J'ai souhaité qu'on aborde ensemble le thème du design d'expérience pour ouvrir le champs créatif dans : l'innovation, le marketing, la communication et...le design.
L’expérience client est, par erreur, envisagée comme la somme de toutes les rencontres d’un client avec un produits et un service. En fait, c'est une construction à la fois de la valeur perçue communiquée par la marque et de la qualité des moments vécus par le client / usager.
Il est urgent de concevoir des expériences clients personnalisées, pensées dans leur globalité sur tous les points de contact entre un client et la marque : entreprise, produits, services, canaux relationnels.
Mais une telle démarche exige, au-delà des logiques de «silos», que le rôle du directeur de l’expérience client devienne central au sein de l’entreprise. Candidats : le directeur de la marque, le directeur client, le directeur de l'innovation, le stagiaire trés smart ? En tous cas, moi je postule !
L'approche par le design d'expérience permet de challenger des concepts utilisés au quotidien mais qui ont leurs limites dans une approche globale au delà des produits et services existants sans tomber dans les travers des promesses de marque éloignées du vécu client : lean start up, design thinking, expérience client, branding, test and learn, méthode agile
J'ai trouvé intéressant d'explorer l'apport de l'industrie culturelle à la scénarisation d'expérience et de vous inviter a en parler jeudi 29 mars. Pour créer IDTGV nous avons utilisé des outils de design thinking et des outils de scenarisation.
5 professionnels d'horizons divers nous ont expliqué pourquoi l' innovation sociale était une priorité pour eux en 2018
Nicolas Menet, Directeur général chez Silver Valley / co auteur « Startup arrêtons la mascarade, contribuer vraiment à l’économie de demain
Marie Toussain, Présidente de Notre affaire à tous - Agir ensemble pour la justice climatique
Marc-David Choukroun, CEO La Ruche Qui Dit Oui / Co-Founder chez Food Assembly
Usman ISHAQ, Créateur de The Social Bridge qui organise des journées solidaires entre associations et entreprises pour toucher leur fibre socio intraprenariale
Jérémy Dumont, Planneur stratégique, pourquoitucours / auteur de l'article "l'innovation sociale pour impacter positivement la société et l'environnement ... et garantir la croissance de l'entreprise face aux enjeux actuels".
1- Oui la finance s’adapte mais leurs attentes de rentabilité, les sources de profit / coût et les échéances restent inchangés. Un des enjeux de l'innovation sociale, et ce n'est pas pour rien qu'elle est en partie subventionnée, c'est le changement d'échelle. Or l'évolution des comportements, les synergies entre acteurs locaux et la diffusion d'un territoire à l'autre prennent du temps. Peut on imaginer des financements mixtes ?
2- Le clivage entre les secteurs lucratifs et non lucratifs explose mais l'ESS reste première de cordée en grande partie grâce à sa gouvernance qui lui pernet une prise de décisions dans l'intéret commun ...des décideurs. Quelles formes de gouvernance permet de garantir un pilotage de l'activité dans l'intéret génèral?
3- L'innovation sociale peut permettre une croissance positive si les entreprises comprennent le fonctionnement d'un écosystème qui se régénère. L'éco conception, l'économie circulaire et celle du partage sont la preuve que respect et innovation peuvent aller de concert. Mais comment mesurer l'impact combiné des activités sur un territoire, sur les habitants, la nature ... ?
4- Le monde associatif est une vraie source d'inspiration pour les collaborateurs des entreprises commerciales. Il ne s'agit pas d'opposer profit et non profit. La façon de travailler ensemble dans une association est inspirante : décisions collectives, responsabilisation de chacun, motivations individuelles et dynamiques collectives, être dans l'action et réajuster, le sentiment de contribuer...
5- Et si pour innover on se concentrait sur ce qui est important plutôt que nouveau ou meilleur ? La question devient innover pour qui et pourquoi ?
