" :
"À l’instar de Marcel Duchamp investissant un art dégagé du rétinien, et plus tard des artistes conceptuels travaillant sur l’idée même d’art, ces musiciens et artistes élaborent un rapport aux sons où l’idée et les processus réflexifs qu’elle engage chez l’auditeur et le spectateur prévalent sur la réalisation."
3. Festival Sonic Protest
Et finalement, le festival Sonic Protest, dont nous vous reparlerons, propose dix jours de musique free, noise rock et électro-acoustique du 2 au 10 avril dans 7 lieux de Paris et des environs.
Ariane Gruet-Pelchat
Rédigé le 26 mars 2011 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !
i
Mouvement phare des années 1990 inspiré du célèbre magazine de mode, le Voguing est né quelque part dans un entrepôt de Harlem. Après avoir révolutionné son époque, le Voguing s’éteint trop tôt. Le virus du Sida est contemporain du mouvement ; issu pour la plupart du milieu gay, black ou latino, la plupart de ses figures légendaires n’y survivront pas. On pensait le Voguing prêt à tomber dans l’oubli, on commence à peine à estimer son influence. Les Archivistes vous dévoilent la tendance 2011. Pop, dip, spin. Flashback. Lire la suite de cette entrée »
Publié dans Mode, Musique, Société | Tags : bals, dancehalls, Deep in Vogue, lady gaga, madonna, paris is burning, Pepper LaBeija, vogue, voguing |
Rédigé le 15 mars 2011 dans 04 Son (musique....) | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Reblog (0) | | Envoyer sur Digg | Envoyer sur del.icio.us | Tweeter ceci !