Après s’être alarmé pour la planète et avoir inclus l’écologie et le développement durable dans le champ de responsabilité des marques, une mutation s’opère dans la manière d’appréhender l’innovation, le marketing, la communication, les média et la création. Les marques commencent à étendre leur champ de responsabilité à la sphère sociale.
Ce mouvement est mû par l’apparition d’éléments nouveaux qu’il nous faut désormais prendre en compte dans l’approche stratégique de nos disciplines (voir premiere partie ci dessous).
- Après avoir redonné un sens à la consommation via l’accomplissement personnel, la nouveauté c’est de recontextualiser la consommation dans un parcours de vie, et de se mettre au service de la réalisation des projets de chacun : le développement approprié
- Les affaires humaines sont plus que jamais communautaires. On observe l’émergence de nouvelles communautés de Sens et de projet qui fonctionnent de manière ouverte, autonome et démocratique : la démocratie communautaire
- Les NTIC permettent, facilitent et accélèrent l’apparition et le développement des communautés : Le web comme toile transactionnelle inter humaine
Il se passe donc beaucoup de choses autour de nous, certaines personnes proposent des solutions concrètes pour réinventer le système…Il nous faut évoluer vers une nouvelle approche des affaires humaines.
Les 3 axes ayant guidé notre réflexion de groupe (partie 1
- Quelle est la nouvelle vision des personnes qui remettent l’homme
au centre de l’économie, du marketing, de la création, des médias et de toutes
les affaires humaines ?
- Qu’est-ce qui réunit les nouvelles communautés humaines ? Qu’y a-t-il
à l’origine de ces « communions humaines » ? Des valeurs ? des
projets? Pourquoi
agissent ils (agissons nous) ensemble ? Quelles coopérations se mettent en
place, comment ?etc.
- En quoi les nouvelles technologies modifient-elles la constitution et le
fonctionnement de ces nouvelles communautés humaines ?
Une exigence : des exemples concrets et menés a bien par des marques (partie 2, 3, 4, 5, 6)
La définition initiale du design est celle d’un concept
alliant une intention à sa réalisation matérielle. Cette conception première a
progressivement laissé place à une discipline qui a délaissé le fond pour ne
s’intéresser qu’à la forme, s’inscrivant dans une logique marketing et
industrielle, oubliant la théorie du design comme intention première, comme
alliance de l’idée et de sa représentation.
En cela, les enjeux actuels liés aux problématiques environnementales et
sociétales ont permis la renaissance d’un design approprié, au service du
développement humain. Le designer apparaît donc comme un des acteurs majeurs de
la mutation en cours, comme un artisan au service du progrès, porteur de
solutions globales. D’où une nécessaire extension du domaine du design, ce
dernier se préoccupant désormais non plus seulement de conceptions matérielles
mais surtout de la fourniture de services centrés sur l’expérience utilisateur,
intégrés en une logique systémique dans des « scénarios de vie » à la
mesure de l’homme.
L'effacement de l’objet des préoccupations centrales de la
démarche eco design laisse donc place à une vision qui privilégie la dimension
systémique des affaires humaines.
Appréhender les choses selon cette nouvelle pensée
systémique, c’est abandonner la conception traditionnelle par trop linéaire qui
fût longtemps l’unique modèle valable de compréhension du monde et œuvrer pour
la valorisation des cycles, qu’ils soient naturels, industriels ou humains.
L’entreprise, tout d’abord, se doit d’intégrer les différents cycles qui la
composent en un cycle global dont l’ambition est de générer non plus du profit
mais du développement humain. Du côté de l’industrie, un nouveau modèle émerge
dont la vision cyclique tend à faire disparaître les impacts négatifs sur
l’écosystème naturel. Se dirige-t-on vers un modèle économique générateur
d’externalités positives ?