Nous avons réuni les 100 meilleures campagnes en demandant aux responsables de communication en agence de nous envoyer leurs meilleures campagnes 2.0 de 2009 et les campagnes françaises qu'ils ont personnellement aimé.
- Michael Bernier, Founder et Alban Penicaut DC, Chainsaw
- Daniel Fohr, Fondateur et directeur créatif, MC Saatchi GAD
2 - L’identité interactive : les gens sont en interaction via des médias interactifs et communautaires
3 - Les postures relationnelles des marques pour favoriser l’interaction.
4 - F aire vivre une expérience client 2.0 : interaction, service, immédiateté.
5 - Gérer le parcours client pour qu'il soit fluide on line et off line.
Les 10 tendances du marketing 2.0 en 2010.
1- Le ME marketing : se centrer sur l’individu en tant que personne, pas un consommateur ou une cible média
2- Le marketing CONTEXTUEL : après le ciblage comportemental « prédictif », comprendre les contextes de vie pour « anticiper »
3- Le FLOW marketing : ne plus interrompre les flux d’activité des gens pour attirer leur attention, se placer dans leur trajectoire pour accompagner la réalisation de leurs projets
4- Le marketing des VALEURS PARTAGEES : après le ciblage « mosaique » par centres d’int è rets, obtenir l’adhésion via des valeurs partagées « par tous »
5- Le NETWORK marketing : ne plus cloisonner, prendre en compte le réseau relationnel des gens
6- Le marketing ADAPTE : dépasser le rapport qualité/prix et prendre en compte l’usage réel qui est fait par chacun du produit/service pour que le produit/service soit adapté.
7- Le marketing en SELF SERVICE : ce n’est plus possible de délivrer le bon produit a la bonne personne au bon moment, il faut donner a chacun les moyens de faire ses choix lui même
8- Le marketing APPROPRIE : le marketing par les gens, pour les gens…l’émergence de l’autogestion collective
9- Le SOCIO marketing : savoir réunir la réalité économique et la réalité sociale pour aller plus loin que la responsabilité sociale d’entreprise en identifiant des écosystèmes dynamiques
10- Le marketing COOPERATIF : la gestion des liens intra et inter communautaires, permettre et favoriser les inter actions libre.
Conférence du Mercredi 27 janvier 2010 - 14h-17h30
La
palette du e marketing ne cesse de s’agrandir de mois en mois. Une
certitude aujourd'hui, aucune stratégie marketing ne peut s’affranchir
du média internet ni se limiter a celui ci. Et pourtant les budgets ne
sont pas extensibles, il va falloir être créatif et efficace en 2010.
Alors que font les autres ? Quelles stratégies ont-ils adopté et
avec quels résultats ? Quels sont les supports de communication les
plus efficaces ? Quels mix marketing fonctionnent et avec quel ROI ?
Un petit tour du coté des tendances du e marketing 2010 s'impose.
Une session pour enrichir votre mix e marketing.
Certains phénomènes récents changent la société et accélèrent la diffusion des valeurs « dîtes féminines » :
L’interdépendance : La globalisation et la libéralisation des capitaux nous donnent l’impression que nous ne contrôlons plus rien, que nous ne décidons plus de notre avenir. En fait nous commençons juste à réaliser que nous sommes tous interdépendants et que pour ne pas subir et pouvoir agir, de nouveaux modes de gouvernances sont à mettre en place avec comme leitmotiv les notions de démocratie participative et de bien commun.
Le sens : Quel paradigme viendra remplacer la postmodernité et le nihilisme destructeur de sens qui la caractérise ? La notion de progrès qui guidait les lumières a depuis longtemps été abandonnée pour être remplacée par un grand vide. Aujourd’hui nous nous intéressons à un capital trop souvent méprisé, le capital humain pour ensemble construire un système qui fasse sens.
