Rédigé le 15 mai 2014 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé le 14 mai 2014 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
Le cas PuceauX présenté par McCANN Paris pour l'INPES vainqueur de 3 prix:
Prix Empreintes 2013:
- Prix d'Or de l'Audace pour PuceauX INPES
- Prix du Jury pour PuceauX INPES
Grands Prix Stratégies de la Publicité 2013:
- Prix catégorie Intérêt général, grandes causes pour la campagne PuceauX INPES
Rédigé le 03 mai 2014 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
Grey lance la nouvelle plateforme digitale de contenus « LEGOcreativite » ou « Toute la créativité Lego en 1 clic » destinée aux mamans. Celle-ci se devait d’être en digital ce qu’elle est dans la vraie vie. Elle s’inscrit dans la continuité de la nouvelle prise de parole de la marque, mise en scène autour de la liberté créative des enfants. On y trouve un contenu éducatif, dans la rubrique « Coin des Mamans » et du contenu contextuel avec les campagnes de pub et les opérations spéciales, jeux... Legocreativite.fr est également un point d’entrée vers tous les autres supports de la marque : chaîne YouTube, page de fans Facebook…
Rédigé le 25 avril 2014 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
Georges Mohammed-Chérif, fondateur de Buzzman
Ils ont l’insouciance de la jeunesse. Certains y verront de l’arrogance. Dans leur locaux “tout en hauteur” de la rue Saint-Georges, les créatifs de Buzzman donnent le “la” de la création publicitaire internationale. Le credo des équipes de Georges Mohammed-Chérif : le digital au centre et la créativité tout autour. “Toute publicité est non voulue, elle interrompt la vie du consommateur. Pour s’inviter à la fête il faut apporter le champagne.” Depuis 2010 et sa campagne A hunter shoots a bear réalisée pour la marque Tipp-Ex, Buzzman empile grands prix et récompenses jusqu’à la reconnaissance suprême de meilleure “international small agency” par Advertising Age, l’hebdo américain de référence du secteur. Cercle vertueux, les succès attirent les clients. L’iconique Burger King les a choisis pour son grand retour en France. Les campagnes publicitaires devraient être visibles au printemps pour les prochaines ouvertures des restaurants de la marque. On attend avec impatience le nouveau coup de buzz. Dévorée des yeux par un géant de la communication, la start-up digitale a choisi de conserver son indépendance. La concurrence s’est inspirée de ses méthodes. Buzzman est attendue au tournant.
Le métier de publicitaire change. Les agences “traditionnelles” doivent s’adapter aux nouvelles formes de communication. Pour des pure-players digitaux comme Buzzman – nous avons lancé l’agence en 2006 -, c’est plus facile. Sur le marché il reste encore beaucoup de dinosaures. Changer un modèle économique vieux de 10, 20 ou 30 ans est très complexe. Pour être honnête, je pensais avoir des compétiteurs plus coriaces. Depuis 2 ou 3 ans, il y a de bonnes agences. Je suis ravi. Avoir des concurrents de très haut niveau est préférable, cela a certifié notre modèle.
Le positionnement
Buzzman part du principe que le point central d’une communication se situe aujourd’hui dans le digital. Dès son lancement, l’agence a tout misé sur les nouveaux médias numériques : Internet, les sites Web, la vidéo en ligne, les smartphones, etc.Pour une raison simple : l’effet démultiplicateur, le buzz comme on dit. Sur le Net, les gens partagent, tweetent, re-tweetent… en un mot, c’est viral. Un spot de publicité sur YouTube peut être vu des millions de fois.
Sur le marché nous sommes reconnus comme une agence de référence en communication digitale. 70 % de notre business est généré par elle. Les 30% restant se font dans les médias classiques. Il n’y a pas d’antinomie entre les médias traditionnels et les médias digitaux. Les anciens supports, de la télévision à l’affichage en passant par la radio ou la presse, restent pertinents pour les marques. Les médias traditionnels servent à diffuser un message, le digital à s’approprier ce message. La valeur se crée dans les combinaisons, dans les dispositifs de communication en complémentarité qui bonifient l’argent investi sur les différents canaux.
lire la suite de l'article : http://www.lenouveleconomiste.fr/georges-mohammed-cherif-buzzman-les-medias-traditionnels-servent-a-diffuser-un-message-le-digital-a-se-lapproprier-22015/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter
Rédigé le 24 mars 2014 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
Après avoir obtenu le titre en 2009, 2010 et 2011, Sid Lee a été nommée, pour une quatrième fois en cinq ans, agence de l'année au pays par le magazine Marketing; entrevue avec Martin Gauthier, associé principal et président de Sid Lee Montréal.
