Tendances du E COMMERCE 2010 :
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Tendances du E COMMERCE 2010 :
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Rédigé le 17 juillet 2010 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Pour voir le reportage diffusé dans la matinale de CANAL + = http://player.canalplus.fr/#/347366 (a partir de 8h14)
Pour voir le reportage diffusé dans la matinale de CANAL + = http://player.canalplus.fr/#/347366 (a partir de 8h14)
Chaque artiste organise son espace. Toutes les formes d'art sont les bienvenues.
L'art se montre au public et envahit la ville avec sa masse et sa couleur, il se pose et se déplace sans retenue, en créant la surprise et en déclarant avec vigueur son existence.
I Park Art est souvent prétexte à des performances qui impliquent les citoyens et les passants.
HTTP://WWW.LESAEROSDUJEUDI.COM
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More Info & News sur www.parkart.tk
Rédigé le 25 mai 2010 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
POUR VOIR LE REPORTAGE = http://info.francetelevisions.fr/video-info/?id-video=AF367D3C655644F4A0108FFFB23EA24A_cafe_pic_140520101933_F3&id-categorie=JOURNAUX_LES_EDITIONS_REGIONALES_PARIS_ILE_DE_FRANCE
POUR VOIR LE REPORTAGE = http://info.francetelevisions.fr/video-info/?id-video=AF367D3C655644F4A0108FFFB23EA24A_cafe_pic_140520101933_F3&id-categorie=JOURNAUX_LES_EDITIONS_REGIONALES_PARIS_ILE_DE_FRANCE
Rédigé le 19 mai 2010 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
POUR VOIR L'EMISSION = http://www.france5.fr/revuetcorrige/index-fr.php?page=emission&datediff=20100515#theme1664_2
Malgré des températures peu propices en ce printemps 2010, les apéros
géants rassemblant des milliers de personnes en centre-ville venus
suite à des invitations lancées sur les réseaux sociaux Internet se
multiplient. Des rendez-vous de 9 000 à 10 000 personnes qui inquiètent
les municipalités et les autorités, d’autant qu’à cette occasion
l’alcool coule à flot.
Calqués sur la coutume espagnole du botellón,
ce type d’événements a fait une triste entrée dans l’actualité
française après que ceux de Montpellier et Nantes aient mené quelques
participants à l’hôpital ou en garde à vue, et surtout, après le décès
d’un jeune Vendéen des suites d’une chute en marge de la manifestation.
Ces rencontres ont pour but d’être festives et de montrer aux
autres villes que l’on peut mobiliser plus chez soi. Si en cela, elles
n’ont en rien un objectif perturbateur, il n’en est pas moins vrai
qu’elles intègrent parmi elles des adeptes du binge-drinking, mettant,
sûrement involontairement, ce phénomène venu d’outre-Manche à
l’honneur. Et c’est bien ce dernier qui est un danger pour les jeunes
qui y recherchent l’ivresse pouvant aller à la frontière du coma
éthylique.
De tout temps, la jeunesse est une période de
transgression qui construit plus que ne détruit. Face au mal-être
qu’elle ressent aujourd’hui sa réponse peut-être regardée avec
sympathie. Face à son exclusion d’une société qui prône le jeunisme
mais ne lui ouvre pas ses portes, c’est par le nombre qu’elle s’impose,
se rassemble et montre que l’on peut passer du virtuel au réel.
On
peut toutefois comprendre l’embarras des élus et représentants des
forces publiques face à ces happenings, dont les organisateurs restent
le plus souvent dans l’anonymat et ne prévoient aucune structure de
sécurité ni de soins pour les encadrer. Mais est-ce pour cela qu’il
faut les interdire et sous quels prétextes ? Ne risque-t-on pas, dans
l’affirmative, de voir fleurir des regroupements clandestins, sans
contrôle possible, comme c’est aujourd’hui le cas pour les raves, avec
un lieu fixé au dernier moment ?