La spiritualité : Au-delà de la religion, la nouvelle spiritualité émergente s’érige en protectrice de la vie. La sauvegarde de Gaïa n’est plus regardée comme un simple mythe païen.
L'accomplissement de soi : Le regard normatif de la société s’est considérablement adoucis. Hier nous risquions l’exclusion de du groupe, de la communauté. Les personnalités d’aujourd’hui mêlent féminin et masculin à l’envie, bien loin des carcans de nos aînées. Les familles se recomposent, les hommes et les femmes se réinventent. Le regard normatif des autres n’est plus la norme, on cherche l’accomplissement de soi.
Un rapport du cercle d'innovation courts circuits avec les contributions de =
Christine Marsan, psychologue, chercheur en sociologie, écrivain
Jean Louis Lespes, économiste
Joël de Rosnay , biologie, prospective, fondateur d’Agora Vox
Rafik Smati, fondateur et président du groupe Aventers
Nishchalananda Saraswati, enseignant spécialiste des spiritualités
Danièle Rousseau, Medef
Thierry Verhelst, auteur
Monique Grande, consultante
Christine Page, auteur
Jean Baptiste de Foucauld, pôle emploi
Maïté Levasseur, journaliste
Marc Luyckx, auteur
Marc Halévy, physicien et philosophe
Bernard Andrieu, philosophe du corps
Fabienne Brugère, philosophe
Roger Nifle, sociologue, directeur de l’institut cohérences
BSV, Pro Senectute Suisse
Une initiative de Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique chez Pourquoi Tu Cours ? (l’agence des idées)
newzy avait fait un reportage vidéo sur le lancement de cette étude lors des apéros du jeudi "tous en jupe, les hommes aussi" organisé pour explorer la diffusion des valeurs dites féminines dans la société" = www.lesaperosdujeudi.com
La jupe est de retour dans les garde-robes masculines. L'association Hommes en jupe (HEJ) milite avec humour pour l'égalité des sexes et a profité des apéros du jeudi 30 avril pour défendre ses convictions.
Après s’être alarmé pour la planète et avoir inclus l’écologie et le développement durable dans le champ de responsabilité des marques, une mutation s’opère dans la manière d’appréhender l’innovation, le marketing, la communication, les média et la création. Les marques commencent à étendre leur champ de responsabilité à la sphère sociale.
Ce mouvement est mû par l’apparition d’éléments nouveaux qu’il nous faut désormais prendre en compte dans l’approche stratégique de nos disciplines (voir premiere partie ci dessous).
- Après avoir redonné un sens à la consommation via l’accomplissement personnel, la nouveauté c’est de recontextualiser la consommation dans un parcours de vie, et de se mettre au service de la réalisation des projets de chacun : le développement approprié
- Les affaires humaines sont plus que jamais communautaires. On observe l’émergence de nouvelles communautés de Sens et de projet qui fonctionnent de manière ouverte, autonome et démocratique : la démocratie communautaire
- Les NTIC permettent, facilitent et accélèrent l’apparition et le développement des communautés : Le web comme toile transactionnelle inter humaine
Il se passe donc beaucoup de choses autour de nous, certaines personnes proposent des solutions concrètes pour réinventer le système…Il nous faut évoluer vers une nouvelle approche des affaires humaines.
Les 3 axes ayant guidé notre réflexion de groupe (partie 1
- Quelle est la nouvelle vision des personnes qui remettent l’homme
au centre de l’économie, du marketing, de la création, des médias et de toutes
les affaires humaines ?
- Qu’est-ce qui réunit les nouvelles communautés humaines ? Qu’y a-t-il
à l’origine de ces « communions humaines » ? Des valeurs ? des
projets? Pourquoi
agissent ils (agissons nous) ensemble ? Quelles coopérations se mettent en
place, comment ?etc.
- En quoi les nouvelles technologies modifient-elles la constitution et le
fonctionnement de ces nouvelles communautés humaines ?