Qu'est-ce qui vous rend le plus fier de cette distinction?
C'est de voir Sid Lee récolter ce titre pour une quatrième année en cinq ans. D'une certaine façon, cela ne peut être le fruit du hasard et il faut reconnaître que nous faisons nécessairement quelque chose de bien. Que les façons progressives de faire de la communication marketing rapportent leurs dividendes. Et ça, nous le devons à nos artisans, au coeur de nos succès.
Que retenez-vous de 2013?
2013 a été une année où nous avons franchi de grands pas; autant au chapitre de l'acquisition de comptes, avec l'arrivée de Burger King, Bombardier Aviation d'affaires et PC Financial, que de nos réalisations et de notre croissance. Je pense au déploiement de notre première grande campagne pour Absolute, aux réalisations pour Sport Chek, à l'événement Lolë à Paris, mais aussi à l'ouverture officielle de notre bureau de New York et au lancement de Sid Lee Entertainment. L'agence compte maintenant plusieurs ramifications. Elles ont toutes été appelées à contribuer, et je ne peux qu'être fier du travail accompli.
Qu'est-ce qui permet à Sid Lee de se distinguer?
Notre industrie traverse de très grands changements. D'un côté, les habitudes des consommateurs évoluent très vite. De l'autre, les budgets des annonceurs restent sensiblement les mêmes, mais sont d'autant plus répartis alors que les plateformes de diffusion se sont multipliées. Nous devons donc être polyvalents. On doit regrouper des artisans qui nous permettent de comprendre les différents points de contact avec les consommateurs, que ce soit en magasin, sur les médias sociaux ou les supports publicitaires traditionnels. C'est ce qui nous a poussés à lancer différentes entités spécialisées, et c'est également ce qui rend notre modèle difficilement imitable. Nous avons mis plusieurs années à bâtir notre écosystème, mais c'est maintenant ce qui fait notre force.
http://www2.infopresse.com/blogs/actualites/archive/2014/01/31/article-43430.aspx
Autrement, nous sommes dans une industrie de talents, et la préoccupation première reste la recherche des meilleurs. Il s'agit de la seule façon de rester compétitif et de se maintenir au sommet.
Justement, vous êtes en compétition directe avec d'immenses réseaux d'agences. Arrivez-vous à tirer votre épingle du jeu?
Nous constatons que plusieurs grandes marques, comme Absolute, recherchent l'agilité, et c'est ce que nous sommes en mesure d'offrir. En ayant établi ce que nous qualifions de «mini réseaux globaux», nous avons développé une force de frappe internationale, tout en conservant les atouts et la flexibilité des plus petites agences de création. Plusieurs acteurs dans les grands groupes sont extrêmement bons et créatifs, mais très peu peuvent offrir ce même niveau d'agilité.
Qu'est-ce qui s'en vient pour Sid Lee?
Nous souhaitons continuer d'étendre notre «mini réseau global». Sid Lee Toronto a connu une année formidable et, si nous avons mérité le titre d'agence de l'année, une grande part du mérite lui revient. Idem pour notre bureau de New York, qui a accompli un travail exceptionnel à sa première année, triplant autant en matière d'effectif que de volume d'affaires. Nous allons donc continuer de stabiliser ces deux pôles, mais non sans garder les yeux bien ouverts sur d'autres destinations. Pourquoi pas l'ouest des États-Unis, pourquoi pas l'Asie! Il n'y a peut-être pas de plan défini, mais une chose est certaine, c'est que nous voulons continuer d'étendre le réseau, tout en restant agiles et indépendants.
Rédigé le 31 janvier 2014 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
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Rédigé le 18 décembre 2013 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
Pour nous parler de SocialTV, de ses publics, de ses audiences, nous avons interrogé Wale Gbadamosi Oyekanmi, président de la jeune et très réactive agence Darewin qui dédie ses activités au Social Entertainment.