Des questions qui seront
abordées par Brice Hortefeux, qui organise cette semaine une réunion de
travail, alors que d’autres apéros géants sont déjà programmés. A
savoir tout de même : en France, l’organisation de manifestations
illicites est passible de six mois de prison et 7 500 euros d’amende.
Rédigé le 19 mai 2010 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Les étudiants de Master 1 en Commerce International à l’Université Paris 11, organisent le 19 mars 2010 une conférence sur les réseaux sociaux pour =
- Faire connaître l’utilité des réseaux sociaux.
- Mettre en avant l’influence des réseaux sociaux dans les modifications de comportement des utilisateurs du net
- Identifier les forces et faiblesses des réseaux sociaux.
- Evaluer la puissance économique des réseaux sociaux.
- Connaître les opportunités en termes de carrière dans ce secteur
PROGRAMME : L’influence des réseaux sociaux auprès des utilisateurs d’internet.
10h : L’évolution des réseaux sociaux depuis leur création jusqu’à aujourd’hui et l’évolution des comportements des utilisateurs
Intervenant :jean-françois Gervais
10h 45 11h pause ( service d' une petite déjeuner : café , thé ….........)
11h : menaces et opportunités des réseaux sociaux
intervenant :jerome Bondu
11h 30 ou 35 :Les réseaux sociaux sont-ils révolutionnaires ?
Intervenant : Thierry Crouzet
12 h : table ronde animé par jerome Bondu : les avantages et inconvénients des réseaux sociaux pour le monde politique et le militantisme via les réseaux sociaux
Intervenants : valerio Motta / romain Pigenel / phillippe Mouricou / ( luc Mandret )
13h ou 13h15
pause déjeuner
14h : La stratégie des grands médias pour s' adapter au phénomène d ' accélération de l' information ou de la désinformation venant des réseaux sociaux tel que twitter
Intervenant :Alexandre Malsch
15h : Pertinence des réseaux sociaux pour booster une carrière ou une activité commerciale
Intervenant : Hervé Bloch
16h : marketing et communication pour une start up aujourd' hui
Intervenant
: cédric Giorgi
17 h :Tendances MARKETING 2010 : identité sociale, marque sociale, media sociaux.
Intervenant
: Jeremy Dumont directeur de pourquoi tu cours et créateur de PSST.
18h : conclusion de david Fayon 18h 30 ou 40 fin
Rédigé le 16 mars 2010 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias, @ jeremy dumont | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
2010 sera bel et bien l'année des réseaux sociaux avec une mention spéciale pour les plateformes verticales. Une opportunité pour les PME qui se retrouvent dans ces communautés permettant de nouer de nouvelles relations de proximité.
Facebook, MySpace,
Copains d'avant, Viadeo, Linkedin... Les grands réseaux ont ouvert la
voie, permettant aux internautes de développer leur fibre communautaire
et d'acquérir des réflexes numériques. Tissant des liens à vaste
échelle, les Français ont pris goût au web 2.0, élargissant ainsi leurs
cercles d'amis dans le monde entier, partageant avec eux des tranches
de vie en temps réel ou exposant leur profil pour découvrir d'autres
sphères professionnelles. Sur les 35 millions d'internautes que compte
la France, près de 80% sont inscrits sur un réseau social, selon l'Ifop. 17 millions sont présents sur au moins deux réseaux sociaux.
De futile, l'échange devient utile
Toutefois, les communautés commencent à se segmenter et on assiste à
une atomisation des groupes. Sur Facebook, par exemple, les pages
consacrées à l'immobilier ou au voyage ne cessent d'augmenter. Sur
Viadeo, les communautés se démultiplient pour former des groupes où
l'échange de savoir-faire et l'entraide prennent le pas sur le secteur
d'activité lui-même. Les hubs sur les « best practices » créés autour
du nouveau statut d'auto-entrepreneur en est un véritable exemple.
