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En savoir plus sur le forum : E-Marketing Paris 2009
Publié par : François Pérennès
Publié sur : le vide poches
Rédigé le 27 janvier 2009 dans d- Mon actualité, g- Mes interventions professionnelles | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
À l'initiative de Stratégies.fr, Jérémy Dumont, créateur et directeur de Pourquoi tu cours ? (l'agence des idées) réalise cette formation sur le "planning stratégique".
Une formation pour :
Les dates de formation :
- du 02 au 03 Décembre 2008
- du 26 au 27 Mars 2009
- du 04 au 05 Juin 2009
- du 07 au 08 Décembre 2009
Pour vous inscrire, télécharger le document ci-dessous :
Téléchargement inscription_formation_au_planning_strategique_jeremy_dumont.pdf
Planning stratégique
Donnez un nouvel élan à vos idées !
Objectifs
- Comprendre les évolutions actuelles du planning stratégique
- Maîtriser les outils du planneur stratégique
- Élaborer une stratégie de communication intégrée pertinente
Animé par :
Jérémy Dumont, créateur de pourquoi tu cours (l'agence des idées) et directeur du planning stratégique.
_____
Jour 1 matin
LES ÉTAPES POUR ÉLABORER LA STRATÉGIE DE COMMUNICATION
Introduction : les nouveaux enjeux du planning stratégique
Aujourd’hui, les agences et les annonceurs ont besoin de « super planneurs » : plus stratèges que jamais et capables de résoudre les enjeux marketing, plus créatifs et sensible a l’air du temps, plus transversaux maitrisant l’ensemble des moyens de communication
Quels sont les paramètres à prendre en compte pour réussir son analyse stratégique à l’heure actuelle ?
-
Comprendre des consommateurs multi-facettes : de l’étude des habitudes
de consommation aux approches comportementales prospectives.
-
Identifier ses concurrents dans un marché en évolution rapide et
définir les territoires de communication : du benchmark sectoriel aux
études transversalles
- Du planning stratégique classique (marque
qui communique un message à une cible) à « l’engagement planning »
(marque qui accompagne des personnes), au « community planning »
(marque qui crée du lien entre toutes les parties prenantes).
- Exemples de marques qui ont réussit à construire une communication impliquante autour d’une idée centrale forte.
Retour d’expérience : exemple de stratégie de communication globale
PAR NATHALIE DARROUZET, planneur stratégique international, Young & Rubicam
Présentation d’un exemple de stratégie de communication intégrée, à partir d’un cas réel. Il mettra en évidence la problématique, la réflexion stratégique, la recommandation, les résultats de la campagne ainsi que les outils utilisés pour mener la réflexion stratégique.
Jour 1 après-midi
CAS PRATIQUE : DE L’ANALYSE STRATEGIQUE AU PLAN DE COMMUNICATION
Les participants travailleront sur une problématique de communication réelle donnée par le planneur stratégique. A chaque étape du processus (analyse, brief, plan de communication), le formateur analysera la méthodologie et les outils utilisés par les participants ainsi que leur façon de les animer.
De l’analyse contextuelle à la recommandation de communication
- Analyser le contexte, identifier les opportunités, et présenter les choix les plus opportuns.
- Convaincre et donner envie à l’annonceur
De l’angle stratégique au brief créatif
- Trouver une idée centrale forte : un équillibre entre stratégie et création.
- Proposer un univers d’exploration aux créatifs à la fois strict et ouvert.
De la création au plan de communication
- Construire un plan de communication comme un scénario qui se déroulle à chaque point de contact.
- S’assurer que le concept rayonne à chaque point de contact en fonction du support et de la disponibilité de la cible
Jour 2 matin
LA CRÉATIVITÉ AU SERVICE DE L’IDÉE CENTRALE
Intro : La créativité au cœur du métier de planneur stratégique
- D’où viennent les nouvelles idées ? Des médias, du
consommateur, de l’entreprise, du marché, de l’air du temps, du produit
?
- Qui sont les principaux acteurs de l’innovation ?