Une exigence : des exemples concrets et menés a bien par des marques (partie 2, 3, 4, 5, 6)
Lors du congrès des agences de communication 2009 organisé par le magazine Stratégies,
Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu cours
(l'agence des idées) a donné des éclairages sur les tendances 2009 :
marketing, communication, media, création.
Ces
tendances
sont issues de la réflexion menée en 2008/2009 au sein du cercle
d'innovation transversal Courts Circuitsqui, par la fourniture
mensuelle de rapports d'innovation, permet de faire émerger des pistes
d’innovation
dans les différents secteurs d'activité, opérationnelles dans le
marketing, la communication, les médias et la création....et en phase
avec les
tendances sociétales émergentes.
La définition de ces tendances innovantes débute avec l'observation de 4 phénomènes sociétaux majeurs : - Le désir d'accomplissement de soi, né de la prise en compte de
nouvelles valeurs éthiques couplée à un éveil aux autres. - L'identité interactive, résultant des usages quotidiens des NTIC, qui entrainent
une nouvelle facon de communiquer avec les autres plus ouverte et interactive. - La logique de réseau qui définit de nouveaux rapports de proximité à distance. Proximité qui ne
tient pas de la distance géographique mais d'une communion de sens,
d'un partage de valeurs. - Les rassemblements en communautés
actives qui participent à un phénomène d'autonomisation collective. Au sein
de ces communautés, les individus s'engagent dans la même direction,
interagissent, dans le but de s'approprier leur propre développement et
de devenir autonomes.
Les marques commencent à intégrer ces phénomènes et 4 tendances majeures se détachent en 2009 de leurs stratégies : - La quête de socio performance. La
socio-performance résulte de la ré-alliance des parties prenantes de
l'entreprise autour d'une vision "aspirationnelle", d'un projet commun,
de valeurs partagées. - Le storytelling : les marques essayent de nous impliquer personnellement dans leur
communication en racontant une histoire, notre histoire. D'où la tendance accrue au
storytelling de marque, afin d'impliquer chacun de nous personnellement. - La marque communautaire : Certaines marques s'incarnent désormais dans de
véritables marques communautaires, créatrices de liens, permettant à leurs membres d'interagir directement entre eux. - Le service : La nouvelle valeur d'une marque est dans sa
capacité à accompagner par le biais d'une logique
nouvelle de service rendu, qui devient désormais une règle.
Finalement, les tendances de demain sont
a chercher non seulement du côté des gens ou du côté des marques, mais
entre ces 2 entités en perpétuelle interaction : - De nouvelles
postures relationnelles émergent qui permettent de clarifier la nature
des liens commerciaux en fonction des valeurs partagées. -
La proximité a distance entre une marque et ses clients ouvre de
nouvelles opportunités relationnelles, sans pour autant perdre le coté
"humain" et l'instantaneité. - Les échanges interpersonnels peuvent
être favorisés. Ca peut passer pas une désintermédiation de la marque
ou le développement de services. - Au final, la tendance est au partage d'expériences,
en premier lieu divertissantes, mais qui le sectre des possibles
s'élargir vers des expériences culturelles ou d'éducation, en une quête
d'accomplissement collective.
Publié par : Nicolas Marronnier Publié sur : le vide poches
Communautés 2.0 (ou comment les réseaux nous incitent a réinventer l'entreprise, le marketing, la création, les médias et la communication)
Après s’être alarmé pour la planète et
avoir inclus l’écologie et le développement durable dans le champ de
responsabilité des marques, une mutation s’opère dans la manière
d’appréhender l’innovation, le marketing, la communication, les médias et la
création. Les dynamiques communautaires poussent certains acteurs à réinventer le système.
Les 3 axes ayant guidé notre réflexion de groupe
- Quelle est la nouvelle vision des personnes qui remettent l’homme
au centre de l’économie, du marketing, de la création, des médias et de toutes
les affaires humaines ?
