Nous sommes vivants : le collectif des professionnels de l' innovation et de la transformation collective engagés dans la régénération animé par Jérémy Dumont #noussommesvivants
Nous avons développé plusieurs ateliers pour accompagner la transition écologique dans les entreprises et les collectivités locales en réponse au dépassement des limites planétaires et en particulier la prédation du vivant.
Notre approche c'est la régénération du vivant dont les humains. La régénération est la capacité du vivant à atteindre sa pleine capacité dans un écosystème.
Le Forum Biodiversité et Économie est organisé tous les deux ans par l’Office français de la biodiversité. À destination des entreprises de toutes tailles et tous secteurs confondus, ce Forum est un lieu de rassemblement et de mobilisation des acteurs économiques déjà engagés ou qui souhaitent s’engager en faveur de la biodiversité et de tous les acteurs qui les accompagnent.
Nous y sommes présents. Rencontrons nous. Mercredi 13 novembre. 15:30 > 16:30 > Ces nouvelles organisations qui placent le rapport au vivant au coeur de leurs missions avec Jérémy Dumont, NOUS SOMMES VIVANTS
Un nombre croissant d’organisations place la question du rapport au vivant au cœur de leurs missions afin de contribuer aux changements transformateurs nécessaires. Ces organisations visent à contribuer à activer ces changements en accompagnant différents publics cibles (entreprises, collectivités, citoyens, secteurs socio-professionnels…) dans leur transition voire dans la transformation de leur modèle. Ces organisations sont multiformes (entreprises, associations, collectifs…) et possèdent une offre de services variés (formations, ateliers, accompagnements sur-mesure…). Cet atelier vise à mieux cerner la dynamique de l’offre et de la demande vis-à-vis de ces nouveaux services et à mieux identifier les leviers d’actions efficaces pour activer les changements de modèles au sein des entreprises. Organisateur : Office français de la biodiversité (OFB)
Nous sommes un collectif de professionnels de l’innovation et la transformation. Nous avons développé plusieurs ateliers pour accompagner la transition écologique dans les entreprises et les collectivités locales en réponse au dépassement des limites planétaires et en particulier la prédation du vivant. Notre particularité c’est la compréhension des mécanismes du changement de comportement pour accompagner chacun de nous dans sa transition écologique et nous mettre collectivement en mouvement pour mener à bien notre mission de régénération de la nature et des humains. Et notre compétence en innovation produit, design de services et gestion de projets innovants. Nous avons conçu des ateliers pour régénérer le vivant. Nous animons ces ateliers dans les entreprises, collectivités locales, associations et lors d’évènements https://noussommesvivants.co
Sur le territoire de Loos-en-Gohelle, la transition écologique est un projet partagé. Elle est orchestrée par le maire qui donne le sens et qui mobilise. Au cœur du moteur se trouvent la participation habitante, de fortes coopérations et une certaine idée de l’amélioration continue. Cette commune de 6 879 habitant•es, située dans les Haut de France, dans le Nord-pas-de-Calais, arrive depuis vingt ans, à impliquer ses habitants au point d’en faire des parties prenantes et des ambassadeur•ices du changement. Son maire, Jean-François Caron, a eu l’intelligence de cultiver en elles et eux un savoir-faire politique assez unique en France.