Placer l’idée de communication au cœur du brief et savoir la décliner sur chaque média
Simon Bachelet, planneur stratégique, Mediacom Paris
- Comment les médias influencent l’idée créative et vice versa
- Assurer une synergie entre les différents points de contacts
- Les méthodes et outils possibles pour la réflexion stratégique
- Exemples de brief média
Retour d’expérience : exemple de recommandation stratégique média
Nam kim Nam, planneur stratégique, Microsoft Digital Advertising Solutions
- Présentation d’un cas concret : problématique, recommandation média, résultats de la campagne
- L’apport des nouvelles solutions techniques et des nouveaux médias en matière de créativité
Jour 2 après-midi
Corréler les principaux éléments du mix avec l’idée centrale :
-
Exploiter le positionnement central et insuffler le même élan à chaque
application de l’idée : produit, communication, media, création.
Cas pratiques : l’intégration de l’idée centrale dans un mix cohérent
A partir d’une problématique de marque, les participants travailleront sur le déploiement d’une idée :
- L’idée produit : du concept produit au brief à une agence de design
- L’idée de communication : du brief marketing à l’idée créative
- L’idée média : du brief à une agence médias au dispositif de communication
Public :
Planneur
stratégique, Directeur de clientèle, Directeur et chargé de
développement, au sein d’une agence de communication (communication
globale, média, interactive, design, événementielle).
S'inscrire : http://www.comundi.fr/formation/119782/planning-strategique.html
Posté sur : pourquoi tu cours
Posté par : jérémy dumont
Rédigé le 25 janvier 2009 dans d- Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le 22 janvier 2009 dans d- Mon actualité, g- Mes interventions professionnelles | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
http://www.lenouveleconomiste.fr
Le rapport d'innovation de courts circuits sur "la valeur de l'information dans la presse écrite" sera présenté a 20h30 dans les locaux du nouvel économiste ( 5 impasse Piver, 75011 Paris )
Les titres de presse écrite ne se sentaient pas en péril tant que leurs lecteurs estimaient payer le prix acceptable pour leurs publications. Mais aujourd’hui, c'est la valeur de l’information qui est remise en question. Et ceci alors que l’information, dans un monde complexe et en mouvement rapide, est au cœur de toutes nos décisions, de nos actions....
Le danger vient non moins de la presse gratuite d'information que par le Web qui diffuse l'information en même temps que l ‘événement se déroule, que la conversation a lieu, et que les émotions jaillissent.
C'est certainement en abordant l'information dans sa circulation entre ceux qui font l'information, entre le papier et le web, entre les gens qui la lisent et la commentent ...que nous pourrons recréer des écosystèmes viables qui garantiront une information de qualité qui se paye a son prix.
Plus d'informations : www.courtscircuits.fr
NOUS JOUERONS AU VOLEUR ET A LA VICTIME A 21h
Façon «pickpocket » de R. Bresson, ou nous allons déborder d’imagination pour imaginer des situations de vol mises en scènes comme un roman photo. Comme une métaphore et une réflexion de la situation actuelle nous proposerons de vous mettre dans la peau d’un voleur. Jean Cemeli et David Dao shooteront des scènes de vols très glamour dont vous serez les acteurs.
A cette occasion des artistes vous exposeront leur vision du vol contemporain.
Nicolas Receveur, David Dao, Anne-Flore Cabanis, Natcha de la Grandville, Benjamin Hélion et Gaétan Bros.
Un évènement organisé par Jérémy Dumont, Cyril Skinazy, Sans Interdits ARTS avec l'aide du Nouvel Economiste
« Pour recevoir chaque semaine gratuitement Le nouvel Economiste, merci de cliquer ici »
Rédigé le 21 janvier 2009 dans d- Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (3) | TrackBack (0)
Tous les jours nous sommes victimes de vols. Les banques grignotent nos comptes avec l'air de ne pas y toucher, les multinationales nous vendent leurs produits a des prix injustifiés pour générer de super profits, l’état nous ponctionne de tous côtés comme au temps du moyen-âge, la monnaie se dévalue a une vitesse vertigineuse, et ceux mêmes qui se croyaient à l’abri ont été victimes des récents scandales financiers .En fait nous avons généré une société de voleurs.Ca ne peut plus durer. D’ailleurs la révolte couve et même se fait jour. Partout dans le monde des initiatives et des groupes de réflexion se mettent en place pour changer le système et inventer un nouveau modèle de société ou le talent, la créativité et les idées prendront le pas sur la spéculation financière.