Enfin, le design de solutions globales nous amène à
nous questionner sur l’émergence d’écosystèmes intégrés, au niveau de
l’activité économique d’un part, concernant les relations entre collaborateurs
dans le milieu professionnel, mais aussi concernant de nouvelles façons de
vivre ensembles au sein d’une société viable et durable. Ces nouveaux modes de
vie signifient au niveau local une revalorisation des territoires par la mise
en place de projets de développement durable et approprié. Au final, il est
aujourd’hui urgent de penser l’écosystème global, favorisant la diversité et
l’enrichissement réciproque des sphères économique, écologique et sociale en un
équilibre indispensable à la préservation et au développement approprié de la
vie sous toutes ses formes.
Aussi, ce rapport d'innovation a pour tâche d’explorer les développements en cours, les pistes
à suivre, les innovations qui nous indiquent les voies du progrès, qui
bouleversent notre époque, tant dans le domaine de la création que dans celui
de l’entreprise, de l’économie, et au niveau de la société dans son ensemble.
Un rapport issu du cercle d'innovation Courts-Circuits, à l'initiative de Pourquoi tu cours (l'agence des idées), encadré par les planneurs stratégiques Jérémy Dumont et Nicolas Marronnier.
Lors
du congrès des agences de communication 2009 par Stratégies, Jérémy
Dumont directeur du planning stratégique de pourquoi tu cours a donné
des éclairages sur les tendances 2009 : innovation, marketing,
communication, media, création.
La tentation est grande de traiter l’information comme de la data qu’on peut mettre dans plusieurs tuyaux et de considérer le journaliste comme un homme orchestre qui peut retranscrire l’information en texte, son, vidéo, flux RSS pour tous les canaux simultanément ?
Et ceci alors que l’information, dans un monde complexe et en mouvement rapide, est au cœur de toutes nos décisions, de nos actions, et qu’elle attise les convoitises de ceux qui peuvent avoir intérêts à manipuler l’opinion où influencer le comportement des masses : politiques, industriels, publicitaires…
Comment augmenter la valeur perçue de l’information pour que l‘écosystème de l’information soit pleinement viable pour toutes les parties prenantes les médias, les journalistes, les lecteurs et les annonceurs ?
Le danger vient non moins de la presse gratuite d'information qui attire les lecteurs qui n'ont jamais été tentés par le payant, que par le Web.
En effet, l 'information émanant du Web est gratuite, claire, immédiate, efficace, mise en images et en vidéo, on demand. Elle se diffuse à chaque seconde, en même temps que l'évènement qui la fait, en même temps que l ‘événement qui se déroule.
Et c’est sans compter sans les autres médias…la TV et la radio…
Jusqu’alors la presse faisait particulièrement autorité face à d’autres grands médias comme la télévision ou la radio. Mais les gens ont accès à de plus en plus de sources ultra ciblées, que ce soient des médias presse, la télé…là ou ils veulent, quand ils veulent.
De plus, tout le monde aujourd’hui peut devenir producteur de contenu, Journaliste amateur ou spectateur ou simple commentateur et diffuser via les plateformes de blogging ou micro-blogging.
Il faut se rendre à l’évidence : l’information n’est plus maîtrisable et maîtrisée. Nous assistons à la montée d’un besoin grandissant de filtrage, de hiérarchisation et de simplification de l’information.
Il va falloir s’organiser.
Alors que le web devient un grand lieu de conversation : sous les articles, entre les gens dans les réseaux sociaux, dans google…
Et que les contenus ne sont plus solidaires des supports médias : on tape une requête et on tombe par hasard sur le site d’un titre de presse, ou sur un extrait d’un article d’un titre de presse sur un autre site.
Il est vital que les titres de presse deviennent des marques médias fortes avec une charte éditoriale claire, un contrat de lecture approprié, un style et des valeurs propres et uniques.
De plus, ils doivent servir mieux encore des communautés choisies afin de redevenir « leur journal » en adoptant un posture intra communautaire (type «la voix du nord ou psychologies) ou inter communautaire (type package le monde + new york times).
Ainsi, une dernière question évidente: comment communiquer une information ?