« Notre commune est située dans un ancien bassin minier, notre territoire était en état de choc quand je suis arrivé à la mairie, nous traversions une crise systémique, avec un taux de chômage élevé, une crise sociale considérable avec un fort taux de pauvreté« , se souvient-il. Afin d’initier la transition, de multiples chantiers sont lancés – en commençant par celui de l’image du territoire : « l’imaginaire est le premier des sujets et la façon dont on se projette est déterminante. Auparavant, on venait nous filmer avec cet imaginaire des corons et des enfants dont le nez coule, avec une fenêtre cassée… Aussi était-il nécessaire de redonner de l’estime de soi et de la classe aux mineurs« , relève celui qui a oeuvré activement à l’inscription par l’Unesco du bassin minier du Nord-Pas-de-Calais au patrimoine mondial de l’humanité, en 2012 avant d’initier de nombreux ateliers culturels destinés à questionner le récit local. « Après trois siècles d’exploitation du charbon, et avant de vivre dans un monde plus chaud de deux degrés, il fallait travailler aussi bien sur l’identité et les fondamentaux du territoire que sur le désir d’aller vers quelque chose de nouveau« , note le maire, en pionnier conscient de la mort de l’ancien modèle tout autant que de la difficulté d’inventer de nouveaux repères (voir ci-dessous la vidéo de sa conférence Ted donnée en 2015, dans laquelle il détaille sa démarche)
Autour de la conviction forte et structurante qu’il est nécessaire de partir de ce qui constitue l’identité du territoire pour engager les projets de demain, une expérience mérite que l’on s’y attarde. C’est effectivement sur les vestiges du passé que la symbolique de la reconversion s’illustre avec la base 11-19. Haut-lieu de la diversité économique après la mono-activité, hautlieu d’un développement durable après de longues décennies à avoir fait souffrir la terre, la base 11-19 est composée de nombreux acteurs économiques, associatifs, culturels (représentant plus de 100 emplois), qui convergent vers cette idée que l’on peut utiliser le passé pour en faire une ressource multiréférencée.
Une dynamique nouvelle.
Dans les secteurs de l’énergie, de la formation, de la mobilité, de l’alimentation, de l’habitat, du sport ou de la culture et de la biodiversité, Jean-François Caron et ses équipes ont impulsé une dynamique nouvelle. source
C’était il y a près de 40 ans. Aujourd’hui, Loos-en-Gohelle est “première ville démonstrateur du développement durable” labellisée par l’ADEME ; elle devait accueillir une délégation de la COP21 en 2015 (visite annulée à cause des attentats), et l’ensemble des terrils a été inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Tout cela grâce au travail de la population, des acteurs du territoire, de l’équipe municipale et d’un maire assez incroyable, Jean-François Caron. Pour lui, la transition écologique doit émaner des territoires, par une forme d’innovation sociale qui “porte une dimension transgressive”.
Croire en l’avenir de son territoire, après avoir subi un traumatisme majeur – comme la fermeture en chaîne des principaux employeurs – est le premier pas de la transition, selon Francis Maréchal. C’est même le début d’une dynamique pour Jean-François Caron. Ce dernier tempère : “Nous n’avions pas encore de notion de transition à cette époque. Mais c’était une pensée en trajectoire qui prenait forme” dans ce qu’il qualifie de sujet principal, selon lui : “les nouveaux imaginaires de développement.” De là est née une méthode originale, constellée d’“étoiles” comme buts souhaités, et parsemée de “petits cailloux” comme étapes de réalisation. Développée par le maire de Loos-en-Gohelle, cette méthode essaime bientôt sur d’autres territoires via la Fabrique des Transitions, créée quelques années plus tard.
Si tout le monde est invité à participer, le rôle structurant de la mairie est indéniable. Surtout que Loos-en-Gohelle était la première (petite) ville à s’engager sur cette voie de la transition, et a dû inventer sa méthode. “Pour nous, la conduite du changement, c’était : pré-conscientisation, conscientisation, préparation du passage à l’acte, premiers déclenchements, puis généralisation” résume Jean-François Caron. Mais cette méthode apparemment bien rodée est vue avec 30 ans de recul. “J’y suis beaucoup allé à l’intuition au début, sans théoriser” insiste l’élu. De toute façon, il faut être patient : “Le changement culturel nécessite souvent une génération entière, soit une trentaine d’années. Tous les sociologues le disent.” source
Avec les habitants
Une chose est sûre : l’implication des habitants, la mise en place d’actions systémiques (qui prennent en compte l’ensemble des effets environnementaux et sociaux), la posture d’innovation et la culture du rêve (entretenu par un ensemble d’objectifs atteignables) font partie des quatre piliers fondamentaux – le « code source » – de l’approche Loosoise. « Je passe ma vie de maire à gérer le désir et le réel » explique Jean-François Caron « La transition écologique est un problème de sciences humaines et sociales. Il faut arrêter de dire que la transition n’est pas populaire, car tout dépend de la manière d’appréhender les choses : il n’y a pas de transition si on demande aux gens de se renier plutôt que de leur demander de se relier à qui ils sont. Tout découle du regard que l’on porte sur nos sociétés, et non de la technologie », conclut Jean-François Caron sans cacher les nombreuses difficultés qu’il a fallu surmonter, mais en acceptant que la recherche de solutions et d’alternatives passe par la culture d’un art d’habiter qui est aussi important que l’art de construire. La gestion du facteur humain est clef dans la mobilisation : « c’est la qualité des collectifs qui permet l’expression des singularités : un bon collectif permet d’avoir des contributions de qualité ». Source
Créer de la confiance, c’est d’abord faire naître une envie. Que ce soit par un “futur désirable” ou dans la manière de faire. Jean-Luc Mathé reconnaît la vertu de cette approche mise en place, selon lui, par la mairie : “Beaucoup de projets de transition qui sont des projets citoyens. Ils sont pour la plupart initiés ou transformés par la mairie dans ce but.” souligne-t-il, prenant l’exemple de Mine de Soleil. “Avec ce projet, on a fait émerger le désirable” estime Manuella Cavaco. Selon elle, la forte adhésion de la population à un tel projet, pourtant technique par nature, est un marqueur de confiance.