Le jeudi 29 janvier à l’occasion de l’événement – exposition AUX VOLEURS, AUX VOLEURS !
Les apéros du jeudi, Cyril Skinazy, Sans Interdits ARTS et Agathe Hélion vous présenteront les œuvres de : Nicolas Receveur, David Dao, Anne-Flore Cabanis, Natcha de la Grandville, Benjamin Hélion et Gaétan Bros.
A cette occasion les artistes vous exposeront leur vision du vol contemporain.
Comme une métaphore et une réflexion de la situation actuelle nous proposerons de vous mettre dans la peau d’un voleur. Jean Cemeli et David Dao shooteront des scènes de vols très glamour dont vous serez les acteurs.
LE JEU DU VOLEUR ET DE LA VICTIME façon «pickpocket » de R. Bresson, ou nous allons déborder d’imagination pour imaginer des situations de vol mises en scènes comme un roman photo.
VOLER : (def.)Verbe transitif -S'approprier furtivement ou par la force le bien d'autrui.
Article 311-4
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
(Loi nº 2004-204 du 9 mars 2004 art. 40 I Journal Officiel du 10 mars 2004)
« Le vol est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende :
1º Lorsqu'il est commis par plusieurs personnes agissant en qualité d'auteur ou de complice, sans qu'elles constituent une bande organisée. » -
Rédigé le 14 janvier 2009 dans d- Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
LA VALEUR DE L’INFORMATION DANS LA PRESSE
De nombreux journaux sont dans l’impasse économique ou s’y acheminent.
Les
états généraux de la presse écrite sont en train de se tenir pour
remédier à une baisse tendancielle de la diffusion, un déficit
chronique d’un certain nombre de titres, et de nombreuses menaces de
disparition de journaux, un vieillissement du lectorat, ainsi qu’à une
contraction des rédactions. Confrontés à un redoutable effet de
ciseaux, avec la hausse des coûts d’un côté, la baisse des recettes de
l’autre, qu’il s’agisse des ventes, de la publicité, ou des annonces,
de nombreux journaux sont dans l’impasse économique ou s’y acheminent.
Les
groupes de presse qui évoluent suivant une logique économique ne se
sentaient pas en péril tant que leurs lecteurs estimaient payer le prix
acceptable pour leur publication. Mais aujourd’hui, la valeur de
l’information est mise en péril.
Et
ceci alors que l’information, dans un monde complexe et en mouvement
rapide, est au cœur de toutes nos décisions, de nos actions, et qu’elle
attise les convoitises de ceux qui peuvent avoir intérêts à manipuler
l’opinion où influencer le comportement des masses : politiques,
industriels, publicitaires…
L'Élysée
propose de créer des groupes de presse "champions internationaux" pour
remédier à la crise. Il invite à nous inspirer des journaux à succès de
l'étranger (BBC en Angleterre, El Pais en Espagne, qui assurent un
meilleur échange entre tous les supports (presse, radio, télé,
numérique (internet, mobile...). Mais qu’en est-il de l’indépendance de
la presse, de la qualité de l’information, du rôle du journaliste si on
s’achemine vers une solution ou l’information est traitée comme de la
data qu’on met dans plusieurs tuyaux et le journaliste comme un homme
orchestre qui doit retranscrire l’information en texte, son, vidéo,
flux RSS pour tous les canaux simultanément ?
Le
danger vient non moins de la presse gratuite d'information qui attire
les lecteurs qui n'ont jamais été tentés par le payant, que par le Web.
En effet, l'information émanant du Web est gratuite, claire, immédiate,
efficace, mise en images et en vidéo, on demand. Elle se diffuse à
chaque seconde, en même temps que l'évènement qui la fait, en même
temps que l ‘événement qui se déroule.
Alors
que faire d'une information qui n'a semble-t-il plus de valeur car
posée sur le papier, figée, dépassée ? Quel prix est-il bon de payer
aujourd'hui pour de l’information relayée par la presse écrite ?
Et
surtout comment augmenter la valeur perçue de l’information pour que l
‘écosystème de l’information soit pleinement viable pour toutes les
parties prenantes les médias, les journalistes, les lecteurs et les
annonceurs ?