Grisés au départ par ces univers sans frontière qu'étaient les grandes
plateformes communautaires où le sport favori consistait à avoir plus
d'amis que ses amis, les internautes modifient progressivement leur
rapport et passent de l'échange futile à utile. Conscientes de ces
nouvelles attentes, des plateformes communautaires verticales se créent
chaque jour, visant à fédérer les internautes autour d'intérêts bien
précis et en leur apportant informations, messageries instantanées et
services de proximité. Après Psst.pro pour les professionnels du marketing et de la communication d'autres prennent de l'ampleur comme myrecyclestuff et Huzz.com. Des sites communautaires ultra ciblés qui investissent tous les secteurs d'activités tels Ebuga pour l'automobile, Coocoonhome dans l'immobilier...
Troquer, pour donner un nouveau cycle de vie à un produit
Depuis quelques temps, dégoter de bonnes affaires est devenu un sport
national. Ventes privées et sites d'occasion ont pris de l'ampleur sur
le Net. Partis du constat que les modes de consommation ont changé avec
la crise et que les Français sont de plus en plus sensibles à
l'environnement, Vincent de Montalivet et Martin Rückert ont eut l'idée
de créer un réseau social où le troc serait remis au goût du jour. Le
principe de Myrecyclestuff.com
repose sur l'échange entre les membres, baptisés des « recycleurs ».
Comme sur les autres plateformes communautaires, chaque membre
renseigne son profil, rejoint une communauté, puis il accède alors à
une vitrine de produits et discute en temps réel avec les autres «
recycleurs ».En fonction de ses besoins, il propose un bien contre un
autre, de façon équitable. Après discussions et enchères, un accord est
trouvé, donnant ainsi un nouveau cycle de vie aux objets, sans moyenner
finance. Lancée fin septembre 2009, ce site accueille actuellement,
selon ses créateurs, près de 10 000 visiteurs uniques et dispose déjà
d'une communautés de 600 membres actifs.
Dialoguer librement avec les recruteurs
Créé fin 2009, le site Huzz.com,
revendique une approche différente du recrutement sur Internet. Destiné
aux professionnels, ce réseaux d'annonces d'emplois entend faciliter
les échanges entre recruteurs et candidats en leur permettant d'entrer
en contact librement et instantanément. Partis du constat que les sites
communautaires traditionnels ne vont pas assez loin dans la qualité du
dialogue, les fondateurs de ce réseau, Jérôme Perret et Benjamin
Bühler, ont pour ambition d'apporter plus d'humanité en mettant un nom
et un visage sur le recruteur et non une adresse générique derrière
lequel se cache, dans la plupart des cas, un service de ressources
humaines sans interaction possible. Tous les professionnels sont mis
sur un pied d'égalité et disposent des mêmes outils avec des services
personnalisés.
La proximité, un enjeu pour les PME
Plus ciblés, plus accessibles, plus présents localement, les réseaux
sociaux verticaux pourraient bien devenir les meilleurs alliés des PME
pour développer leurs activités, nouer de nouvelles opportunités
d'affaires avec des partenaires locaux. La proximité redevient un
enjeu. Interrogé sur le sujet par L'atelier, Nicolas Bermond, directeur de PME Multimédia, le confirme :
« les PME vont préférer se tourner vers ce type de recherche locale
plutôt que vers les autoroutes de l’information. Les PME américaines
sont plus en avance que celles en France mais elle sont convaincues
qu’il y a des opportunités. Par ailleurs le coût d’entrée est moins
important que pour les médias traditionnels ».
Sibylle Lhopiteau
SOURCE = l'usine nouvelle
Rédigé le 06 mars 2010 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » a-t-on pu écrire. C’est sur cet oubli que se fonde le développement des sciences dites « de gestion» comme du « management » qui ont fait le succès des fameuses business schools. Elles reposent en effet sur le paradigme suivant : le « comment » seul importe, le « pourquoi » étant perte de temps et fauteur de troubles… ce qui conduit certains managers à dire explicitement à leurs collaborateurs : « ne venez pas avec des problèmes mais avec des solutions ».
Ces sciences ont formé pour ne pas dire « formaté », depuis qu’elles ont gagné les écoles d’ingénieurs elles aussi, des hordes de cadres dirigeants obsédés par le savoir-faire d’abord puis le « savoir-être » ensuite, renvoyant les sciences dites « humaines » au rang des accessoires utiles à seule fin de « performer » dans les dîners.
