par Veryfriendly Nos amis disent ils beaucoup ce que nous sommes ?
Nous savions que les employeurs sont aujourd'hui nombreux à examiner les profils des candidats sur les réseaux sociaux avant de prendre leur décision d'embauche. Chacun prend progressivement conscience que les réseaux sociaux sont un endroit public, où il fait bon contrôler les informations que l'on donne de soi. Mais aujourd'hui, c'est de tout le monde, et surtout de ses amis, qu'ils faut se méfier : ils pourraient vous porter préjudice !
Le Boston Globe rapporte que des étudiants du MIT ont mis au point en 2007 un "Gaydar", le fameux radar à gays qui permettrait de prédire l'orientation sexuelle des étudiants de l'université en fonction des amis auxquels ils étaient connectés sur Facebook. A deux pas de l'outing, ces chercheurs tentent de démontrer que les interactions sociales, plus que le profil de chaque individu, révéle des informations sur sa sexualité...
Les deux étudiants, Carter Jernigan et Behram Mistree, ont mis au point un logiciel qui extrait les connexions entre les membres de Facebook et, en utilisant un modèle statistique, prédit l'orientation sexuelle de chacun. Ils ont pris comme échantillon de départ des étudiants qui avaient rejoint le réseau du MIT, et extrait de chaque profil trois données souvent renseignées : le genre, la catégorie "intéressé(e) par" qui indique l'orientation sexuelle, et les amis dans le réseau. Oui, forcément, si on renseigne que l'on est intéréssé par les garçons, ça dit qu'on est peut-etre homo : quelle révélation !
Ils ont constaté que les hommes ouvertement gays avaient proportionnellement davantage d'amis gays sur le réseau que d'amis hétéros. (sur 1544 profils étudiés) Mais en appliquant le modèle statistique sur 947 hommes qui n'ont pas déclaré d'orientation sexuelle sur leur profil, le Gaydar a identifié un certain nombre d'hommes comme étant gays. Les deux étudiants n'ont bien sûr pas pu vérifier de manière certaine la véracité des informations, mais ils affirment avoir utilisé leur propre connaissance personnelle des étudiants du campus pour valider l'outil. Ils ont testé les 947 ???? Non, en réalité ils connaissaient personnellement 10 étudiants sur le campus qui étaient gays mais ne l'avaient pas dit sur leur profil Facebook. Selon eux, les 10 individus en question sont tous apparus sur le radar. En revanche, le modèle fonctionnerait moins bien sur les personnes bisexuelles, ou sur les lesbiennes. Les lesbiennes auraient moins de connexions lesbiennes, donc plus friendly que les gays, plus subtiles, plus discètes encore et toujours ?
Cela nous apprend plusieurs choses : Facebook permet d'extraire nos données personnelles ! Et, révélation fracassante : les gays ont des amis gays, et les bis des amis hommes et femmes.... OUAHHHHH ! En tout cas, si un commercial se laissait abuser par ce factice gaydar, on imagine ce qu'il pourrait en tirer comme avantage, même si cela est depuis quelques semaines rendus plus difficile : les annonceurs ne peuvent plus cibler l'orientation sexuelle d'une personne sur facebook. Le secret de la vie privée a été réinstauré. Mais jusqu'à quand ? On est cependant plus inquiet sur les dérives extrémistes. imaginez qu'un groupement homophobe acquiert ce genre d'outil et vous harcèle quotidiennement, récupérant vos coordonnées téléphoniques, mails, votre adresse, vous "oute" à votre entourage....
La vie privée, ce n'est pas facebook. Et inversement.