- Qu’est-ce qui réunit les nouvelles communautés humaines ? Qu’y a-t-il
à l’origine de ces « communions humaines » ? Des valeurs ? des
projets? Pourquoi
agissent ils (agissons nous) ensemble ? Quelles coopérations se mettent en
place, comment ?etc.
En quoi les nouvelles technologies modifient-elles la constitution et le
fonctionnement de ces nouvelles communautés humaines ?
Nous
allons chercher à étudier la diffusion des valeurs « dîtes » féminines
dans notre société : par exemple l’intuition, la sensibilité, la
tolérance, l’écoute, le don, l’art du consensus, le dialogue, la vie,
l’émotion, la vulnérabilité, l’humanisme. Nous ferons un parallèle
entre les valeurs féminines et la vie.
Nous travaillons conjointement avec Innovacorp qui s’occupe de la partie étude marketing «
terrain consommateur » et avec [email protected] qui gère la partie artistique et
notamment la mise en scène de la soirée des apéros du jeudi au cours de
laquelle notre rapport sera présenté.
Agenda des réunions :
La première réunion aura lieu réunion Mercredi 1er avril à 9h30 dans les locaux de pourquoitucours (8 rue Myrha, 75018 Paris). RSVP francois @pourquoitucours.fr
Lors du congrès des agences de communication 2009 par Stratégies, Jérémy Dumont directeur du planning stratégique de pourquoi tu cours a donné des éclairages sur les tendances 2009 : innovation, marketing, communication, media, création.
La tentation est grande de traiter l’information comme de la data qu’on peut mettre dans plusieurs tuyaux et de considérer le journaliste comme un homme orchestre qui peut retranscrire l’information en texte, son, vidéo, flux RSS pour tous les canaux simultanément ?
Et ceci alors que l’information, dans un monde complexe et en mouvement rapide, est au cœur de toutes nos décisions, de nos actions, et qu’elle attise les convoitises de ceux qui peuvent avoir intérêts à manipuler l’opinion où influencer le comportement des masses : politiques, industriels, publicitaires…
Comment augmenter la valeur perçue de l’information pour que l‘écosystème de l’information soit pleinement viable pour toutes les parties prenantes les médias, les journalistes, les lecteurs et les annonceurs ?
Le danger vient non moins de la presse gratuite d'information qui attire les lecteurs qui n'ont jamais été tentés par le payant, que par le Web.
En effet, l 'information émanant du Web est gratuite, claire, immédiate, efficace, mise en images et en vidéo, on demand. Elle se diffuse à chaque seconde, en même temps que l'évènement qui la fait, en même temps que l ‘événement qui se déroule.
Et c’est sans compter sans les autres médias…la TV et la radio…
Jusqu’alors la presse faisait particulièrement autorité face à d’autres grands médias comme la télévision ou la radio. Mais les gens ont accès à de plus en plus de sources ultra ciblées, que ce soient des médias presse, la télé…là ou ils veulent, quand ils veulent.
De plus, tout le monde aujourd’hui peut devenir producteur de contenu, Journaliste amateur ou spectateur ou simple commentateur et diffuser via les plateformes de blogging ou micro-blogging.
Il faut se rendre à l’évidence : l’information n’est plus maîtrisable et maîtrisée. Nous assistons à la montée d’un besoin grandissant de filtrage, de hiérarchisation et de simplification de l’information.
Il va falloir s’organiser.
Alors que le web devient un grand lieu de conversation : sous les articles, entre les gens dans les réseaux sociaux, dans google…
Et que les contenus ne sont plus solidaires des supports médias : on tape une requête et on tombe par hasard sur le site d’un titre de presse, ou sur un extrait d’un article d’un titre de presse sur un autre site.
Il est vital que les titres de presse deviennent des marques médias fortes avec une charte éditoriale claire, un contrat de lecture approprié, un style et des valeurs propres et uniques.
