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Rédigé le 07 mars 2022 dans a- Mon CV, b- Mon book | Lien permanent | Commentaires (0)
Etre écolo c’est renoncer à l'avion, au neuf, à la viande, ...
Les français ne veulent pas renoncer au plaisir dans la consommation...
Pour réussir à convaincre plus de consommateurs il convient d'explorer de nouveaux imaginaires de consommation responsables et désirables.
Les imaginaires de consommation responsables et désirables
Réunions toutes les semaines. 1h
Contact [email protected]
A LIRE : LE DOCUMENT DE CADRAGE
Avec la synthèse de l'étude IPSOS / NOUS SOMMES VIVANTS
Rédigé le 31 mars 2022 dans c- Mes rapports d'innovation, e- Les rencontres | Lien permanent | Commentaires (0)
Ci dessous, une note de réflexion sous forme de synthèse qui croise les regards. Elle vise a décoder les causes profondes, les facteurs humains latents, les impacts de la crise en cours en Ukraine.
Les grandes bifurcations historiques croisent des mouvements tectoniques, considérations immédiates et… le facteur humain.
Beaucoup d’analystes essaient d’expliquer la guerre en Ukraine par des considérations géostratégiques et historiques qui sont évidemment importantes mais il est indispensable aussi de se pencher sur la personnalité de Vladimir Vladimirovitch Poutine. Quelle peut être la vie et les ressorts d’un tel homme ? Au-delà de la rationalité ou de la folie, que peut produire un tel pouvoir concentré qui tient par la terreur qu’il inspire, par l’étouffement de toute contradiction autour de lui ? ici.
"L’acceptation de ce facteur humain est une constante de la vie en société réussie mais il ne faut pas perdre de vue que cela existe aussi au plus haut niveau de responsabilité, que les dirigeants les plus puissants n’en sont pas moins hommes. Et c’est une qualité de la démocratie. Par l'exercice des contre pouvoirs, par la conscience que son avenir dépend plus du collectif que d’un individu, par la force du droit et le principe que l’Etat n’est pas une machine aux mains d’un seul elle aide à prévenir les dérives". Duflot Cécile
Adam Galinsky, de l’université Columbia, a tenté de mesurer les effets psychologiques du pouvoir. Exemple de résultat : si on vous demande de vous dessiner un "E" sur le front, et si vous vous sentez "puissant", vous le dessinerez à l’envers – comme vous le voyez, et non comme le voient les autres. Le pouvoir rend littéralement incapable de se mettre à la place d’autrui. De son côté, Dacher Keltner (Berkeley) a montré que les puissants manquent d’empathie. Mais l’étude la plus inquiétante est celle publiée dans Brain par un ancien ministre britannique et un psychiatre. Elle suggère de définir une nouvelle maladie : le "syndrome d’hubris", associé au pouvoir "détenu pendant plusieurs années avec peu de limites". Parmi ses 14 symptômes : la perte de contact avec la réalité, le mépris manifeste envers autrui, les discours messianiques et enflammés, la prise de risques inconsidérés, et l’incompétence dans la gestion des détails. ici
Rédigé le 31 mars 2022 dans c- Mes rapports d'innovation | Lien permanent | Commentaires (0)
Les rapports de prédation posent des enjeux de co existence des humains avec les autres êtres vivants (dont les êtres humains) au sein d'un même territoire aux ressources partagées. Lien vers le documentaire : http://ecocidechangeroudisparaitre.com/
De nouveaux éléments ont été ajoutés à cette note le 8 mars suite à la guerre en Ukraine ICI
L'objet de cette note de réflexion qui croise les regards
Il est d'enrichir notre compréhension de la prédation avec les rapports de prédation et explorer comment ceux ci sont opérants dans divers champs d'application comme l'habitat, l'économie, le droit...