De l’avènement de la vidéo comme contenu de marque et autres réflexions de rentrée Publié le 14 septembre 2010 Après avoir longtemps été à la traîne dans l’adoption des outils digitaux de... Visit the blog : www.levidepoches.fr/echange
Nouveau sur http://www.bymusic.fr/ : D’un côté, les annonceurs. L’abondance des messages publicitaires adressés au consommateur, la volatilité croissante des clients ou encore l’essor d’Internet -... Visit the blog : www.levidepoches.fr/echange
Contenu de marque Le contenu de marque (brandedcontent) ou programme de marque (funded programming) est un genre créatif à part entière, différent de la publicité. Il associe une logique de... Visit the blog : www.levidepoches.fr/echange
Récemment j'étais invité dans le talkshow de Media Junkie pour parler du Brand Content. Le sujet à la cote comme s'il était novateur, voire révolutionnaire. Et pourtant, nous n'avons rien inventé ! Récemment j'évoquais sur mon blog l'opération "Pour un...
Notre positionnement sur le développement de stratégies 360° liant l'utilisation des usages web, social média, marketing viral, évènementiel, mobile et RP, permet aux ANNONCEURS / PRODUCTEURS /... Visit the blog : www.levidepoches.fr/echange
Daniel Bô et Matthieu Guével nous font partager leurs réflexions sur le phénomène brand content, ses applications, ses implications stratégiques.. Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo "Comment les marques se transforment en média" Darketing N°5 Vidéo darketing sélectionnée...
Alors revoilà le serpent de mer du brandedcontent décliné pour les "alcooliers" et la question qui suit toujours derrière : Ils peuvent ou pas ?Stella Artois répond oui, et s'offre cette émission écolo style 60's avec sponsoring et placement de produits à tous les étages. C'est techniquement réussi, mais...
Le net, nouvelle dimension pour les marques de luxe? Luxe et Internet sont-ils compatibles? Comment un secteur exclusif, fonctionnant sur le mystère et le teasing, s’adapte-t-il au web? Révolution de la vidéo, du brandedcontent, succès des blogs de mode et luxe, ce Media Junkie propose une analyse subtile d’une industrie en pleine révolution....
De la création à la diffusion des contenus pour tous les médias !
Le rendez-vous business des professionnels de l’audiovisuel.
Pour sa 28e édition le salon Satis vous donne rendez-vous du 19 au 21 octobre 2010 à la porte de Versailles.
C’est le rendez-vous business et multisectoriel qui réunit tous les acteurs des marchés du : Broadcast TV & Cinéma Création & Postproduction, Solutions audiovisuelles pour l’Entreprise, Audio Radio.
Le salon présente toute la chaîne audiovisuelle de la création à la diffusion et toutes les nouveautés technologiques du moment.
Le paysage audiovisuel est bouleversé par l’arrivée de nouveaux médias (TV sur mobile, Internet, WebTv, webradio,…), les formats des contenus changent. Toutes les solutions sont sur le salon !
Pour 2010, le salon met l’accent sur les solutions audiovisuelles pour les Entreprises (affichage dynamique, systèmes de visioconférence et téléprésence,….).
Plus qu’un salon, le Satis c’est un lieu d’animations et de conférences autour des problématiques des métiers du secteur.
Le salon abordera dans le programme de conférences les grands sujets d’actualité du moment.
JEUDI 21 0CTOBRE 2010 DE 10h à 11h30 Web TV, miroir ou reflet ? Conférence proposée par CB news, Entrecom et le Club du Brand Content suivie d’un cocktail offert par Cité de mémoire
En complément des messages publicitaires traditionnels, les marques produisent aujourd’hui des contenus éditoriaux de plus en plus élaborés, jusqu’à devenir des médias à part entière.
Le phénomène des contenus de marque (brand content) s’amplifie mais pose de nombreuses questions : Qui ? Quoi ? Comment ? Quelle efficacité ? Quels médias ? Quels contenus ?
La Web TV représente l’un des contenus phares du brand content et semble devenir un véritable outil de communication, vecteur de buzz. Un véritable relai de diffusion capable d’aider l’entreprise à se développer et à se faire connaître.
Les intervenants à cette conférence pourront ainsi échanger leurs points de vue sur ce sujet, qui en constituera ce jour-là le thème central.