Francis Maréchal résume l’historique du changement, appliqué au fonctionnement de la mairie de Loos-en-Gohelle, au sein de laquelle il travaille depuis 2008 : “la transition passe au-dessus de tout ! Mais il a fallu d’abord convaincre les autres conseillers municipaux du bien fondé de ce principe. (…) Ensuite, il faut expérimenter puis massifier. Mais nous sommes une petite commune minière, avec peu de revenus : nous devons être imaginatifs.” D’où le mode projet et la coopération, qui se sont imposés dans tous les services municipaux. “Ici, nous avons des ‘portes’ entre les services, avec des réunions partagées et une approche collective pour chaque projet.” résume-t-il. “Enfin, nous pratiquons beaucoup d’idéation avec les habitants, en début de mandat. Et nous établissons avec eux une feuille de route pour 6 ans, complétée de rencontres et de séminaires au fil de l’eau.” source
Conserver la lisibilité de la transition
Enfin, cette multiplicité d’initiatives dans une approche systémique risque de rendre très compliquée la lecture de la transition. Tous les projets sont-ils bien compris par la population ? “D’un côté, il y a le discours sur la mémoire minière et ses difficultés, et de l’autre côté, la transformation.” résume Marie Forquet. “Mais, au fond, qu’est-ce cela veut dire pour les gens d’ici ? Ils peuvent la voir comme une contrainte.” On retombe sur le débat désormais classique de l’écologie “punitive”, ou qualifiée comme telle. Plus il y aura d’actions engagées et d’enjeux adressés, plus le besoin d’explication et de clarification sera nécessaire. source
Le Forum Biodiversité et Économie est organisé tous les deux ans par l’Office français de la biodiversité. À destination des entreprises de toutes tailles et tous secteurs confondus, ce Forum est un lieu de rassemblement et de mobilisation des acteurs économiques déjà engagés ou qui souhaitent s’engager en faveur de la biodiversité et de tous les acteurs qui les accompagnent.
L’objectif du FBE est de mobiliser les acteurs économiques, notamment les entreprises. Pour cela il s’agit de : - Rassembler les acteurs économiques qui agissent déjà en faveur de la biodiversité afin de renforcer leur capacité d’action. - Faire monter en compétences les acteurs économiques sur leur engagement en faveur de la biodiversité et sa prise en compte dans le développement de leurs activités (leviers d’actions et d’engagement, mise à disposition de connaissances, initiatives et dispositifs existants). - Créer des espaces d’échange pour mettre en relation les acteurs (réseau vertueux, BtoB, etc.). - Susciter l’engagement des acteurs économiques dans le programme Entreprises engagées pour la nature.
C’est un regard positif sur l’humanité qui passe par la réciprocité humains - non humains. Avec une forme pure de démocratie qui donne une voix à tous les êtres vivants pour présider aux grandes destinées communes.
Nous y sommes présents. Rencontrons nous.
Mercredi 13 novembre. 13:45 > 15:15 > La fresque des imaginaires pour ouvrir de nouvelles perspectives pour son territoire, son entreprise, sa marque et ses produits.