Des pistes pour revaloriser l’information en fonction des attentes des lecteurs
Aujourd’hui la valeur de l’information sur le papier réside dans son traitement.
Les journalistes l’analysent, la mettent en perspective, valident les sources, l’illustrent.
Il
faut aller encore plus loin pour parvenir à augmenter la valeur perçue
de l’information dans la presse. Plus loin…au plus prés des attentes
des lecteurs…
Bref la traiter en fonction de leurs attentes spécifiques, en pleine affinité avec eux.
Il existe plusieurs pistes de réflexion possibles, puisque chacun de nous valorise une information d’une façon différente :
- Brute : le lecteur se fait son opinion
-
Transparente : l’information transparente : le lecteur suit
l’information à la trace pour la valider en fonction des relais
d’information
- Opérationnelle : elle devient un moyen de réalisation
- Gratuite : sa valeur est aussi dans son rapport qualité prix
- Ethique : sa valeur vient des valeurs et opinion des personnes qui la diffusent
- Expérientielle : il y a partage d’expériences
- Exclusive : il n’est pas accessible a tout le monde, rédigée par des experts
- Hyper disponible : disponible immédiatement
- Hyper-pertinente : l’information est ciblée
Le nouveau rôle de la presse : aggrégateurs d’information et de communautés d’intérêts.
Jusqu’alors
la presse faisait particulièrement autorité face à d’autres grands
médias comme la télévision ou la radio. Mais les gens ont accès à de
plus en plus de sources ultra ciblées, que ce soient des médias presse,
la télé…là ou ils veulent, quand ils veulent.
De
plus, tout le monde aujourd’hui peut devenir producteur de contenu, et
diffuse via les plateformes de blogging ou micro-blogging.
Il
faut se rendre à l’évidence : l’information n’est plus maîtrisable et
maîtrisée. Nous assistons à la montée d’un besoin grandissant de
filtrage, de hiérarchisation et de simplification de l’information.
Certaines
personnes sur internet, choisissent et organisent de façon quasi
professionnelle leurs flux d’information grâce aux applications
netvibes ou autres igoogle, la ou un très grand nombre de personnes
sélectionnent leurs chaînes de TV en choisissant tel ou tel bouquet
satellite, ou en choisissant leur journal au kiosque.
On voit paraître un besoin d’agrégation de l’information à la fois individuelle et collective.
C’est
pour cela que la presse doit s’adapter. La presse doit donc désormais
se présenter comme le meilleur point d’entrée pour prendre connaissance
de l’ensemble de l’information qui circule dans la presse, internet, à
la TV, de bouche à oreilles et qui est pertinente pour les lecteurs.
Elle doit ainsi agréger, en faisant remonter l’ensemble des prises de
paroles et en les intégrant : il ne s’agit plus de faire cohabiter
l’information «officielle » aux cotés de l’information « non officielle
» comme par exemple sur le site web du monde.
Dorénavant
pour les journalistes, c'est comme si le vrai travail commençait après
la diffusion d’une information. Ils deviendraient plus que jamais
aggrégateurs de contenus similaires a ceux qu’ils ont signés et
animateurs de communautés d’intérêts autour de ces contenus réunit.
Cela permettrait a certains contenus d’émerger dans la presse et sur
internet alors qu’ils n’étaient pas encore connus par les journalistes,
cela permettrait d’effectuer périodiquement une grande synthèse.
Le développement de services autour de l’information
Puisque
Internet a démultiplié les points de relais de l’information, on
assiste à une scission entre le média et l’information. Il est donc
important de coller au plus près des usages et de mieux appréhender les
contextes de vie pour sélectionner au mieux les points de diffusion et
la nature des contenus. "Direct soir" n'est que le début d'un grande
vague d’innovations contextuelles dans la presse.
Les
médias doivent coller a l’actualité des usagers avant tout, en suivant
leur consommation d’information d’un média à l’autre : l'information
doit décoller a la radio, s'imposer sur le papier, s'étaler sur le net,
se partager a la TV...se diffuser de bouches à oreilles...et se
retrouver en bas d'un article.