Ce qui m’intéresse, c’est de créer de l’incomparabilité
Publié le 27 Juin 2008
Dans quel contexte évaluez-vous les AI : management opérationnel ou opération spécifique? Dans mon métier de publicitaire, mon problème n’est pas tant l’évaluation des actifs immatériels que leur révélation. Quand on évalue, on prend toujours pour base la constance du périmètre. N’importe quel calcul par Discounted Cash Flows se base sur le périmètre actuel de l’entreprise.
Or, l’enjeu principal de l’identification des actifs immatériels, c’est de réussir à faire varier le périmètre de légitimité et d’action de l’entreprise. Faire en sorte que les périphéries du «core business» puissent devenir des businesses à part entière.
Je me place donc toujours résolument dans une logique entrepreneuriale avec mes clients, et non dans une logique comptable d’imputation de certains actifs, qu’on qualifie en rhétorique d’immatériels (le capital client, le capital organisationnel, le capital savoir, le capital ceci ou cela, etc.), sur le périmètre actuel de l’entreprise.
Que révéler ? Il y a actif immatériel, lorsqu’en plus des processus internes déjà existants, une entreprise est capable de créer une visibilité spécifique de ce processus interne auprès d’un public très large.
On comprend mal la question de l’économie de l’immatériel si on ne voit pas que tout l’enjeu est le plus souvent de passer de la vente de produits, sous forme de transactions, à la vente de solutions, sous formes de relations et de modèles économiques qui s’apparentent davantage à des forfaits & abonnements. Dans un livre remarquable tout récent, Philippe Moati, économiste au CREDOC, décrit bien ces mutations (L’économie des bouquets, éditions de l’aube, avril 2008).
Un immatériel est intéressant quand il peut donner lieu à la constitution d’un bouquet de services/bouquet d’offres, qui est relativement autonome par rapport au métier de départ. Le propre des actifs immatériels étant que, alors qu’un actif tangible fonctionne par synergies internes et secrètes, confidentielles, comme un actif habituel, le propre de l’immatériel, est que pour acquérir une réalité, une valeur, il faut qu’il démontre une séparabilité et il faut qu’il y ait une visibilité possible de cet actif.
Exemple très simple : Cofidis, qui n’est pas une entreprise cliente, est en grande partie fondée sur l’ancien fichier client des 3 Suisses, c’est à dire qu’au départ c’était un métier interne : la fidélisation des clients, l’optimisation de l’envoi des catalogues etc. ; puis c’est devenu une entreprise de facilité de paiement et de crédit à la consommation complètement détachée de l’entreprise mère. Ce sont ces processus là qui m’intéressent. D’un côté on a des actifs tangibles qui sont synergiques et secrets, de l’autre côté, les actifs immatériels qui sont visibles et séparables.
Dit autrement : un actif immatériel est d’emblée le fruit d’une socialisation, d’un effet de club, de réseau, de notoriété. Alors qu’un actif tangible est irréductiblement une réalité propriétaire pour l’entreprise.
Aucune entreprise n’est capable de révéler et valoriser ses immatériels si elle ne considère pas les «externalités» dans lesquelles elle s’inscrit comme des éléments essentiels à la conduite de son propre modèle économique. Le secret de toute sur-valeur, au fond, c’est que les externalités dans lesquelles l’activité de l’entreprise réussit à s’inscrire sont comme captées sous une forme ou sous une autre (co-production des clients, buzz associable à la marque, fonctionnement de l’innovation en cluster etc.) par l’entreprise elle-même. Qui réussit ainsi une forme de synthèse entre les facteurs internes et les facteurs externes.
Pourquoi est-il important de définir et évaluer ses actifs immatériels ? Parce que ce sont des relais de croissance très importants, qui permettent à des entreprises de s’étendre vers de nouvelles légitimités. Le problème pour une grande entreprise, ce n’est plus d’apparaître comme un acteur –même - performant de son secteur d’activités, le problème c’est de réussir à apparaître comme une entreprise qui redéfinit le périmètre de son secteur d’activités.