Las, le monde ne semble pas tourner plus rond. La crise dite, quant à elle, « financière » continue de produire ses effets, amenant certains cadres dirigeants à oser se demander parfois : pourquoi ?
Pour un peu ils donneraient raison à Hegel rappelant qu’en matière de philosophie, les questions importent au moins autant que les réponses. Cela n’interdit pas de trouver des réponses bien sûr et c’est le pari fait, il y a sept ans maintenant, par l’Institut de l’Ecole Normale Supérieure, avec le séminaire : DIRIGER AUJOURD’HUI. Le principe est simple : une fois par mois, un petit groupe de cadres dirigeants rencontre un chercheur en sciences humaines, de la philosophie à la sociologie, en passant par la psychanalyse ou l’histoire. L’idée n’est évidemment pas de leur apprendre comment faire leur métier de dirigeant : ils ne nous ont pas attendus pour cela. Conformément à la vocation des sciences humaines, il s’agit de leur offrir un temps et un lieu pour s’autoriser à questionner le fait de diriger aujourd’hui, pour interroger leurs routines, leurs évidences, leurs échecs comme leurs succès et pour expérimenter, à travers les échanges, d’autres manières de penser et de faire par conséquent.
Il est vrai que les « délocalisations » ne concernent pas seulement les entreprises mais aussi les salariés, entre les ravages du travail jusque dans la chambre à coucher et les réunions dans les aéroports. Elles vont avec une « détemporalisation » tout aussi manifeste, corollaire de l’extension du « temps réel » comme des résultats trimestriels pour ne citer que ces deux phénomènes. Ils vident le temps de toute profondeur et de toute épaisseur.
Les cadres dirigeants n’échappent pas eux-mêmes au « travail en miettes » décrit par le sociologue Richard Sennett, ni à une forme de « dérive de job en job ». D’où la question, lancinante pour certains, occasionnelle pour d’autres : « pourquoi tu cours ? ».
Or, en matière de « pourquoi », les sciences de gestion ou le management n’ont rien à dire, elles produisent des experts, fort utiles au demeurant en certaines circonstances.
Les sciences humaines, quant à elles, veulent bien prendre le risque du « pourquoi », redonnant par là même quelque épaisseur au savoir tout court, occulté par le savoir-faire ou le « savoir-être ».
Qui dit «épaisseur » dit aussi « saveur », pour reprendre l’expression de Roland Barthes. Les intervenants choisis le sont donc à la fois pour la qualité de leur travail mais aussi pour leur capacité à accueillir des questions, des remarques ou des objections sans se draper dans la posture du maître qui délivrerait une vérité ni viser à « délivrer » des réponses toutes faites. De Jean-Claude Kaufmann à Catherine Achin ou Jean-Pierre Marcos, de Marie Gaille à Francis Wolff ou Myriam Revault d’Allonnes, sans pouvoir les citer tous, hommage leur soit rendu d’avoir si bien fait rimer savoir et saveur.
Mais alors, qui sont les participants ?
Ils ont en commun d’être des cadres dirigeants, oeuvrant dans des entreprises très différentes, du dirigeant d’une petite SSII au président d’un groupe publicitaire, du directeur des cadres dirigeants d’une grande entreprise publique à l’associée d’un cabinet de conseil américain. Chaque année, toutefois, lors de la dernière journée consacrée à la discussion des réflexions de chaque participant, je suis frappée par la qualité de leurs exposés. « Qualité » est à entendre ici à la manière dont Antonin Arthaud a décrit l’intelligence : « l’intelligence, c’est de se contourner ».