LES CONTRIBUTEURS DE CE RAPPORT D'INNOVATION : - Alain Giraudo, fondateur du "Monde interactif" - François Sergent, rédacteur en chef Libération - François Kermoal, rédacteur en chef Stratégies - Eric Scherer, directeur analyse stratégique AFP - Jean Maxence Garnier, directeur et fondateur de Think Out - Philippe Plassart, rédacteur en chef, Le Nouvel Economiste - Michel Lévy Provençal, nouveaux medias, France 24 - Lisa Ernst, journaliste, audiovisuelle et éditoriale - François Laurent, Consumer Insight - Bruno Ricard, directeur, syndicat de la presse régionale - Marie-Estelle Rybinski, Directrice cross media, Mondadori - Marcelle Blandel, Directrice audience marketing, Orange - Marc-Philippe Dubreuil, Ad&So Consulting – Cohom - Judith Sautereau, Project manager, Symantec - Benoît Raphael, Rédacteur en chef lepost.fr - Stéphane Chirie, COO Yoowalk - Leila Berrached, connaissance média (Argus presse). - Eves Demange blogueuse, spécialiste du web - Xavier Dordor directeur APPM - Marie laure Lerole, directrice pôle presse, Ipsos média - Marie-Catherine Beuth, Journaliste & auteur - Catherine Malaval historienne et économiste de formation, conseil en communication d'entreprise. - Decuyper Nathalie, professseur droit de l’information et de la communication. - Gerry McGovern, Web content management solutions, founder and CEO of Customer Carewords. - Marie Bénilde, enseignante et journaliste collaboratrice au Monde Diplomatique - Olivier Tredan, doctorant CRAPE Université de Rennes. goupil, blogeur www.blogoergosum.com - Annabelle Klein, Directrice du département de Sciences politiques, Facultés universitaire Notre-Dame de la Paix. - Marc François Bernier, professeur au Département de communication de la Faculté des arts de l’Université d’Ottawa. - Paul Bradshaw, online journalist - Jeff Mignon, entrepreneur, a strategic media thinker and a visual journalist - Thibault Michal, créatif EURORSCG - Cédric Motte, expert en stratégie éditoriale, journaliste rédacteur, blogueur et formation de journalistes web. - Jerome Capirossi, Director, ARISMORE sur Ziki.com - Nikos Smyrnaios, maître de conférence, Université de Toulouse. - Nathalie Quint, journaliste
Encadré par Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique de pourquoi tu cours, co-réalisé par Anne Charlotte Delaître, planneur stratégique junior.
....Des petites histoires comme traces d’une grande histoire.....
La culture est un ensemble de pratiques et de croyances.
Le but d’un créateur de culture, le but de toute marque, est donc d’organiser ces croyances et ces pratiques, de les orienter, de les catalyser.
Les histoires jouent un rôle essentiel, par leur capacité à formaliser des modèles, à être des tuteurs psychosociologiques.
Nike invite à la transcendance. Elle le fait en s’appuyant sur des récits ponctuels, mosaïques, qui renvoie à l’air du temps comme à son méta-récit.
Storytelling signifie littéralement raconter une histoire en anglais. Le Storytelling est la version moderne de l’art de la transmission et de la conviction par le pouvoir des histoires. Il consiste à faire émerger une ou plusieurs histoires à fort pouvoir de séduction et de conviction. Selon le principe que pour parler à la tête, il faut souvent d’abord toucher le coeur. Autrement dit passer par l’émotion pour atteindre la raison.