Nous ne sommes plus dans des stratégies de «pure player» où les questions de comparabilité et de benchmark sont structurantes pour la conduite de l’entreprise ; nous sommes plutôt dans des cas que les stratèges d’entreprises appellent «blue ocean». Le problème ce n’est pas d’être comparable à ses concurrents, le problème c’est d’être perçu comme justifiant réellement une prime d’incomparabilité. Du point de vue des produits comme du point de vue des actifs. Peu d’entreprises sont capables de le faire.
Avez-vous une méthodologie pour évaluer si une entreprise est capable d’avoir une prime d’incomparabilité ? Cette incomparabilité est exprimée essentiellement par la perception que se font les consommateurs et les marchés financiers. C’est un problème de perception de ce que sont les options d’avenir d’une entreprise davantage qu’un problème de lecture de ses fondamentaux actuels. Et c’est la que la publicité devient intéressante. En un sens, le seul problème est : «cette entreprise qui vend ces produits, comment va-t-elle transformer cette vente de produits en vente de solutions ? De quelle valeur ajoutée va-t-elle réussir à devenir l’intégrateur ?»
Il s’agit de voir si une entreprise est capable de produire un «outcome», plus qu’un «output». Quelle est la différence ? Si vous achetez un yaourt dans un supermarché, après l’avoir mangé vous avez deux possibilités : soit vous n’avez jamais souvenir de ce yaourt, soit vous gardez de cet instant là une petite trace, qui éventuellement sera réactivable lorsque vous reverrez le même packaging de yaourt. Dans le 1er cas, yaourt n’était qu’un «output», dans l’autre cas, il y avait un début d’«outcome», c'est-à-dire un véritable impact.
D’autre part, il faut évaluer si la croissance d’une entreprise est plus basée sur des éléments organiques, internes, ou plus sur la séparabilité et la fair value de ses activités.
Les entreprises qui réussissent sur les deux tableaux sont celles qui réussissent à dire aux consommateurs : je ne suis pas une entreprise dans un secteur d’activités, je suis une entreprise qui redéfinit mon secteur d’activités, qui crée une «intersectorialité» qui va au-delà de mon jeu concurrentiel immédiat.
Aux Etats-Unis en ce moment des études commencent à poser la question «Do I buy a car or do I buy a Toyota ?». Effectivement, par exemple, la Prius, dans l’esprit des gens, ce n’est pas une nouvelle gamme de voiture. C’est purement et simplement une redéfinition du concept même de voiture.
Beaucoup d’entreprises ont beaucoup de marketing efficace, mais un marketing de segmentation, pas de réinvention. Leurs marques sont davantage des arguments commerciaux, des éléments puissants de différenciation. Mais pas des actifs. Car une marque n’est un actif immatériel qu’à partir du moment où, au-delà du produit, cette marque rend crédible la capacité à proposer ses options nouvelles de produits et services.
Quels obstacles rencontre-t-on dans une évaluation ? Il y a un vrai gros problème de méthode. Dans le champ français, on considère que l’immatériel fait partie du capital propriétaire de l’entreprise, comme par exemple le capital humain, le capital client, organisationnel etc., alors que la valeur des principaux actifs immatériels n’est pas logée à l’intérieur de l’entreprise, mais plutôt d’une part dans la façon dont les gens extérieurs à l’entreprise perçoivent cette entreprise, et d’autre part dans la constitution d’effets de réseau. Or le propre d’un effet de réseau, c’est d’être extérieur.
Donc dans le contexte singulièrement français, on se trompe de grille d’analyse ! En France, nous sommes en train de transformer la question de l’immatériel en une simple question de contrôle de gestion et de solidification des droits de propriété industriels. Je ne pense pas que ce soit la bonne approche. Il faut prendre au sérieux les effets de réseau : qu’est ce qu’une économie dans laquelle les facteurs de connexion, de connectique, présents dans tous types de biens, technologie comme consommation courante, deviennent des valeurs essentielles dans l’utilité, l’appropriation et la valeur ajoutée perçue des biens.