La fresque des imaginaires c'est un atelier collaboratif et interactif à base de cartes, d’apports théoriques et d’échanges entre les participants qui permet de se projeter dans un futur responsable et désirable. En travaillant sur les 4 imaginaires écologiques issus des différentes relations que chacun de nous peut entretenir à la nature nous permettons de trouver la motivation de prendre soin de soi, des autres et de la nature sur des thématiques comme habiter sur terre en 2050, manger en 2050, s’habiller en 2050... La fresque des imaginaires permet d’ouvrir de nouvelles perspectives pour son territoire, son entreprise, sa marque et ses produits. En savoir plus sur cet atelier https://lnkd.in/egdSY_r8
Mercredi 13 novembre. 15:30 > 16:30 > Ces nouvelles organisations qui placent le rapport au vivant au coeur de leurs missions avec Jérémy Dumont, NOUS SOMMES VIVANTS
Un nombre croissant d’organisations place la question du rapport au vivant au cœur de leurs missions afin de contribuer aux changements transformateurs nécessaires. Ces organisations visent à contribuer à activer ces changements en accompagnant différents publics cibles (entreprises, collectivités, citoyens, secteurs socio-professionnels…) dans leur transition voire dans la transformation de leur modèle. Ces organisations sont multiformes (entreprises, associations, collectifs…) et possèdent une offre de services variés (formations, ateliers, accompagnements sur-mesure…). Cet atelier vise à mieux cerner la dynamique de l’offre et de la demande vis-à-vis de ces nouveaux services et à mieux identifier les leviers d’actions efficaces pour activer les changements de modèles au sein des entreprises. Organisateur : Office français de la biodiversité (OFB)
Transformez les contraintes de décarbonnation… en opportunités de prospérité économique, écologique et sociétale ...avec le business model canvas de l'entreprise régénérative.
La RSE, l’urgence climatique, la raréfaction des ressources, les difficultés logistiques, la hausse de prix… Autant de raisons, de contraintes parfois, qui poussent à aller plus loin que de simplement répondre aux obligations réglementaires. S’adapter n’est plus une option…
Et si chaque entreprise devenait une entreprise consciente de ses liens d'interdépendance avec les milieux écologiques et les parties prenantes desquelles elle dépend et sur lesquelles elle agit ; une entreprise qui cherche à favoriser un équilibre dynamique avec ces parties prenantes humaines et non humaines ?
C'est possible ! L'innovation à impact et un niveau accru de collaboration sont la solution pour que l'impact se traduise en profits durables pour l'ensemble des parties prenantes sur un territoire.
Venez profiter de ces deux jours de programmation Jeudi 3 octobre et vendredi 4 octobre dans les salons de l'Hôtel de ville de Lyon https://lnkd.in/ew4b36y2
RDV le 4 octobre à 9h sur le volet CSRD: Quels chemins vers l'entreprise contributive avec un atelier découverte du RegenBMC. Le Business Model Canvas de l'Entreprise Régénérative permet de prendre la mesure de ses impacts au niveau d’un produit / service pour concevoir des offres de services à impact avec son réseau de partenaires réunis en coalition à impact. Il se base sur la chaîne de valeur du produit / service. En savoir plus https://lnkd.in/erZGmfb5
La fresque des imaginaires sur la fête des vendanges de Montmartre, à Paris à La REcyclerie, c'est l'occasion de relier les imaginaires de l'écologie aux mythes fondateurs, en particulier Dionysos et la Régénération. Le mythe sous-jacent de la régénération est celui de Dionysos qui retisse les liens entre les humains et la nature. En savoir plus sur les mythes de l'écologie moderne : https://lnkd.in/eDuJbZiW
Dyonysos est associé à la fertilité, à la vie et à l’abandon de soi. Les cultes dionysiens abolissent la frontière entre l’espace humanisé de la cité et le reste du règne vivant, de sorte que les humains, les animaux, les végétaux, les pierres et les minéraux se trouvent "unis dans leur identité d'enfants de la Terre".
Avec Dionysos, non seulement le lien d’Homme à Homme vient à se renouer, mais la nature aliénée – hostile ou asservie – célèbre de nouveau sa réconciliation avec son fils perdu, l’Homme.
Spontanément la terre dispense ses dons, et les bêtes fauves des rochers et des déserts s’approchent pacifiquement. Et les humains ont non seulement une place mais un rôle a jouer dans cette grande trame du vivant, au coeur de la nature, dont ils font partie.
