Et si on faisait preuve de pensée positive en décidant que tout va bien dans le meilleur des mondes en 2050 ? Pas d'inquiétudes. Ceux qui y sont déjà allé disent qu'on y est arrivé. Tout va bien ! Voilà les témoignages des premiers voyageurs : Brigitte Goglione, Vanessa Attia, Jo C, Albane LOISEAU et Léna BASILE
En 2050 on peut partager ses émotions en pleine empathie. Tout le monde a appris les bases de nos fonctionnements psychologiques, cognitifs et émotionnels. Chacun possède un bagage de compétences psychosociales qui fluidifient les relations et la communication et permet de traverser des conflits (médiation, justice restauratrice,…). Nous avons développé de nouvelles parties de notre cerveau qui touchent aux émotions et aux comportements altruistes. D'après les scientifiques, certaines zones de notre cerveau ont diminué notamment l’amygdale et l’hypothalamus à partir de 2030.
Chacun est éduqué, à l'école pour les enfants, au travail ou dans la ville pour les adultes, à prendre soin de soi, de sa santé, son corps, son équilibre. De nombreuses activités telles que la méditation, le sport, le yoga sont proposés dans de multiples endroits. De nouveaux rituels laïques s’inventent jour après jour.
L'entraide s'est développée. Chacun donne de son temps pour participer à des projets de développement social, orientés vers l'amélioration des conditions de vie de toutes et tous. Nous coopérons pour maintenir l’habitabilité de la terre car nous avons compris que la justice environnementale est liée à la justice sociale. Les projets ou décisions se prennent ou se créent de manière coopérative avec la prise en compte des impacts de nos actions sur les autres vivants humains ou non.
Nos modes de vie ont évolué pour répondre à nos besoins tout en protégeant nôtre environnement et notre survie. La surconsommation a disparue : un mode de consommation raisonnable et raisonné prévaut. Des cellules d'accompagnement individuel et collectif existent à l'école, dans les entreprises et dans les villes pour aider chacun à faire des choix de vie qui lui corresponde.
L’argent, les biens matériels ne sont qu’une dimension de ce qui a de la valeur. L'argent circule, simple valeur d'échange, il ne s'accumule plus. Désormais les apports relationnels, ce qui fait lien, ce qui génère du bien-être et du bien vivre ensemble, du commun est considéré comme ayant plus de valeur. L’accent est mis sur ce qui régénère. C’est désormais un des critères incontournables pour toute activité. D’ailleurs le mot économie utilisé seul n’existe plus. Il est toujours relié au social et à l’environnemental.
Les entreprises sont devenues des acteurs incontournables de la préservation du vivant. Grâce à l'émergence de nouveaux modèles de pensée, un grand tournant a lieu dans le monde des entreprises, dont le business modèle est centré sur la protection et le développement de la vie. Less produits et activités qui étaient incompatible avec la protection du vivant ont disparu ou ont évolué grâce à mouvement créatif d'ampleur.
Nous avons fait une révolution culturelle pour se restituer à notre juste place en tant qu’humains, avec toutes nos spécificités sans pour autant se croire supérieur et agir en dominateur de la planète. Nous agissons dans l’idée de contribuer à la diversité et complexité du vivant : l’attention à la biodiversité, au climat, à l’empreinte carbone, aux espaces et espèces non domestiqués est devenue naturelle. Par exemple, les forêts ont repris la majorité du territoire, tout le monde y va régulièrement s'y promener et s'y ressourcer. Le respect du vivant est enseigné à l'école et au cœur des décisions publiques et privées. La nature est présente partout dans les villes et au cœur de la cité.
A vous de nous raconter 2050 en remplissant les champs de texte de ce formulaire (5 à 10 minutes) https://07i0r2gsvu5.typeform.com/to/Jx2df4R9 Vos contributions seront publiées ici le 3 septembre #vivement2050 #noussommesvivants
https://www.robhopkins.net/the-book/
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