Si mesure il y a, il faut que cette mesure n’oublie pas que cela ne sert à rien de mesurer des choses si on n’a pas d’abord entrepris ce travail. Il ne faut pas mesurer les choses à l’échelle de l’entreprise, mais bien à l’échelle de son univers de comparabilité ! Or, cet univers de comparabilité est davantage défini par les clients et les observateurs de l’entreprise que par sa propre ligne stratégique à elle.
Y a-t-il une «fair value» de l’entreprise que celle-ci devrait mesurer ? Je crois que nous sommes dans une époque de fair value, parce qu’il y a une très forte dématérialisation des principaux actifs. Et ce qui caractérise cette dématérialisation, c’est que la valeur des actifs devient conventionnelle. La «fair value», c’est une affaire de convention, c'est-à-dire que ce qui compte, c’est le prix de transaction de l’actif et non pas sa valeur patrimoniale. Ce qui compte c’est sa valeur de marché, et pas sa valeur de constitution.
Une entreprise qui fait bouger les lignes de son secteur d’activité change les paramètres de la mesure. Ce qui m’intéresse, c’est de créer de l’incomparabilité, à l’inverse des «bureaucrates de la mesure» qui cherchent à créer de la comparabilité.
Il faut marcher sur les deux jambes ! Sinon on casse toutes les dynamiques entrepreneuriales, et on transforme les questions de l’immatériel en une espèce d’usine à gaz de contrôle de gestion. Il faut qu’il y en ait, mais il ne faut pas perdre de vue que la finalité c’est la croissance, c’est la valeur, c’est l’innovation, ce sont les croisements entre secteurs d’activités –et certainement pas un très hypothétique audit qui, dans tous les cas, sera remis en cause lors d’une véritable transaction sur un actif.
Propos recueillis par les étudiants de Sciences-Po. Juin 2008
Un troll est une action de nature à créer une polémique en provoquant les participants d'un espace de discussion sur un réseau informatique, notamment Internet et Usenet. Le mot désigne également un utilisateur qui a recours à ce type d'action
Par métonymie, on parle de troll pour un message dont le caractère est susceptible de générer des polémiques ou est excessivement provocateur, sans chercher à être constructif, ou auquel on ne veut pas répondre et que l’on tente de discréditer en le nommant ainsi.
Le mot « troll » peut également faire référence à un débat conflictuel dans sa globalité. Dans la majorité des cas, l'évaluation repose sur l'aspect récurrent ou caricatural de l'argumentation, les participants peuvent alors tout aussi bien être qualifiés de « trolls » que de « trolleurs » (source wikipedia).
Le web a toujours regorgé de fakes de toutes natures :
- des sites internets reprenant le style et les thématique de vrais sites
- des photomontages ou parodies vidéos
- des fausses rumeurs causées par un blogueur un peu pressé qui ne recoupe pas ses informations ou un journaliste qui vérifie pas ses sources et diffuse sur TF1 de faux reportages.
On se souvient des fakes blogs, ces blogs créés de toutes pièces par des marques, souvent leur service marketing, en faisant croire qu’ils sont animés par des particuliers, de manière totalement désintéressée. Un des premiers exemples de fake blogs est devenu un cas d’école : en avril 2005, Claire ouvre le blog « Journal de ma peau » de Vichy.
La seule chose qui soit vraiment nouvelle, avec le développement des medias sociaux, c'est la profusion de fake profiles sur facebook et twitter = des individus se faisant passer pour des personnes celèbres = britney spears, nicolas sarkozy...
Et ces derniers mois, les internautes ou bloggeurs ayant acquis une certaine notoriété de par le nombre de visites, de commentaires ou d'articles lui étant consacrés sont de nouvelles cibles qui génèrent un bon niveau de visite = recrudescence-de-fake-sur-twitter
De plus, le monde réel a aussi son lot de "faux" et de "faussaires" en tous genres (rien de bouveau).
Mais ce qui est vraiment inquiétant c'est que bientot on ne saura plus avec qui on est en conversation alors qu'internet permet cette connexion directe, personnelle entre les gens, quasi intime.