C’est un regard positif sur l’humanité qui passe par la réciprocité humains - non humains. Avec une forme pure de démocratie qui donne une voix à tous les êtres vivants pour présider aux grandes destinées communes.
La régénération avec Dionysos, nous invite à tisser des relations symbiotiques avec le vivant pour améliorer nos conditions de vie sur terre. Découvrir la master class sur le business model régénératif https://lnkd.in/ewXg-3rm
La fresque des imaginaires permet de se projeter dans des modes de vie futur. En travaillant sur la base des imaginaires écologiques issus des différentes relations que chacun de nous peut entretenir avec la nature nous permettons à chacun de trouver la motivation de prendre soin de soi, des autres et de la nature. Elle est thématique et nous imaginerons cette fois comment habiter sur terre en 2050 inspirés par les 4 mythes fondateurs dans le cadre de la fête des vendanges de Montmartre.
Pour les professionnels engagés dans l’écologie, c’est un atelier réflexif qui permet d’ouvrir de nouvelles perspectives pour son territoire, son entreprise, sa marque et ses produits. En savoir plus sur cet atelier https://lnkd.in/egdSY_r8
Nous déployons plusieurs ateliers regeneratifs : fresques (facteur humain, émotions, imaginaires) pour faciliter la mobilisation collective et le business model canvas regeneratif (dont process consulting en 5 ateliers). Nous animons ces ateliers de façon rémunérée dans les entreprises, et collectivités locales https://lnkd.in/e2GVKFsn
La fresque des imaginaires permet de se projeter dans des modes de vie futur. En travaillant sur la base des imaginaires écologiques issus des différentes relations que chacun de nous peut entretenir avec la nature nous permettons à chacun de trouver la motivation de prendre soin de soi, des autres et de la nature. Elle est thématique et nous imaginerons cette fois comment habiter sur terre en 2050 inspirés des mythes, dont celui de dionysos dans le cadre de la fête des vendanges de Montmartre. https://noussommesvivants.co/la-fresque-des-imaginaires/
C'est un programme de dingue avec une bande de joyeux lurons qui propose des ateliers incroyables. Alors nous, on apporte la joie, la tristesse, la colère, et la peur. Bon, surtout la joie.
Le 20 septembre au "vrac de l'impact", sur le parcours entreprise on propose une expérience extraite de la fresque des émotions pour faire toucher du doigt la capacité des émotions à nous mettre en mouvement de façon collective, ou alors pas du tout. Bref on va vous mettre en vrac, mais c'est pour l'impact. RDV au So good Festival le 20 septembre après midi à Friche la Belle de Mai à Ville de Marseille !
😎 Le pitch fort en émotions : "Les émotions nous mettent en mouvement via des boucles qui se forment entre nos émotions, nos pensées et nos actions. Dans cet atelier expérientiel, les participants vont mimer les sensations à l'origine de la colère, la peur, la tristesse et la joie pour développer l'intelligence émotionnelle permettant de mettre un collectif en mouvement". ici
L’écologie est un levier d’innovation pour concevoir des alternatives de consommation avec des modèles économiques viables et résilients https://lnkd.in/erZGmfb5. Lors de cette intervention à AgroParisTech je reviendrais sur les lauréats de la régénération du vivant pour illustrer avec des exemples. https://lnkd.in/e78bfpHW
Ce qu’il y a de plus inspirant dans la nature c’est les relations symbiotiques qui réunissent des organismes vivants dans des relations mutuellement bénéfiques au sein d’un écosystème. C’est pourquoi l’économie de la mutualité est la mieux à même de poser les bases de l’économie régénérative souvent réduite à l’économie circulaire qui n’inclue pas le vivant, humain et non humain. cc Isabelle Delannoy
La régénération est une propriété du vivant. On restaure le taux d’humus d’un sol mais on régénère sa biodiversité. Ceux qui renomment l’agriculture de conservation des sols en agriculture régénérative laissent penser qu’ils ont a cœur de favoriser les relations symbiotiques des bactéries et champignons avec les plantes mais leur addiction aux engrais et pesticides prouve le contraire. Une clarification s'impose au sein de la grande famille de l'agroécologie https://lnkd.in/dv3Fiake
Les pratiques de l'agriculture bio et régénérative permettent la résilience de nos chaînes d’approvisionnement alimentaires dans de nouvelles formes de collaboration au sein d’une filière. Ces pratiques ne sont plus déployées à petite échelle ou à la marge de la mondialisation mais de façon massive sur un territoire dont il faut prendre soin, déjà pour notre santé.