En effet, les différentes interventions sont visiblement utilisées pour enrichir et développer une réflexion personnelle, à partir de préoccupations très concrètes, issues de leur vie professionnelle. Certains exposés sont d’ailleurs transformés en articles, publiés dans le volume annuel du séminaire, alors même que leurs auteurs n’ont jamais écrit auparavant. Là encore, impossible de les citer tous. Bravo à Anie Cottet, Catherine Dedieu (Accenture), Arnaud Erbin (GDF-Suez), Laurence Lamy (EDF), Philippe Lentschener (Publicis), Marc Litzler (Calyon) et Christiane Moutel (La Poste) ! Les lire fut un vrai bonheur.
Le septième séminaire commence le 15 mars et le programme complet est disponible sur le site : [email protected]. Quelques places sont encore disponibles…
Catherine Blondel
Coach, psychanalyste, directrice scientifique du séminaire « Diriger aujourd’hui » de l’Institut de l’Ecole Normale Supérieure, dirigeante du CLUB VIS.A.VIS. Site : www.visavis-dirigeants.com
Derniers ouvrages parus : Quand le travail fait symptôme (2009), Vers un autre monde économique (collectif, 2009)
Rédigé le 18 février 2010 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Tendances du marketing 2.0 (2010 marketing trends)
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PLAN DU RAPPORT DE TENDANCES 2010 :
1 - Les 10 tendances du marketing 2.0 en 2010.
2 - L’identité interactive : les gens sont en interaction via des médias interactifs et communautaires
3 - Les postures relationnelles des marques pour favoriser l’interaction.
4 - F aire vivre une expérience client 2.0 : interaction, service, immédiateté.
5 - Gérer le parcours client pour qu'il soit fluide on line et off line.
Les 10 tendances du marketing 2.0 en 2010.
1- Le ME marketing : se centrer sur l’individu en tant que personne, pas un consommateur ou une cible média
2- Le marketing CONTEXTUEL : après le ciblage comportemental « prédictif », comprendre les contextes de vie pour « anticiper »
3- Le FLOW marketing : ne plus interrompre les flux d’activité des gens pour attirer leur attention, se placer dans leur trajectoire pour accompagner la réalisation de leurs projets
4- Le marketing des VALEURS PARTAGEES : après le ciblage « mosaique » par centres d’int è rets, obtenir l’adhésion via des valeurs partagées « par tous »
5- Le NETWORK marketing : ne plus cloisonner, prendre en compte le réseau relationnel des gens
6- Le marketing ADAPTE : dépasser le rapport qualité/prix et prendre en compte l’usage réel qui est fait par chacun du produit/service pour que le produit/service soit adapté.7- Le marketing en SELF SERVICE : ce n’est plus possible de délivrer le bon produit a la bonne personne au bon moment, il faut donner a chacun les moyens de faire ses choix lui même
8- Le marketing APPROPRIE : le marketing par les gens, pour les gens…l’émergence de l’autogestion collective
9- Le SOCIO marketing : savoir réunir la réalité économique et la réalité sociale pour aller plus loin que la responsabilité sociale d’entreprise en identifiant des écosystèmes dynamiques
10- Le marketing COOPERATIF : la gestion des liens intra et inter communautaires, permettre et favoriser les inter actions libre.
Rappel tendances 2009 |
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Enjoy.
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La
palette du e marketing ne cesse de s’agrandir de mois en mois. Une
certitude aujourd'hui, aucune stratégie marketing ne peut s’affranchir
du média internet ni se limiter a celui ci. Et pourtant les budgets ne
sont pas extensibles, il va falloir être créatif et efficace en 2010.
Alors que font les autres ? Quelles stratégies ont-ils adopté et
avec quels résultats ? Quels sont les supports de communication les
plus efficaces ? Quels mix marketing fonctionnent et avec quel ROI ?
Un petit tour du coté des tendances du e marketing 2010 s'impose.
Une session pour enrichir votre mix e marketing.
Consulter sa fiche POURQUOITUCOURS |
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Rédigé le 01 février 2010 dans 2 notre methodologie, 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (1) | TrackBack (0)
Mercredi 9 décembre de 15H30 / 16h30
Organiser le buzz, ou comment réseaux sociaux, communautés et autres amplificateurs du net sont les relais infaillibles du dispositif marketing événementiel.