Même en web cam, qui pourtant est utilisée comme un lien vers le réel, des fois on peut se faire avoir = chat roulette avec une fausse web cam .Fake Webcam est un programme qui existe et permettant de simuler de fausses sessions de webcam (telecharger ici)
Et même sur les blogs se développe une pratique vraiment détestable qui consiste a ouvrir de faux profils pour commenter en dessous d'une de ses propre notes de blog, et certains blogugeurs vont même jusqu'à effacer les commentaires qui ne leur plaisent pas. Si le sblogs ne sont plus garants d'une démocratiqation de l'information sur internet ....ou va t'on ????
Des fois, détourner une publicité, une marque ou un site web ca peut être drôle et on est bien dans le registre de la parodie = carglass et avec « Baby, baby, baby » ca devient vraiment drole quand tout le monde y va de sa parodie (tout le monde a poil dans la rue)
Que faire ? On pense bien sûr au site HOAX BUSTER qui permet de lutter chaque jour contre les hoax = http://www.hoaxbuster.com/
Mais le problème est plus large. C'est celui du "journalisme de liens" = nouveau concept qui est en train d'émerger en parallèle au concept du journalisme participatif : il s'agit de proposer des informations en continu. Cela peut être des actualités ou des liens vers des articles qui ont été trouvés sur le Web. L'objectif est d'informer rapidement la communauté et de diffuser des actualités sous forme de brève (source )
Le problème semble être que la quantité de liens prime sur la qualité des liens : les gens diffusent plus facilement une information négative et les gens qui font des recherches sur google vont essayer de trouver des informations contradictoires pour justement se faire leur opinion.
En créant des liens hypertexte entre les infos, en créant des liens sur google en apportant eux même des informations ou en écrivant des twitts de 140 caractères, les bloggeurs et les internautes contribuent a l'information mais peu d'entre eux exercent vraiment le métier de journaliste qui cherche l'information, vérifie ses sources, la recoupe pour la mettre en balance avant de la diffuser. Surtout quand l'information se fait en temps réel sur twitter et que c'est celui qui sort l'info le premier qui peut être à l'origine d'un buzz et cité comme tel par les internautes et les médias.
C’est exactement ce que Bourdieu appelait la circulation circulaire : tout le monde reprend en choeur et en boucle une information sans prendre le temps de la vérifier = Mediapart a linké deux informations fausses (22/03/09)
Alors donc soit «Internet est une machine à fabriquer des polémiques» comme nous dit Alain Duhamel, ou alors comme lalejand contredit alain duhamel"Internet est une machine à révéler les polémiques" (source)
La tendance a polémiquer pour animer le débat est déjà présente a la TV avec des chroniqueurs comme Eric Zemour, qui, en tenant des propos de nature a provoquer l'opion et totalement invérifiables devient « polémiqueur » et non simplement "chroniqueur" : après ses propos controversés sur les "trafiquants" noirs et arabes.