De plus, ils doivent servir mieux encore des communautés choisies afin de redevenir
« leur journal » en adoptant un posture intra communautaire (type «la
voix du nord ou psychologies) ou inter communautaire (type package le
monde + new york times).
Ainsi, une dernière question évidente: comment communiquer une information ?
LES CONTRIBUTEURS DE CE RAPPORT D'INNOVATION : - Alain Giraudo, fondateur du "Monde interactif" - François Sergent, rédacteur en chef Libération - François Kermoal, rédacteur en chef Stratégies - Eric Scherer, directeur analyse stratégique AFP - Jean Maxence Garnier, directeur et fondateur de Think Out - Philippe Plassart, rédacteur en chef, Le Nouvel Economiste - Michel Lévy Provençal, nouveaux medias, France 24 - Lisa Ernst, journaliste, audiovisuelle et éditoriale - François Laurent, Consumer Insight - Bruno Ricard, directeur, syndicat de la presse régionale - Marie-Estelle Rybinski, Directrice cross media, Mondadori - Marcelle Blandel, Directrice audience marketing, Orange - Marc-Philippe Dubreuil, Ad&So Consulting – Cohom - Judith Sautereau, Project manager, Symantec - Benoît Raphael, Rédacteur en chef lepost.fr - Stéphane Chirie, COO Yoowalk - Leila Berrached, connaissance média (Argus presse). - Eves Demange blogueuse, spécialiste du web - Xavier Dordor directeur APPM - Marie laure Lerole, directrice pôle presse, Ipsos média - Marie-Catherine Beuth, Journaliste & auteur - Catherine Malaval historienne et économiste de formation, conseil en communication d'entreprise. - Decuyper Nathalie, professseur droit de l’information et de la communication. - Gerry McGovern, Web content management solutions, founder and CEO of Customer Carewords. - Marie Bénilde, enseignante et journaliste collaboratrice au Monde Diplomatique - Olivier Tredan, doctorant CRAPE Université de Rennes. goupil, blogeur www.blogoergosum.com - Annabelle Klein, Directrice du département de Sciences politiques, Facultés universitaire Notre-Dame de la Paix. - Marc François Bernier, professeur au Département de communication de la Faculté des arts de l’Université d’Ottawa. - Paul Bradshaw, online journalist - Jeff Mignon, entrepreneur, a strategic media thinker and a visual journalist - Thibault Michal, créatif EURORSCG - Cédric Motte, expert en stratégie éditoriale, journaliste rédacteur, blogueur et formation de journalistes web. - Jerome Capirossi, Director, ARISMORE sur Ziki.com - Nikos Smyrnaios, maître de conférence, Université de Toulouse. - Nathalie Quint, journaliste
Encadré
par Jérémy Dumont, directeur du planning stratégique de pourquoi tu
cours, co-réalisé par Anne Charlotte Delaître, planneur stratégique
junior.
....Des petites histoires comme traces d’une grande histoire.....
La culture est un ensemble de pratiques et de croyances.
Le but d’un créateur de culture, le but de toute marque, est donc d’organiser ces croyances et ces pratiques, de les orienter, de les catalyser.
Les histoires jouent un rôle essentiel, par leur capacité à formaliser des modèles, à être des tuteurs psychosociologiques.
Nike invite à la transcendance. Elle le fait en s’appuyant sur des récits ponctuels, mosaïques, qui renvoie à l’air du temps comme à son méta-récit.
Storytelling signifie littéralement raconter une histoire en anglais. Le Storytelling est la version moderne de l’art de la transmission et de la conviction par le pouvoir des histoires. Il consiste à faire émerger une ou plusieurs histoires à fort pouvoir de séduction et de conviction. Selon le principe que pour parler à la tête, il faut souvent d’abord toucher le coeur. Autrement dit passer par l’émotion pour atteindre la raison.