En effet, prendre conscience des rapports de prédation entre les humains et la nature est nécessaire à la prochaine évolution des comportements durable et coordonnée. Face à la nécessité de concilier l'économique, le social et l'environnemental, face aux enjeux écologiques, face à l'impératif de vivre ensemble ...nous inciter à changer notre rapport à soi, aux autres et la nature, voilà ce qui m'anime !
Les rapports de prédation posent des enjeux de co existence des humains avec les autres êtres vivants au sein d'un même territoire aux ressources partagées.
« La sixième extinction est en cours. Elle est causée par l’humain et elle est extrêmement rapide, des milliers d’espèces disparaissant chaque année. Enki Bilal pense que l’Homme est l’accident le plus tragique qui ne soit jamais arrivé à notre planète Terre. La destruction écologique semble inévitable et, avec elle, c’est l’extinction de notre espèce qui est en jeu à brève échéance. ici
Il faut changer notre rapport au monde. C’est cela, l’hominisation : une prise de conscience permanente. Comme le rappelait Michel Serres : « L’hominisation, cela commence maintenant et cela ne s’arrête jamais » (ici). L'hominescence est un processus qui, par des écarts répétés, renouvelle l'hominisation. En s'exerçant, l'humain construit chaque fois une nouvelle maison sur un nouvel équilibre. Il habite le monde autrement. Il évolue.
L’Humain a tendance à oublier que la Nature n’est pas un simple environnement, et qu’il dépend au quotidien de ce qu’elle est. D'autant plus que nous humain, nous coévoluons avec l’ensemble des organismes d'après Pascal Picq notamment les micro-organismes qui nous entourent (ici).
Pourtant, l’interdépendance de tous les systèmes de la Planète signifie que la survie des uns dépend de celle des autres et réciproquement », assène Olivier Barrière, chercheur IRD à l’UMR ESPACE-DEV spécialisé en anthropologie juridique de l’environnement. Face à la dégradation des écosystèmes entraînant perte de biodiversité et d’habitats, il propose – au nom de toute une équipe - un nouveau concept, la « coviabilité socio-écologique » (ici)
Mais notre rapport de prédation freine de nouvelles possibilités d'évolution des comportements durables et coordonnées.
Pour Vigne : « La verticalisation de l’image mentale du monde aurait amené les hommes à concevoir l’idée de dominer les plantes et les animaux, au point de domestiquer ces derniers pour disposer de sources de nourriture mieux contrôlables ».
Murray Bookchin est l’un des pionniers de l’écologie sociale. Pour cet autodidacte américain, l’exploitation de la nature découle directement des rapports de domination au sein des sociétés humaines. Bookchin met l’accent sur l’évolution d’éco-communautés et sur la coopération multispécifique, afin de cesser d’opposer le monde vivant au monde non vivant.
« Les humains sont seuls. Malgré la pluie, malgré les animaux, malgré les fleuves et les arbres et le ciel et malgré le feu. Les humains restent au seuil. Ils ont reçu la pure verticalité en présent, et pourtant ils vont, leur existence durant, courbés sous un invisible poids. Quelque chose les affaisse. (…) Enfermés dans leur raison, la plupart ne franchiront jamais le pas de la déraison, sinon au prix d’une illumination qui les laissera fous et exsangues. Ils sont absorbés par ce qu’ils ont sous la main, et quand leurs mains sont vides, ils les posent sur leur visage et pleurent. Ils sont comme ça. » MOUAWAD, Wadji – Anima
Reposant sur une approche biocentrique, les Droits de la Nature renversent le paradigme anthropocentré occidental : l’Homme ne règne plus en souverain sur les écosystèmes mais est envisagé comme l’un des membres du Vivant. En ce sens, les Droits de la Nature dépassent le traditionnel Droit de l’environnement qui se borne à protéger une nature outil et propriété de l’être humain aux seules fins d’une croissance alimentée par une pression continue sur les ressources naturelles (ici).
La prise en compte de l'environnement comme facteur influençant le comportement des humains est primordiale. Le stress sur les ressources au sens large est un élément décisif du rapport de prédation.