Les médias sociaux permettent de mieux cerner les communautés cibles des événements. Ils permettent aussi de transcender les événements en les libérant des règles de l’unité de lieu et de temps. Avant de se lancer dans une campagne de buzz, il convient de comprendre comment fonctionne l'écosystème des médias sociaux. Comment identifier les ambassadeurs de son événement ? Quelles relations avec les bloggeurs ? Quelle présence sur les forums et réseaux sociaux ? Comment travailler avec les communautés ? Comment en évaluer les retombées ? Des experts partageront avec vous leurs expériences (en BtoB et BtoC) d'une communication puissante qui ne s'improvise pas.
Conférence animée par : Jeremy Dumont, directeur du planning stratégique de Pourquoi tu cours.
Intervenants : Olivier Fecherolle, Directeur Général de Viadeo - Aurélie Fircowicz, Directrice de Clientèle Magic Garden, membre de l'ANAE – Emmanuel Vivier, CEO de BuzzParadise - Ludovic Bonnet, Directeur Marketing et Communication de IdTGV et
Accès gratuit et inscription sur le site : http://www.heavent-expo.com/
Depuis 8 ans, vous nous suivez dans ce grand rendez-vous annuel qu'est devenu Heavent. Toutefois, cela fait plusieurs années que vous manifestez l'envie que ces journées d'échanges et de découvertes se fassent dans un cadre mieux adapté aux attentes des visiteurs et à vos exigences.
Nous vous avons entendus et sommes heureux de vous annoncer, en avant-première, que l'édition 2009 se tiendra du 8 au 10 décembre dans le Hall 5 de la Porte de Versailles.
Doté d'une surface d'exposition identique, ainsi que d'espaces extérieurs, le hall 5 va nous permettre de proposer une scénographie exceptionnelle avec une mise en lumière surprenante donnant une nouvelle configuration au salon.
Surprendre est le credo du salon Heavent depuis sa création en 2001. L'édition 2009 promet d'éblouir les plus récalcitrants...
Plus qu'un salon, Heavent est un carrefour d'échanges incontournables, c'est un pôle d'attraction unique pour tous les acteurs qui conçoivent, créent et réalisent les événéments, expositions et congrès.
Rédigé le 02 décembre 2009 dans 4 nos actualites, 8 pourquoi tu cours dans les médias, @ jeremy dumont | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Jérémy DUMONT, Directeur du planning stratégique - POURQUOI TU COURS ?
La
définition initiale du design est celle d’un concept alliant une
intention à sa réalisation matérielle. Cette conception première a
progressivement laissé place à une discipline qui a délaissé le fond
pour ne s’intéresser qu’à la forme, s’inscrivant dans une logique
marketing et industrielle, oubliant la théorie du design comme
intention première, comme alliance de l’idée et de sa représentation.
En cela, les enjeux actuels liés aux problématiques environnementales
et sociétales ont permis la renaissance d’un design approprié, au
service du développement humain. Le designer apparaît donc comme un des
acteurs majeurs de la mutation en cours, comme un artisan au service du
progrès, porteur de solutions globales. D’où une nécessaire extension
du domaine du design, ce dernier se préoccupant désormais non plus
seulement de conceptions matérielles mais surtout de la fourniture de
services centrés sur l’expérience utilisateur, intégrés en une logique
systémique dans des « scénarios de vie » à la mesure de l’homme...
Présentation complète de la conférence
Antoine DES HORTS, Industrial Designer, ELECTROLUX Home Products Italy S.P.A.
Jean-Baptiste PUYOU, EVEA.
Gilles ROUGON, Design Manager, EDF R&D.
Le terme écodesign n'a jamais autant fait l'actualité, parmi les designers et désormais au sein des entreprises. De fait les enjeux climatiques, démographiques, la crise financière, etc sont autant de signaux qui stimulent l'envie de changements dans nos sociétés de consommation. Cela ne manque pas d'interpeller les acteurs économiques. L'écodesign serait-il donc un nouvel artifice de communication, un simple effet de mode ou la promesse d'un nouvel eldorado économique ?