Les contributeurs de ce rapport d’innovation :
Jérémy Dumont (Directeur Planning stratégique, Pourquoi tu cours) Morgane Craye (Assistante Planneur stratégique, Pourquoi tu cours) David Hanau (Responsable des contenus web, Isobar) François Gomez (Consultant en marketing événementiel) Simon Bachelet (Planneur Stratégique, Mediacom) Alexandre Pasche (Directeur, Eco & Co) Janique Laudouar (Chef de Projet, Artank) Jérome Barbe (Directeur de Création, TBWA/EXCEL) Frédéric Farrugia (Co-fondateur, You to You) Stéphane Dangel (Consultant en communication et storytelling) Jean Pascal Debailleul (Horakles Consultant, La voie des contes) Christian Salmon (Ecrivain) Virginie Breton (Consultante en stratégie de marque, Argile Marketing) Anne Caroline Paucot (Hyaka) Jean Yves Le Moine (Créateur et réalisateur) Reuben Steiger, CEO of Millions of Us Robert Zarader (Equancy) Pablo Altes (Designer numérique) Laurence Malenson (Directrice Planning stratégique, Rouge) Mehdi Mejri (Planneur stratégique, Rouge) Nicolas Mirguet (Chef de Projet, Vanksen Culture Buzz) Luc Offerlé (Directeur éditorial, Pressendo) Djamchid ASSADI (Séminariste et auteur) Cedric François (Directeur de Création, Nouvel Œuvre) Hugues de la Rochefordiere (Directeur Editorial, La Télé des Marques) Roger Nifle (Président de l’Institut de la prospective humaine) David Bourguignon,(Business developer, Masa Group) Sandrine Clavelly (The Place to Be) Maud sauvagé (Planneur stratégique) Laurence Saquer (Planneur Stratégique et Sociologue) Catherine Gheselle (Auteur Rédactrice Multimédia) Anne Marie Soderberg, Professeur de communication organisationnelle Pierre Nicolas Combe (Assistant Réalisateur) Aurélie Charpentier, Auteur Delphine Baillergeau (Maître de Conférences en Sciences de Gestion) Sebastien Durand (Consultant en communication et storytelling) Sam Ford (Convergence Culture Consortium, MIT) Charles Antoine Colomb (Directeur Conseil, Ogilvy PR) Ivanne Rialland (Chercheur, Paris IV Sorbonne) Rémy Lorioz (Etudiant en Ecole de Commerce) Michel Drac (Co-fondateur, Sciptoblog.com) Stéphane Lautissier (Consultant en marque et marketing relationnel) Annabelle Klein (Directrice Département, Facultés Notre Dame de la Paix) Gill Wildman et Nick Durrand (corporate storytellers, Plot UK) Amine Chellali (Doctorant à l’Ecole des Mines de Nantes) Camille Rooy (CMA CGM) Cathy Breda (Professeur au Groupe Ecole de Commerce Chambéry) Fernandez Sauveur (Conseiller en marketing, L’Econovateur) Henry Jenkins (Director of the MIT Comparative Media Studies Program) Eric Miller (Director, World Storytelling Institute) François Filliettaz, Auteur
LE RAPPORT CI DESSOUS EST VISIONABLE ET TELECHARGEABLE
Vous pouvez également le télécharger directement :
La
socio-performance vise la réussite des enjeux collectifs, personnels et
communautaires. Dans un contexte de mondialisation l’aventure humaine
est plus que jamais collective. Ainsi la performance individuelle se
situe de plus en plus dans un contexte de performance collective. Celle
des groupes, des équipes, des communautés de tous ordres : communautés
sociales, politiques, économiques, d’entreprises comme de pays ou
communes, de sociétés ou d’associations et toutes les formes classiques
ou nouvelles de communautés d’enjeu et de devenir.
