estelle rancurel pour wad
L’objectif de cette trilogie était de voir comment faire en sorte qu’il se passe enfin quelque chose entre les individus et les marques :
- En introduisant la notion d’intensité de contact qui ne mesure plus la quantité de contacts établis mais leur qualité en fonction de l’individu, du support, du message, et du contexte
- En clarifiant que l’objectif c’est d’établir des points de contacts avec lui et non pas de communiquer un message à chaque point de contact avec lui (matraquage à 360°). Ce qui est à mettre au centre ce n’est pas la marque ou le m esssage mais « l’idée d’échange » que l’on propose.
- De pousser plus loin cette notion de contenu. Le contenu c’est ce qui va permettre et de favoriser la rencontre entre la marque et les individus et entre les individus eux-même. Ce que l’on sait, ce qui nous interesse, ce qui nous amuse…permet la rencontre. Un site web, une brochure, un film sont des supports, des moyens.
Les marques peuvent faire venir à elles les individus en :
- leur transmettant leur savoir (pour permettre à chacun de vivre plus pleinement sa vie),
- jouant sur leur centres d’intérêt (pour leur permettre de se construire et de partager avec leurs semblables)
- en les divertissant…
Et c’est cette dernière possibilité qu’il nous reste à observer, et à comprendre cette semaine.
Les marques ont toujours utilisé le divertissement pour nous convaincre, nous informer, nous faire changer de comportement, construire une image plus proche de nous…
- Très vite après les réclames nous avons eu des films courts humoristiques (et même maintenant à l’époque du marketing viral, les petits films marrants sont préférés). La palette a été complétée avec des films spectaculaires ou émouvants..
- La publi cité a vite utilisé les acteurs de films, les humoristes, les présentateurs des émissions …et emprunté les codes du divertissement (ceux des films, des séries TV…).
- Les sponsors ont toujours été là entre les programmes à la TV (et même dans les programmes au début de la radio).
Le divertissement est devenu un objet de convoitise pour les médias, les marques et les individus.
- Il fait recette : il fait beaucoup mieux que le sport (un centre d’intérêt) en terme d’audience et il fédère.tout autant (sinon plus puisque personne n’est décu de la fin)
- il stimule le consommateur qui est en nous : il permet de faire passer des messages plus facilement et son positivisme est contagieux, donc finalement ….
- Nous essayons de posséder ce que nous aimons : films, musiques sont achetés et gardésà portée de main…
L’enjeu pour les marques c’est de divertir en faisant autant d’audience qu’une émission à la TV, de ventes qu’un CD, de clics que la bande annonce d’un film, d’appels qu’une star en péril à la TV.
- Il y avait déjà un mélange des genres : le product placement, l’association avec des musiques connues ou des images fortes, les petits programmes courts sponsorisés …
- Maintenant elles deviennent productrices de divertissement : elles créent de vrais programmes à la TV aux US, elles créent des chaînes de radio sur le net et des chaînes de TV sur les télèphones portables en France
- Bientôt elles les diffuseront peut-être aussi à la place des médias alors que les côuts d’un espace publicitaires sont élevés, que les carrefours d’audience se font rares, que les médias se multiplient et que la VOD arrive…
Et les grandes gagnantes …ce sont les boîtes de production :
- la multiplication des diffuseurs leur a donné le pouvoir
- elles sont seules à pouvoir réunir un tour de table des différents diffuseurs qui interviend ront dans la longue vie d’un programme, d’une émission
- elles ont acquis un savoir faire que personne ne possède : générer de l’audience (c’est à dire faire que les gens allument un écran ou écoutent attentivement)
L’objectif de cette trilogie était de voir comment faire en sorte qu’il se passe enfin quelque chose entre les individus et les marques :
- En introduisant la notion d’intensité de contact qui ne mesure plus la quantité de contacts établis mais leur qualité en fonction de l’individu, du support, du message, et du contexte
- En clarifiant que l’objectif c’est d’établir des points de contacts avec lui et non pas de communiquer un message à chaque point de contact avec lui (matraquage à 360°). Ce qui est à mettre au centre ce n’est pas la marque ou le m esssage mais « l’idée d’échange » que l’on propose.
- De pousser plus loin cette notion de contenu. Le contenu c’est ce qui va permettre et de favoriser la rencontre entre la marque et les individus et entre les individus eux-même. Ce que l’on sait, ce qui nous interesse, ce qui nous amuse…permet la rencontre. Un site web, une brochure, un film sont des supports, des moyens.
Les marques peuvent faire venir à elles les individus en :
- leur transmettant leur savoir (pour permettre à chacun de vivre plus pleinement sa vie),
- jouant sur leur centres d’intérêt (pour leur permettre de se construire et de partager avec leurs semblables)
- en les divertissant…
Et c’est cette dernière possibilité qu’il nous reste à observer, et à comprendre cette semaine.
Les marques ont toujours utilisé le divertissement pour nous convaincre, nous informer, nous faire changer de comportement, construire une image plus proche de nous…
- Très vite après les réclames nous avons eu des films courts humoristiques (et même maintenant à l’époque du marketing viral, les petits films marrants sont préférés). La palette a été complétée avec des films spectaculaires ou émouvants..
- La publi cité a vite utilisé les acteurs de films, les humoristes, les présentateurs des émissions …et emprunté les codes du divertissement (ceux des films, des séries TV…).
- Les sponsors ont toujours été là entre les programmes à la TV (et même dans les programmes au début de la radio).
Le divertissement est devenu un objet de convoitise pour les médias, les marques et les individus.
- Il fait recette : il fait beaucoup mieux que le sport (un centre d’intérêt) en terme d’audience et il fédère.tout autant (sinon plus puisque personne n’est décu de la fin)
- il stimule le consommateur qui est en nous : il permet de faire passer des messages plus facilement et son positivisme est contagieux, donc finalement ….
- Nous essayons de posséder ce que nous aimons : films, musiques sont achetés et gardésà portée de main…
L’enjeu pour les marques c’est de divertir en faisant autant d’audience qu’une émission à la TV, de ventes qu’un CD, de clics que la bande annonce d’un film, d’appels qu’une star en péril à la TV.
- Il y avait déjà un mélange des genres : le product placement, l’association avec des musiques connues ou des images fortes, les petits programmes courts sponsorisés …
- Maintenant elles deviennent productrices de divertissement : elles créent de vrais programmes à la TV aux US, elles créent des chaînes de radio sur le net et des chaînes de TV sur les télèphones portables en France
- Bientôt elles les diffuseront peut-être aussi à la place des médias alors que les côuts d’un espace publicitaires sont élevés, que les carrefours d’audience se font rares, que les médias se multiplient et que la VOD arrive…
Et les grandes gagnantes …ce sont les boîtes de production :
- la multiplication des diffuseurs leur a donné le pouvoir
- elles sont seules à pouvoir réunir un tour de table des différents diffuseurs qui interviend ront dans la longue vie d’un programme, d’une émission
- elles ont acquis un savoir faire que personne ne possède : générer de l’audience (c’est à dire faire que les gens allument un écran ou écoutent attentivement)