Ou encore face a augustin legrand = "Eric Zemmour est quelqu'un d'intelligent qui se sert très mal de son intelligence. Il a été particulièrement lamentable hier soir face à Augustin Legrand, qui est quelqu'un qui se bat pour les autres et qui ne mérite pas qu'on le critique sans argument. Eric Zemmour a été là pour le casser juste pour augmenter l'audimat, c'est scandaleux. Pourquoi a-t-on donné la parole à quelqu'un qui n'y connaissait rien et qui avait pour seul objectif, comme à dit M. Legrand, de "passer au zapping" ? Ridicule" source
Certains, suivent l'exemple sur internet et en ont fait une marque de fabrique. Pas la peine de chercher bien loin, sur internet la polémique s'appelle BAD BUZZ, en tapant bad buzz dans google on les identifie très vite (voir ici)
Et si au départ un fake désigne seulement une personne postant intentionnellement de fausses informations ou une fausse histoire, en vue d'être pris au sérieux sur un forum, aujourd'hui plus largement, un fake est une personne postant intentionnellement de fausses informations ou une fausse histoire, en vue d'être pris au sérieux" (wikipedia)
De plus, la tendance est comme sur internet, au LIVE. La polémique sur internet en LIVE c'est sur twitter que ca se passe et ca s'appelle clasher
"Le goût pour leclash: venu semble-t-il du rap et des invectives / interpellations entre groupes dans une chanson, le clash s’est répandu en tant que tel (nommément, avec cet anglicisme-là) et en particulier dans les médias sociaux. Les billets croisés et commentaires provocateurs (trolling) furent le premier avatar de cette tendance à la provocation, le terme clash s’est semble-t-il popularisé plus tard. Si l’on recherche dans Google un nom de personnalité un peu polémique, « clash » fait souvent partie des suggestions du moteur de recherche. Dans Youtube, on obtient plus de 160 000 occurences sur le terme, il s’agit souvent d’extraits d’émissions (talk, interviews) où un ou plusieurs invités en viennent à un affrontement verbal voire une réaction physique violente.
Sur Twitter, machine à gazouillis, pensées instantanées et humeurs du moment, le tweet clash est devenu une figure de style qui a ses amateurs et ses orfèvres, des journalistes (Xavier Ternisien, Eric Mettout), des blogueurs (Versac) et bien entendu des politiques (l’inénarrable trollFrédéric Lefèvre). Uncompte Twitteret unsitesont même dédiés à cette pratique. Et même, il semble que ces prises de bec numériques soient addictives car elles génèrent dumanque."
C'est un concept interessant qui a été bien géré = "il est assez intéressant d'observer les réactions et les conséquences de ce bidonnage pour en tirer quelques enseignements sur l'époque, manifestement prise au dépourvu par les NTIC (nouvelles technologie de l'information et de la communication). Selon une opinion très répandue aujourd'hui, Internet, qui a bon dos, serait la cause des difficultés des relais d'informations traditionnels, le responsable indirect de tous les écueils journalistiques. N'est-il pas plutôt un bouc-émissaire facile pour justifier la perte de contrôle ou la mauvaise appréhension du nouveau monde connecté par des gens dépassés ?"
1- « Chronic'art #46 trompe ses lecteurs puisque le magazine ne délivre aucune information véridique ».
2- « Chronic'art #46, c'est tout sauf du journalisme ».
3- « Chronic'art #46 n'est qu'une énième critique des médias ».
4- « Chronic'art #46 est un gros coup de buzz pour faire parler de vous »
On nage dans le faux....parce que les agences et les annonceurs ne construisent pas de startégies dans le temps sur le web 2.0 et encore moins dans les résaux sociaux, et sont en réaction contre le bad buzz, obsèdées par leur e réputaion...et...font n'importe quoi !!!
"des « faux » utilisateurs allant laisser des « vrais » messages promotionnels dans divers endroits « virtuels » de discussions. Au-delà du bon sens qui incite de rester « vrai » et constructif dans sa manière de communiquer, il apparaît que de plus en plus de « vrais » professionnels pratiquent l'art du spamming et de la contrefaçon d'avis 2. 0, et ce de façon industrialisée."
"Deux internautes sur trois font confiance aux avis postés par d'autres internautes lorsqu'ils surfent sur des sites de voyages et de sorties ou d'autres sites de produits ou services ouverts aux consommateurs, selon le Credoc. Une confiance sur laquelle les agences de marketing capitalisent depuis longtemps.
La pratique déjà bien rodée dans le monde anglo-saxon provoque certains dérapages. L'an dernier, aux États-Unis, a ainsi éclaté l'affaire d'une société représentant des dizaines de développeurs d'applications iPhone: Reverb Communications employait une équipe de stagiaires pour écrire des critiques positives sur les applications de ses clients, en se faisant passer pour des utilisateurs lambda dans les discussions de l'App Store. Le mois dernier, un historien britannique reconnu, Orlando Figes, a été condamné à payer dommages et intérêts à deux de ses "rivaux". Il avait posté, sur les pages Amazon de leurs ouvrages, de faux avis de consommateurs les décrédibilisant tout en faisant la louange de ses propres travaux.