Le commentaire d’émission de TV est très lié à la nature même de la
télévision comme média de masse qui fait réagir, déjà dans le salon au
sein d’une famille.
Cette discussion s’est déclinée à une échelle plus grande sur les réseaux sociaux mais avant c’était par SMS ou par téléphone! Les avancées technologiques ont mis entre les mains des téléspectateurs de nouveaux outils, leur comportement de base s’est développé sur de nouveaux supports.
Avant on ne pouvait pas mesurer le nombre de gens qui étaient au
téléphone ou qui échangeaient des SMS en regardant la télévision. La
nouveauté avec les réseaux sociaux et avec la notion de temps réel,
c’est qu’il a une vraie mesure, un vrai indicateur sur le volume de
cette activité là. Dès lors il est possible de mettre en place des
stratégies d’optimisation, des stratégies pour engager, monétiser, etc…
C’est le volume des usages qui a fait que les chaînes se sont
engouffrées dans la social TV, voyant qu’une bonne partie de la
population produit des centaines de milliers de tweets à propos de TV
tous les soirs. C’est une prise de conscience collective liée aux usages
spontanés des téléspectateurs par les détenteurs de droits TV, chaînes
ou producteurs qui se sont dit que s’ils ne rentraient pas sur ce
terrain de jeu, la partie se ferait sans eux!
Comme toute répartition, c’est quelque chose d’assez brut, ce n’est pas inintéressant, mais je pense qu’en 120 minutes d’émission, tu passes dans les quatre pôles, en fait.
Tout dépend du programme regardé! Je ne pense pas qu’il y a
beaucoup de “funny socializers” devant une émission tragique ou
d’informations. On appartient plus ou moins à une catégorie selon le
contenu regardé. Bref, je ne pense pas que l’on puisse cloisonner les
gens aussi fermement.
C’est intéressant d’ailleurs, parce que les animations social média
doivent alterner ces différentes catégories tout au long de la soirée,
être parfois plus fun ou plus sérieuses.
Après on sait que les réseaux sociaux sont le lieu du trait
d’esprit, de l’humour ou de la critique… Ce sont pour moi des catégories
qui y sont surreprésentées.
C’est dur à vérifier sur Twitter parce qu’il y a peu d’éléments
qui permettent de voir l’âge. Mais, on sait que la catégorie la présente
sur Twitter c’est les 50-55 ans. Twitter, c’est à la fois un lieu
d’expression et un lieu de présence. Il y a une forte présence des plus
de 30 ans mais qui ne sont pas actifs! Ils regardent et consomment
l’information. Par rapport à ça, il y a une suractivité des 15-25 ans
dans leur consommation de messages. Ce n’est pas nécessairement qu’ils
sont plus présents, ils ont surtout plus actifs, plus dans le partage,
ont plus l’habitude de communiquer. Du coup, ce sont eux qui s’expriment
massivement sur Twitter. Alors forcément, ce sont le plus souvent eux
qui font les trending topics. Mais les trending topics sont aussi
beaucoup liés à l’actualité et pas toujours celle qui va intéresser
cette tranche d’âge.
Et puis, ça va vraiment dépendre des instants de la journée, la TV a
un impact fort sur Twitter de 17h à minuit, à ce moment là, ce sont les
plus souvent des émissions de TV qui vont être en trending topics.
En outre, si les 15-25 ans sont très actifs sur Twitter, c’est aussi
parce qu’il y a un vrai désamour avec Facebook, parce qu’il n’est pas
anonyme et est devenu tellement intergénérationnel que les jeunes n’ont
pas envie d’y croiser leur mère par exemple!
Naturellement, ce qui fonctionne, c’est l’interaction. Il faut
aller chercher des leaders d’opinion, quitte à aller chercher un par un
les twittos, les solliciter pour engager un lien. Quand tu n’as pas la
puissance de la TV, de la presse, de la radio, il faut construire et
entretenir les relations une à une. Ça ne se fait pas en un instant, ce
n’est pas un spot publicitaire de 30 secondes! Il faut nouer une
relation dans le temps. Les 15-25 – comme toute cible d’ailleurs, sont
sensibles à l’intérêt que tu leur montres. Ce qu’ont fait, par exemple,
les émissions de divertissement en affichant les tweets des
téléspectateurs, c’est une manière de flatter l’ego. Les ados sont très
dans la représentation d’eux-mêmes, ils ont leurs 140 caractères de
gloire qui passent à l’écran. Cela va leur donner envie de revenir et
d’en parler! D’où fidélisation et engagement!