Les contributeurs de ce rapport d’innovation :
Jérémy Dumont (Directeur Planning stratégique, Pourquoi tu cours) Morgane Craye (Assistante Planneur stratégique, Pourquoi tu cours) David Hanau (Responsable des contenus web, Isobar) François Gomez (Consultant en marketing événementiel) Simon Bachelet (Planneur Stratégique, Mediacom) Alexandre Pasche (Directeur, Eco & Co) Janique Laudouar (Chef de Projet, Artank) Jérome Barbe (Directeur de Création, TBWA/EXCEL) Frédéric Farrugia (Co-fondateur, You to You) Stéphane Dangel (Consultant en communication et storytelling) Jean Pascal Debailleul (Horakles Consultant, La voie des contes) Christian Salmon (Ecrivain) Virginie Breton (Consultante en stratégie de marque, Argile Marketing) Anne Caroline Paucot (Hyaka) Jean Yves Le Moine (Créateur et réalisateur) Reuben Steiger, CEO of Millions of Us Robert Zarader (Equancy) Pablo Altes (Designer numérique) Laurence Malenson (Directrice Planning stratégique, Rouge) Mehdi Mejri (Planneur stratégique, Rouge) Nicolas Mirguet (Chef de Projet, Vanksen Culture Buzz) Luc Offerlé (Directeur éditorial, Pressendo) Djamchid ASSADI (Séminariste et auteur) Cedric François (Directeur de Création, Nouvel Œuvre) Hugues de la Rochefordiere (Directeur Editorial, La Télé des Marques) Roger Nifle (Président de l’Institut de la prospective humaine) David Bourguignon,(Business developer, Masa Group) Sandrine Clavelly (The Place to Be) Maud sauvagé (Planneur stratégique) Laurence Saquer (Planneur Stratégique et Sociologue) Catherine Gheselle (Auteur Rédactrice Multimédia) Anne Marie Soderberg, Professeur de communication organisationnelle Pierre Nicolas Combe (Assistant Réalisateur) Aurélie Charpentier, Auteur Delphine Baillergeau (Maître de Conférences en Sciences de Gestion) Sebastien Durand (Consultant en communication et storytelling) Sam Ford (Convergence Culture Consortium, MIT) Charles Antoine Colomb (Directeur Conseil, Ogilvy PR) Ivanne Rialland (Chercheur, Paris IV Sorbonne) Rémy Lorioz (Etudiant en Ecole de Commerce) Michel Drac (Co-fondateur, Sciptoblog.com) Stéphane Lautissier (Consultant en marque et marketing relationnel) Annabelle Klein (Directrice Département, Facultés Notre Dame de la Paix) Gill Wildman et Nick Durrand (corporate storytellers, Plot UK) Amine Chellali (Doctorant à l’Ecole des Mines de Nantes) Camille Rooy (CMA CGM) Cathy Breda (Professeur au Groupe Ecole de Commerce Chambéry) Fernandez Sauveur (Conseiller en marketing, L’Econovateur) Henry Jenkins (Director of the MIT Comparative Media Studies Program) Eric Miller (Director, World Storytelling Institute) François Filliettaz, Auteur
LE RAPPORT CI DESSOUS EST VISIONABLE ET TELECHARGEABLE
Vous pouvez également le télécharger directement :
La socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs,
personnels et communautaires.
Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine est plus que jamais collective.
Ainsi la performance individuelle se situe de plus en plus dans un contexte de performance
collective. Celle des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres :
communautés sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou
communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques ou nouvelles de
communautés d’enjeu et de devenir.
Les membres de courts circuits suivants ont travaillé ensemble sur ce thème d'innovation :
Roger Nifle (président de l’université de la prospective humaine) Jérémy Dumont et Sophie Demol (Pourquoitucours) Nicolas Marang (crisis manager l‘Oréal) Alain Lefebvre (consultant NTIC) Laurent Ponthou (Orange Labs) Serge Perez (président, les Ateliers Corporate) François Marie Pons (auteur du livre «l’innovation à tous les étages »), Daniel Luciani, (directeur général Icom) Laurent Vanexe (stratégie et coordinateur réseau Good action) Laurent Térisse (directeur No limit) Olivier Maurel (Danone community) Michel Provençal (Zutopik) Yves Michel (éditeur indépendant, éditions Yves Michel) Mathieu Coste (chief chaos officer nearby) Martin duval (Ceo Blue Nove) Isabelle et Thierry Crouzet (Créatrice de Cozop) Florent Niwinsky (agence Elegangz) Céline Ruffet (directrice france, Qype) Anne-Stephanie Pierry (responsable communication, Crédit coopératif) Philippe Noel (planneur stratégique) Francis Cholle (écrivain, « l'intelligence intuitive ») Olivier Zara (écrivain, « management de l’intelligence collective »)
Les oiseaux de mauvais augure dressent un portrait sombre d'une société
en mal d'avenir et d'ambitions collectives. A les entendre, les jeunes
contestent moins, les créatifs suivent la mode, les philosophes
bégaient...