C'est pourquoi il faut réintégrer les humains dans les écosystèmes et viser des services socio écosystémiques. Prendre soin de la nature c'est prendre soin de nous. Le fondement de la solidarité écologique se situe dans la réconciliation à la nature dont l’humanité est une partie intégrante avec la capacité d’y contribuer de façon positive. https://lnkd.in/erStKg7K
C'est ainsi que les fondements de l'écologie inspirent des produits et services issus de pratiques régénératives du vivant. Et que l'écologie est source d'innovations à impact à la fois bons pour les humains et la nature.
Quelle joie d'être partenaire deBiomimexpopour s'émerveiller collectivement pour le vivant. Voila le support de mon keynote du 12 juin en ouverture.
Lors des élections législatives françaises de 2022 les imaginaires de l'écologie se cristallisaient dans trois « systèmes utopiques » portées différemment par les des mouvements sociaux, leaders d’opinion et bien sûr les courants politiques. A lire ici https://lnkd.in/eacmRxUf
- L’utopie écologique évoque une organisation de l’économie et de la société tendue vers l’équilibre et la sobriété. Répondant en premier lieu à l’impératif écologique, elle s’accompagne de modes de vie et de consommation que l’on pourrait résumer par la formule « moins mais mieux».
- L’utopie identitaire-sécuritaire campe une société nostalgique d’un passé révolu, soucieuse de préserver son identité et sa singularité face aux influences étrangères, qu’elles viennent d’une mondialisation économique et institutionnelle ou de l’arrivée de nouvelles populations. Ici, clairement, la difficulté à se projeter dans l’avenir favorise la recherche d’idéaux dans un passé réinventé, un supposé âge d’or qui prend alors les traits d’une utopie.
- L’utopie techno-libérale enfin qui, s’inscrivant dans une trajectoire hypermoderne , décrit une société dans laquelle priment les valeurs individualistes et la reconnaissance des droits individuels, bénéficiant d’une croissance forte (mais génératrice d’inégalités) grâce à la vigueur d’un progrès technique débridé allant jusqu’au augmenter l’humain, selon une perspective transhumaniste.
Le résultat des élections avaient consacré trois blocs politiques gauche radicale / macronie / extrême droite avec la mise en place de la sobriété par l'ADEME
En 2024, il est probable que la nostalgique d’un passé révolu soit une force puissante avec une crainte de la mondialisation qui nécessite la protection des Français, surtout dans les villes et villages ayant déjà massivement voté pour le rassemblement national avec seules les grandes métropoles qui résistent, a l'exception de Marseille.
Le bloc de gauche est cette fois ci encore à 30% dans une configuration différente, mais c'est le bloc de l'extrème droite qui est à 40% avec le bloc de la majorité qui est à 20%. Quels imaginaires exploiter ? Très probablement y intégrer la protection sociale avec des propositions écologiques populaires
Au programme:
MARDI 11 JUIN à 16h : ATELIER FRESQUE DES IMAGINAIRES Bien sûr ! C'est vital. Alors venez lors de cet atelier recréer collectivement et de façon créative les imaginaires qui nous manquent et qui nous aideront à nous projeter vers demain, un autre demain. D'ailleurs, comme ça, spontanément, si vous deviez coller des images dans votre tête sur ce futur désirable, vous voyez quoi ? ...
MERCREDI 12 JUIN à 10h PLÉNIÈRE DES TILLEULS Keynote de Jérémy qui vous invitera à rendre l'écologie désirable ... Comment proposer - enfin - une approche positive et désirable de l’écologie et d’une nouvelle relation au monde et au futur ?
SUR LES DEUX JOURS : EXPOSANT dans le Village Biomim'expo 2024 Profitez-en pour venir retrouver l'équipe, discuter, découvrir les outils et solutions qu'ils proposent