Les membres de courts circuits suivants ont travaillé ensemble sur ce thème d'innovation :
Roger Nifle (président de l’université de la prospective humaine) Jérémy
Dumont, directeur du planning stratégique et Sophie Demol assitant
planneur stratégique, Pourquoi tu cours (l'agence des idées) Nicolas Marang (crisis manager l‘Oréal) Alain Lefebvre (consultant NTIC) Laurent Ponthou (directeur insight et expérience client, Orange Labs) Serge Perez (président, les Ateliers Corporate) François Marie Pons (auteur du livre «l’innovation à tous les étages »), Daniel Luciani, (directeur général Icom) Laurent Vanexe (stratégie et coordinateur réseau Good action) Laurent Térisse (directeur agence Limite) Olivier Maurel (Danone community) Michel Lévy Provençal (fondateur Zutopik) Yves Michel (éditeur indépendant, éditions Yves Michel) Mathieu Coste (chief chaos officer nearby) Martin duval (Ceo Blue Nove) Isabelle et Thierry Crouzet (Créatrice de Cozop) Florent Niwinsky (agence Elegangz) Laurence Saquer (planneuse stratégique et sociologue) Vincent Berthelot (responsable intranet RH) Céline Ruffet (directrice france, Qype) Anne-Stephanie Pierry (responsable communication, Crédit coopératif) Philippe Noel (planneur stratégique) Francis Cholle (écrivain, « l'intelligence intuitive ») Olivier Zara (écrivain, « management de l’intelligence collective »)
Les oiseaux de mauvais augure
dressent un portrait sombre d’une société en mal d’avenir et
d’ambitions collectives. A les entendre, les jeunes contestent moins,
les créatifs suivent la mode, les philosophes bégaient...
Dans
leur description, ils oublient que si le contexte économique, politique
et social incite à la morosité, il est aussi porteur de contradictions
génératrices de nouvelles idées et d’ utopies.
Les idées mènent le monde", disait Keynes à la fin de sa Théorie Générale (1936).
Elles changent le cours de l’histoire de l’humanité (démographie, économie, politique, etc.).
Le
mot « utopie » décrit une représentation d’une réalité idéale et sans
défaut qui ouvre le champs du possible nous explique Régis Messac
(Ecrivain).
Pour lui, les récits utopiques répondent à un besoin social. « Il est
sans doute permis de dire, dans l’ensemble, que se sont les périodes
d’incertitudes, d’inquiétude, voire de souffrance, qui sont surtout
favorables à l’apparition de récits de ce genre. Lorsque beaucoup
d’Hommes, la majorité des Hommes, peut-être, sont contraints de se
replier sur eux-mêmes, ils cherchent dans leur imagination ce que la
réalité leur refuse, et l’on voit fleurir les utopies ».
La liberté du chercheur et du penseur, la table rase, du philosophe
sont les ingrédients indispensables de la recherche scientifique nous
rappelle Philippe J. Bernard, auteur de « L’utopie moderne et ses
perversions ».
Il nous ouvre de nouvelles perspectives en disant que l’histoire
politique est celle de l’affranchissement des peuples et de la
construction d’États démocratiques basés sur la volonté de tous. Le
système économique, ou de satisfaction des besoins dans les formes
socialement reçues, a un meilleur rendement là où producteurs et
consommateurs peuvent agir librement en faisant place à l’ouverture et
à l’innovation.
L’histoire des mœurs est à ses yeux de la même façon, quoique selon un
rythme propre, celle d’un affranchissement. Et le domaine des arts et
de la littérature est marqué par la place laissée à la liberté et
l’originalité de l’artiste - le concept de modernité a trouvé là son
origine.
C’est pourquoi ...ensemble...collectons, rassemblons, métissons tous
les idées, rêves, énergies existantes. Les objectifs sont que chacun
puisse avoir des rêves assez hauts pour ne pas les perdre de vue et
écrire un futur commun désirable qui nous permettra de le choisir et
non plus de le subir.