Mais
surtout, en prenant pied dans la vie des gens qui utilisent cette
information pour réaliser des actions concrètes a un moment ou Internet
et le mobile bouleversent l’ordre établit dans la presse traditionnelle
: c'est le lecteur qui va vers le contenu et non plus l'inverse….et il
le fait quand il a un besoin immédiat, une envie a réaliser, ou un
projet a construire.
C’est une évidence, la presse écrite doit réagir rapidement. Mais les différents participants des états généraux de la presse seront-ils assez volontaire pour mener à bien les mutations nécessaires et assez créatifs pour développer de la valeur ajoutée plutôt que de réaliser des économies d'échelles en créant des grands regroupements médias ou ils sont surs d’aboutir à des points de convergences ? Repensons le rôle des médias, développons les services, revalorisons l’information avec créativité, courage et bon sens.
Jérémy dumont, directeur de pourquoi tu cours (l'agence des idées)
AXES DE REFLEXION
PREMIER AXE : Comment favoriser un écosystème
logique entre les 3 principaux systèmes de traitement de l’information
dans la presse : « les faits », « les opinions », et « le sensationnel
» ?
Il semblerait que la viabilité de la presse «
d’opinion » et de la presse « à sensation » soit bonne. Par contre
l’équilibre économique de la presse « de faits » est plus difficile car
l’information traitée par les journalistes a un cout qui n’est pas
couvert intégralement alors que la presse d’information gratuite et
internet font abonder l’information brute.
1) Analyse des quatre systèmes de traitement de l’information
2) Quelles synergies trouver entre les quatre systèmes ?
DEUXIEME AXE : Quels sont les nouveaux enjeux de la libre circulation de l’information portée par les NTIC?
Ou
comment les médias peuvent recréer les conditions d’un dialogue entre
les différents acteurs qui participent a sa circulation ? Les grands
médias ne sont plus les seuls émetteurs et les gens commentent les
informations diffusées. Pourtant, ces échanges ne sont pas organisés de
manière satisfaisante et aujourd’hui cette libre parole, rendue
possible a grande échelle par les technologies, mais non-organisée est
cacophonique.
1) Humaniser l’émetteur pour recréer les conditions d’un dialogue
2) Mieux gérer l’interactivité des médias
- Identifier les lieux d’échanges
- Clarifier les niveaux de prise de parole entre ceux qui font l’information et ceux qui la commentent
3) Faire « la grande synthèse » :
Comment les medias gardent la main en étant non seulement émetteur mais aussi opérateur de synthèse de la grande conversation.
TROISIEME AXE : L’accès personnalisé à l’information comme service ultime « à la carte »
Et si la personnalisation était un service ?
Et
si l’ultime moyen de personnaliser son offre c’était de permettre aux
gens de faire leurs choix eux même en fonction de leurs propres désirs ?
1) Fragmenter l’offre d’information en fonction de profils types pour permettre une agrégation personnalisée
2) Optimiser la synergie multimédia (papier/internet/multi mobile) autour de plateformes d’accès
Ex : Carte d’abonnement, site internet de pilotage
3) Offrir une vision panoramique de l’information (pour faire découvrir l’ensemble des possibilités)
QUATRIEME AXE : Renforcer la dimension communautaire des médias
L’enjeu de l’information est aujourd’hui économique, politique et social ?
A qui sert l’information ?
A quoi est elle nécessaire et utile ?
Une question de sens, le retour de la MARQUE !
1) Quels sont les enjeux de l’information pour les lecteurs, les annonceurs, les actionnaires.
2) Comment la presse se met au service de ses communautés d’intérêt (lecteurs, annonceurs, actionnaires).
3) La nouvelle approche des communautés : les communautés de sens (intra et intercommunautaire)
CINQUIEME AXE : Quels sont les nouveaux modèles d’éditorialisation de l’information dans la presse : Les avis d’experts
6-1) L’approche des agences de contenu
6-2) L’approche des concepteur-rédacteurs
6-3) Comment travaillent les comités éditoriaux en presse papier / web ?
SIXIEME AXE : Comment l’information se transmet-elle au quotidien ?
Questionnaire administrée à plusieurs personnes qui au quotidien transmettent de l’information.