Peut-être serait-il bon de tendre vers plus d'équilibre, d'humilité, de médiation et de simplicité. Derrière les notions de design d'expérience, design numérique, design de services, écodesign, mais également d'innovation, de conception centré utilisateur, ... l'idée de base reste d'intégrer la compétence design le plus en amont pour aider l'entreprise à imaginer et délivrer de nouvelles activités soutenables, en combinant les aspects humains, technologiques, environnementaux et économiques. Autrement dit, pourquoi ne pas considérer le design comme un outil stratégique de changement pour le triptyque homme/entreprise/société (par la création d'offres, process, partenariats et organisation) et non pas seulement comme un solveur de problèmes existants ?
Maxime BEUCHER, CORK DESIGN.
Positionnement géographique des chênes lièges. Histoire du Liège. Les possibilités du liège: Le revêtement, Le tissu ( brevet international). L'avenir du Liège et le développement durable
Erick PÈLERIN, Responsable du programme Ecorizon, STX
Dans le cadre de son programme de développements techniques et de services en matière d’énergie et d’environnement baptisé ECORIZON®, STX France a développé, grâce à un effort de design accru, le concept EOSEAS, navire intégrant les avancées techniques obtenues et en cours de développement dans les 5 domaines suivants : Energie, Réduction des émissions atmosphériques, Gestion de l’eau, Gestion des déchets et Eco-conception. Son ambition est notamment de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 50%. EOSEAS, pentamaran de 305 mètres de long et 60 mètres de large, est un véritable concentré des propositions environnementales développées à Saint-Nazaire et également un laboratoire d’idées qui vise à résoudre les verrous technologiques.
Brigitte KAHANE , PIMLIKO
En intégrant les aspects environnementaux au coeur du développement produits/ services, l'Eco-Design est un puissant moteur d'innovation et de créativité aux différentes étapes du Cycle de Vie. Mutli-critères, , multi-étapes, multi-acteurs, l'Eco-Design ouvre de veritables opportunités et change notre regard. De nouveaux champs d'expression, de nouveaux usages, de nouvelles voies de recherches et de nouveaux réflexes sont à développer pour innover responsable.
Marine JACQUES-LEFLAIVE, Architecte DESA, ZED FACTORY
www.zedfactory.com www.ruralzed.com
Céline CHATELAIN et Guillaume BRINCIN, ingénieurs Réalité Virtuelle, CLARTÉ
La Réalité Virtuelle est une technologie qui est aujourd'hui présente dans différentes phases du process industriel. Conception - design, aménagement, formation, maintenance, marketing sont autant de "métiers" qui font appel à des environnements et dispositifs de réalité virtuelle. Par ailleurs, de nouveaux modes de travail se développent au sein de l'entreprise du fait de la crise économique et donc de la nécéssité de réduire les coûts. La diminution de la facture environnementale est également un objectif de plus en plus présent. Dans ce contexte, la convergence "Réalité Virtuelle - Réseaux de communication" qui permet à des équipes géographiquement distantes de travailler ensemble, en même temps, sur un prototype virtuel prend tout son sens. Les progiciels ICE3 et ERGOWIDE3 développés par CLARTE répondent à ce challenge. Ils seront présentés au niveau de leur concept, leur mise en oeuvre avec les premiers résultats sous forme de vidéos.
Béatrice GISCLARD, Directrice du design, LES INVENTEURS
“quels sont les paramètres à prendre en compte lorsque l’on veut éco concevoir un produit/un service ? Comment passer d’une économie linéaire à une approche systémique. Le marketing face au principe de réalité. Les perspectives de développement ?
leblog.lesinventeurs.fr
SUR : Le Vide Poches PAR : jérémy dumont ACCÈS DIRECT A LA PLATEFORME : PSST.FR
UNE INITIATIVE DE POURQUOI TU COURS? AGENCE DE PLANNING STRATEGIQUE 2.0 DIRIGÉE PAR jérémy dumont
Rédigé le 29 octobre 2009 dans 8 pourquoi tu cours dans les médias | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)