Dans leur description, ils oublient que si le contexte économique,
politique et social incite à la morosité, il est aussi porteur de
contradictions génératrices de nouvelles énergies : Les excès
d'individualisme redonnent le goût pour la réflexion collective ; Les
pertes de sens incitent au bon sens créateur de nouvelles utopies ; La
technologie crée des liens et autant de nouvelles envies de faire
ensemble.
Ensemble...collectons, rassemblons, métissons tous les idées, rêves,
énergies existantes. Les objectifs sont que chacun puisse avoir des
rêves assez hauts pour ne pas les perdre de vue et écrire un futur
commun désirable qui nous permettra de le choisir et non plus de le
subir.
LE BOOK DES PROJETS RETENUS POUR LE PRIX KYOSEI, DU DEVELOPPEMENT DURABLE AVEC PLUS DE 50 PROJETS INNOVANTS DANS LE MARKETING, LA COMMUNICATION, LES MÉDIAS ET LA CRÉATION ...SUSCEPTIBLES D'INSUFFLER UNE NOUVELLE DYNAMIQUE ENTRE NOUS :
Aujourd'hui, les médias et les marques doivent faire face à la multiplication des sources et des supports de diffusion. Puisque tout le monde peut facilement prendre la parole, la légitimité des médias traditionnels est contestée.
Les médias doivent donc se trouver une nouvelle valeur ajoutée.
Ce nouveau rôle viendra d'une capacité à engager une conversation avec leurs usagers, mais aussi à susciter des conversations entre les usagers, sans forcément intervenir.
Il en va de même pour les marques, qui sont elles aussi des productrices de contenus et des objets de conversation. C'est désormais en s'attachant à créer du lien entre les usagers que les marques et les médias installeront des relations durables entre leurs parties prenantes...
Mais pour entamer cette grande conversation on line et off line, il faut qu'on utilise des téléphones, des ordinateurs, des interfaces... Et pour optimiser leur fonctionnement, nous devons leur fournir des informations sur nos intérêts, nos envies...notre personnalité.. Que sommes-nous prêts à dévoiler sur nous-mêmes pour fluidifier la grande conversation ?
POUR VOIR LA PRÉSENTATION SUR SLIDESHARE, CLIC SUR LES IMAGES,
POUR TÉLÉCHARGER LA PRÉSENTATION EN .PDF, VA VOIR EN BAS DE LA NOTE :
Alliance pour la Planète remet en question l’action du BVP…et par ce biais…celle des communicants. Les consommateurs exercent de plus en plus leur « pouvoir d’acheter », en demandant de plus en plus d’informations sur ce qu’ils mangent.
Le cours des matières premières augmente, les agriculteurs sont tentés d'avoir recours aux OGMs pour nourrir le monde, les industriels se soucient plus des questions d'hygiène que de la réalité nutritionnelle finale, les distributeurs rachètent des filières entières de production pour contrôler leurs fournisseurs…
Pour trouver de nouvelles façons d’exercer nos métiers de publicitaires, de marketeurs… dans le secteur alimentaire, nous sommes partis des deux attentes principales qui ressortent du baromètre des perceptions alimentaires 2007 du CREDOC : -L’alimentation santé : manger pour rendre son corps plus résistant. -L’alimentation hédoniste : manger pour se faire plaisir. Et nous avons exploré toutes les opportunités d’évolution qui nous sont venues à l’esprit.
POUR LIRE LA PRÉSENTATION DANS SLIDESHARE, CLIC SUR LES IMAGES. POUR TÉLÉCHARGER LA PRESENTATION, VA VOIR EN BAS DE LA NOTE.