Les sites Internet de la restauration, du tourisme et de l'hôtellerie tels que tripadvisor, ciao.fr, cityvox ou restoaparis sont particulièrement concernés, car les avis de consommateurs y jouent un rôle très important dans les prises de décision. Pourtant, "plus d'un tiers des avis laissés sur les sites parlant de restaurants ou d'hôtels sont suspects", assure Erwan Seznec, journaliste à l'"UFC-Que Choisir".
Pourtant les entreprises créent un nouveau poste = responsable de la gouvernance internet (community manager ?). Peut être que ce poste pourra leur permettre d'avoir une VRAIE présence sur internet !!!! En voici une description "vue du point de vue des entrerpises".
"Ce poste correspond à la consolidation de différentes activités présentes depuis quelques années au sein des entreprises. Ce besoin d’une vision globale est nécessaire pour réagir en temps et en heure face à l’augmentation des fraudes et tentatives d’escroqueries sur internet (phising, détournement de nom de domaine...) et à une exposition croissante des marques sur les réseaux sociaux, les blogs..
Il s’agit de la bonne gestion du média internet. Cette fonction regroupe des activités parfois déjà existantes au sein de différents services (Direction de la communication, Direction des Systèmes d’information...) pour les coordonner et leur donner les moyens (humains et matériels) d’une veille active et si nécessaire d’un système de prévention et d’alerte :
■ gestion administrative des noms de domaines (stratégie et charte interne de nommage...),
■ traitement des problèmes d’atteinte à l’image (fuite d’informations, commentaires hostiles...),
■ veille et prévention des menaces liées à la cybercriminalité (fraude, escroquerie...)."
Pour conclure....Au delà du probleme de la e reputation, la désinformation et le problème de la vérité dans dans le temps..donc question de LA vérité face à l'histoire ?
Wikipedia, systématiquement, falsifierait l'histoire nous dit alithia. Pourquoi ?
Ainsi les articles sont, très logiquement, le reflet des opinions de ses participants, qui choisissent librement l'interprétation à donner de l'histoire, hors de tout critère de scientificité et en toute ignorance des ouvrages et travaux de référence. en glanant les sources qui leurs plaisent, avec un goût prononcé pour l'anecdotique et les informations qui font sensation. Malheureusement on constate que ces rédacteurs de wikipedia témoignent tous d'a priori caractéristiques d'ignorants extrêmement partisans. Selon wikipedia et ses wikipédiens l'histoire doit s'écrire comme ils l'entendent, comme il leur convient et les livres d'histoire des historiens reconnus ne font pas référence contre leurs convictions qui se révèlent simplement être des croyances et des préjugés. La notion de vérité historique leur est étrangère. Et si l'on tente de corriger des interprétations fallacieuses, en prenant référence auprès de l'histoire telle que connue et établie par les historiens véritables, c'est peine perdue, la correction est impossible, la référence à l'histoire est refusée au profit des rédactions que wikipedia préfère et promeut.
Wikipedia n'est pas une démocratie. Wikipedia n'admet aucun débat d'idées. les preuves n'en finissent pas d'être administrées avec brio par nos pieds nickelés de l'encyclopédisme. (source)
JEUDI 30 SEPTEMBRE 2010 19h/23h Rencontrez les artistes de MICKEYLAND autour d'une bière avec DEMORY PARIS : La bière de PARIS ! Une ville, une bière ! www.demoryparis.com en association avec les apéros du jeudi www.lesaperosdujeudi.com
JEUDI 30 SEPTEMBRE 2010 19h/23h Rencontrez les artistes de MICKEYLAND autour d'une bière avec DEMORY PARIS : La bière de PARIS ! Une ville, une bière ! www.demoryparis.com en association avec les apéros du jeudi www.lesaperosdujeudi.com