Autre fait important, c’est que les célébrités aimées des 15-25 ans
sont sur Twitter, chacun peut interagir avec elles, de manière directe,
sans filtre, alors qu’à la TV ou à la radio, on doit passer par un
standard. Les personnalités de la TV mais aussi de la musique, de la
mode, etc., ont compris qu’aller sur les réseaux sociaux est une manière
parfaite pour toucher et fidéliser un nouveau public et pour entretenir
sa fanbase.
Il n’y a pas aujourd’hui d’étude qui affirme à 100% que la SocialTV est bénéfique. Ce qu’on sait, c’est qu’elle permet de donner une nouvelle visibilité, de rajeunir aussi l’audience – il ne faut pas oublier que la TV est un média “vieux”, notamment sur le service public qui a une moyenne d’âge entre 40 et 60 ans en gros.
L’intégration du digital permet de recruter de nouveaux téléspectateurs, différents, plus jeunes, qui ont des usages un peu autres que leurs ainés.
Aujourd’hui, instinctivement, on se dit que si on veut faire
émerger une nouvelle marque, il faut communiquer dessus, pour que les
gens sachent qu’il y a un nouveau programme qui va arriver à l’antenne,
il faut communiquer dessus, et ce partout et tout le temps. Les réseaux
sociaux sont simplement un nouveau canal. L’idée est de pouvoir toucher
les téléspectateurs à tous les endroits, de multiplier les points de
contact. Pour driver tant vers le moment TV que vers le replay, cela est
devenu indispensable dans les stratégies de communication de toutes
les chaînes.
Aujourd’hui, toutes les chaînes ont une communication sur les réseaux sociaux et une stratégie sociale
Il y a beaucoup de pistes. On a assisté ces deux dernières années
à des évolutions très rapides de la part des chaînes qui ont réagi de
manière assez spectaculaire.
Les chaînes cherchent à développer un territoire propriétaire, à
faire en sorte que l’expérience TV reste chez elles, que les gens
viennent sur leur site, dans leurs applications parce que ce sont des
lieux qu’elles contrôlent et qu’elles peuvent donc monétiser.
C’est cette problématique qu’ont aujourd’hui les chaînes TV : la
conquête et l’installation d’un nouveau territoire, ce qui est très dur
parce que cela va à l’encontre de l’instinct naturel d’aller sur
Facebook ou sur Twitter.
Il s’agit bien sûr de créer, outre des expériences enrichies, des passerelles publicitaires pour démultiplier l’impact.
Il y a aussi des producteurs qui ont la volonté de faire rayonner
leur marque dans un maximum d’endroits. Ils sont donc moins dans une
démarche propriétaire mais essaient de construire des communautés autour
de leur marque. Cela repose sur le fait de produire des contenus TV,
flux, sport ou fiction, en y intégrant du digital. On est dans quelque
chose de plus communautaire, dans la mesure où, comme la communauté est
liée à la marque, ils peuvent la driver vers l’antenne, vers des
produits dérivés ou d’autres types de monétisation et de déclinaison.
On grandit! On est actuellement 8, on va bientôt être 10.
Là, on part à South by Southwest (SXSW) parce que l’on rencontre de
plus en plus d’acteurs internationaux pour montrer ce qui est fait en
France et pour voir les possibilités de collaborations à l’étranger
comme on bosse sur des marques internationales comme The Bachelor ou The
Walking Dead ou Youtube. On a envie d’exporter notre savoir-faire.
On garde la marche de travailler sur le divertissement
exclusivement, donc télévision mais pas seulement. On a envie d’aller
vers le cinéma, vers le jeu vidéo et vers les autres industries
créatives. On veut faire de la social TV et en tout cas, du Social Entertainment, voir comment on peut donner un contenu digital fort aux oeuvres de contenu divertissement.
Rédigé le 07 mars 2013 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)
Rédigé le 05 février 2013 dans 04 Du coté des agences | Lien permanent | Commentaires (0)