"Quand vous avez une information à partager/communiquer à une autre personne,
1)
Comment vous y prenez vous ? (jouez vous sur un registre rationnel ou
émotionnel ?/Faites vous autorité ou jouez vous de votre empathie).
2) Dans quelle mesure lui laissez-vous la parole ?
3) Dans quelle mesure prenez vous en compte sa réponse ?"
Les membres de courts circuits suivants travaillent ensemble sur ce thème d'innovation :
- François Laurent, Consumer Insight
- Alain Giraudo, ancien journaliste et fondateur du "Monde interactif"
- François Sergent, rédacteur en chef Libération
- François Kermoal, rédacteur en chef Stratégies
- Eve demange, blogueuse et spécialiste du web
- Eric Scherer, directeur analyse stratégique AFP
- Jean Maxence Garnier, directeur et fondateur de Think Out
- Xavier Dordor, directeur Association de la Presse Magazine
- Philippe Plassart, rédacteur en chef, Le Nouvel Economiste
- Isabelle Fredriksson, chargée de mission, Association de la promotion de la presse magazine
- Eric Faro, Tivi Pro
- Michel Lévy Provençal, responsable nouveaux medias, France 24
- Cédric Guillouet, directeur associé, Autoroute média
- Bruno Ricard, directeur marketing, syndicat de la presse régionale
- Marie-Estelle Rybinski, Directrice de publicité cross media, Mondadori France
- Marcelle Blandel, Directrice audience marketing, Orange
- Jérôme Bell, Extra Live
- Marc-Philippe Dubreuil, Ad&So Consulting – Cohom
- Judith Sautereau, Project manager, Symantec
- Daniel Bô, Quali Quanti
- Benoît Raphael, Rédacteur en chef lepost.fr
- Isabelle Crouzet, fondatrice de Cozop
- Pascal Beauchesne, consultant, Lab Foundation
- Christophe Rebours, directeur In Process
- Stéphane Chirie, COO Yoowalk
- Leila Berrached, chargée de la connaissance média (Argus presse).
Planning des réunions :
· Vendredi 16 janvier 9h30
· Vendredi 23 janvier 9h30
une initiative de courts circuits
Publié sur : courtscircuits
CREDIT : Aldo perben
Rédigé le 13 janvier 2009 dans d- Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le 12 janvier 2009 dans d- Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Rédigé le 11 janvier 2009 dans d- Mon actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Parce que chaque individu est à la fois unique et différent, dans ses aspirations et ses modes de vie...
Parce que chaque consommateur est à la fois unique et multiple, dans ses besoins, ses envies...
... le groupe Casino a construit un univers d’enseignes, de produits et de services destinés à répondre de manière pertinente et précise aux attentes de chacun, à chaque moment de la vie.
Du « mass market » au commerce de précision : une autre vision de la distribution
Depuis son origine, le Groupe Casino a toujours été proche de ses clients, tant au plan géographique que relationnel. Dans un monde en pleine mutation, il réaffirme cette volonté à travers sa vision d’un commerce capable de répondre aux grands défis d’aujourd’hui : modification des modes de vie, individualisation des besoins, développement durable, responsabilité envers les consommateurs-citoyens...
Afin de servir les attentes de plus en plus diversifiées d’une clientèle de plus en plus nombreuse, le Groupe Casino a ainsi choisi d’offrir une véritable alternative à la « distribution de masse », désormais révolue, en se projetant dans l’ère du « commerce de précision ».
Cette approche du marché par la
« différentiation
éclairée » des consommateurs et des
modes de consommation se fonde sur des atouts et une stratégie
propres au groupe Casino :
À travers son offre d’enseignes, le Groupe Casino est en mesure de répondre avec précision à chaque besoin de consommation dans le cadre de moments, de désirs ou de contraintes spécifiques.
Les différents formats de magasins incarnés par des enseignes spécifiques, parfaitement identifiées et reconnues par les consommateurs, forme un univers à la fois cohérent et capable de nourrir tout « un monde de diversité ».
En France :
Le Groupe Casino est également présent à l’international, notamment sur des marchés à forte croissance – Amérique du sud, Asie du Sud-est, Océan indien – où il bénéficie d’enseignes leader.
Rédigé le 08 janvier 2009 | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)