Le modèle établi par T. Homer-Dixon décrit la façon dont le stress environnemental conduit à un climat d’insécurité et d’instabilité au sein de la société. Celle-ci entre alors en compétition pour les ressources concernées, ce qui peut aboutir à de violents conflits. La thèse développée par T. Homer-Dixon contient des parallèles avec les théories économiques de marché (ici)
C’est ainsi que des conflits déclenchés par la compétition sur des ressources environnementales peuvent se manifester et apparaître sous la forme de conflits ethniques, ou de conflits entre classes sociales. Un stress environnemental brutal peut donc devenir, sous certaines conditions sociales, un catalyseur creusant une segmentation sociale existante et intensifiant la compétition et les conflits entre les différents groupes d'après Jean Clement Martin, historien français.
Les dimensions environnementale, sociale, politique et économique, sont à prendre en compte. Leur corrélation est nécessaire pour donner une explication complète des situations conflictuelles liées à l’environnement. Le vivre ensemble entre êtres vivants (et non vivants) comme entre êtres humains étant un enjeu politique au sens de la gestion de l'habitat partagé. "Chaque composante de la communauté de la Terre dispose de trois droits : le droit à l’existence, le droit à l’habitat, et le droit de remplir son rôle dans les processus sans cesse renouvelés de la communauté de la Terre". Thomas Berry, prêtre catholique passioniste américain, théologien, écologiste.
Ce « vivre ensemble » qui s’appuie sur une reconnaissance de l'appartenance de l'homme au vivant et de la dépendance de l’Homme aux autres composantes du vivant serait une voie à explorer permettant de changer notre rapport à soi, aux autres et à la nature.
Le philosophe du vivant contemporain Baptiste Morizot établit dans Manières d’être vivant un lien entre notre rapport à nous-même, en tant qu’individu, et notre rapport aux autres vivants, humains comme non-humains. Maxime Caron, Anthropocène, Philosophie, Education "Dépasser les rapports de prédation dans les relations humaines pour permettre une coopération véritable à l'ère de l'anthropocène", partage avec nous que l'intuition de Baptiste Morizot est qu’il existerait un parallélisme entre le rapport de domination, que l’on exerce tantôt sur autrui, et parfois justifiés de différentes façons et notre rapport à nous-même. Se retrouver maître et possesseur de la nature, c’est en un sens se retrouver également maître et possesseur de soi, de son comportement. C’est une sorte de maîtrise et de contrôle paradoxalement déchainé où l’on tente de réduire le vivant à ce que l’on veut en faire (ici).
C'est pour atteindre cet idéal que nous devons prendre conscience des rapports de prédation que nous entretenons pour mieux vivre ensemble sur terre #noussommesvivants
Rédigé le 31 mars 2022 dans c- Mes rapports d'innovation | Lien permanent | Commentaires (0)
On connaissait la Fresque du climat, puis, la Fresque du numérique ou de la biodiversité et voici maintenant ... La Fresque du #facteurhumain !
La fresque du facteur humain apporte un éclairage sur ce qui est en jeu dans l’évolution de nos comportements face aux transitions en cours.
En savoir plus sur la fresque du facteur humain #facteurhumain :
- Présentation d'une heure https://lnkd.in/grFZY5Cn
- Support de présentation https://lnkd.in/gxSeiuJd
Sur les réseaux sociaux
- Page linkedin Le facteur humain https://lnkd.in/
- Le groupe des animateurs sur linkedin https://www.linkedin.
Rédigé le 31 mars 2022 dans b- Mon book | Lien permanent | Commentaires (0)
Pour lutter contre ces envahisseurs qui nous ressemblent, David Vincent dispose d'un seul indice : le petit doigt des envahisseurs. Ils ne peuvent pas le plier. La science fiction est allée plus loin pour nous faire réfléchir à notre (in)humanité.
A LIRE ICI
Rédigé le 14 mars 2022 dans c- Mes rapports d'innovation | Lien permanent | Commentaires (0)