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Rédigé le 31 octobre 2013 dans 07 Pepiniere de Planneurs Stratégiques | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Le 20 novembre, le père Noël Coca-Cola fera son entrée au musée Grévin. C'est la première fois qu'une marque apparaîtra ainsi sous la forme d'un personnage de cire. Assis dans un fauteuil, il tiendra une bouteille à la main, comme dans les publicités dont il est la vedette à cette période de l'année. Et, à chaque Noël, il reprendra sa place.
Si la marque née à Atlanta continue à capitaliser sur les icônes ayant fait son succès, elle n'en est pas moins agile à occuper le terrain sur Internet et les réseaux sociaux. Et elle renforce sa stratégie de contenu.
A chaque marque son champ d'action. Coca-Cola Light reste lié à la mode. Coca-Cola Zero a opté, lui, pour le jeu vidéo. Il est ainsi le partenaire phare de la Paris Games Week, le Salon qui démarre demain à la porte de Versailles à Paris. Il y dispose même d'un studio d'enregistrement. Car la griffe a musclé sa présence sur la Toile, autour de la « Coca-Cola Zero Gaming Zone », un portail d'informations sur le domaine.
Au départ, la marque s'associait aux lancements de l'univers du jeu vidéo comme elle le fait pour la sortie d'un « James Bond ». Mais elle est passée à la vitesse supérieure. « Il était important d'évoluer d'une mécanique promotionnelle vers une stratégie de contenu. La clef est de rester cohérent dans le temps », remarque Manuel Berquet, directeur marketing de Coca-Cola France.
Sa « Gaming Zone », qui s'est associée cette année à melty.fr, s'oriente désormais de plus en plus sur les vidéos. Preuve du succès : la marque commence à être sollicitée pour autoriser la reprise de ses contenus.
Si Coca-Cola Zero s'adresse aux joueurs assidus, elle fait aussi du sujet un tremplin pour un public plus large. En partenariat avec PlayStation et Sony, elle a lancé des bouteilles et canettes dotées d'un QR code permettant de télécharger des jeux faisant intervenir des personnages présents d'ordinaire sur la console. Et a dépassé le million de téléchargements. « Les fans se sont très vite emparés du sujet sur les réseaux sociaux et ont généré du buzz. Et nous avons eu la confirmation que le jeu sur mobile intéresse une large partie de la population », se félicite Manuel Berquet. Un spot a ensuite pris le relais. « Les jeux ont d'autant plus de succès que les gens ont plus que jamais besoin d'échappatoires », estime-t-il. Née en France, la plate-forme autour du jeu est devenue internationale.
A l'inverse, l'opération « Share a coke » a démarré en Australie. Rebaptisée ici « Partagez un Coca-Cola » et appliquée aux trois variantes phares de la marque, elle repose sur des produits porteurs d'un prénom. Le sien ou celui d'un ami. Démarrée au printemps, elle a rebondi cet automne avec l'arrivée d'une centaine de prénoms supplémentaires. Et a créé un véritable engouement, à la fois dans les rayons, mais aussi lors des opérations de street-marketing ou sur la Toile. « La campagne, qui portait sur tous les canaux, a permis de générer plus de 3 milliards de contacts », expliquait Véronique Bourez, la présidente de Coca-Cola France, lors des Assises du marketing organisées par « Les Echos ». Exemple parmi d'autres, les personnalités comme David Guetta ou Teddy Riner ayant reçu un exemplaire ont vu leurs tweets sur le sujet largement relayés.
« Coca-Cola réalise davantage de marketing de proximité », remarque Manuel Berquet. Cet accompagnement se traduira aussi à Noël. La tournée opérée dans plusieurs villes illustrera dans des vitrines les préparatifs des fêtes en famille.
Mais en matière de contenu comme de réseaux sociaux, les pratiques évoluent vite. Sur le numérique, Coca-Cola travaille avec des start-up. Et l'entreprise reste en veille, regardant de près les mouvements comme l'arrivée en Europe du réseau social japonais Line. Tout en surveillant les canaux classiques. Comme Facebook, où la marque revendique, en France, près de 3,3 millions de fans.
Rédigé le 29 octobre 2013 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Rédigé le 29 octobre 2013 dans 04 Stratégie, développement durable et appropriation collective | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Cette étude, réalisée dans 50 pays, montre que cette croissance sera diversement répartie, puisque les pays émergents vont quasiment doubler leur contribution aux revenus mondiaux du secteur entre 2008 et 2017, alors que les pays matures connaissent une croissance plus faible.
L’étude révèle également qu’après la première vague de l’internet fixe, le secteur des médias doit se préparer au raz-de-marée du mobile. Qu’on parle de télévision, de musique, de cinéma, de jeux vidéo ou d’édition, tous les segments de l’industrie des médias doivent s’adapter.
En France, la croissance du marché sera principalement portée par la croissance du digital (+15% par an en moyenne) alors que le monde physique devrait décroître de 0,2% par an en moyenne, perdant 400M€ sur la période.
Juin 2013 – 200 pages – en anglais
Septembre 2013 – 67 pages – En français
Rédigé le 29 octobre 2013 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Rédigé le 28 octobre 2013 dans 04 Stratégie, développement durable et appropriation collective | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
J'ai rédigé ce document qui collecte des faits et des exemples
internationaux dans la perspective du prochain PARIS 2.0.
La conversation a déjà lieu sur twitter via le hashtag #entertain_me
A l'instar de COCA COLA ZERO qui fait jouer ses consommateurs sur son site corporate, certaines marques proposent à leurs consommateurs de les divertir. Ces marques qui marchent dans les pas de Disney, la marque préfèrée des américains, ne cherchent pas à devenir des acteurs du marché du divertissement, elles utilisent le branded entertainment pour capter leur attention et gagner leur affection.
En effet comme le montre GOOGLE qui annonce que 77% des americains consultent un autre écran pendant qu'ils regardent la TV, si les consommateurs sont de plus en plusconnectés, ils sont de moins en moins disponibles pour les marques. Produire des contenus divertissants apparait comme la solution la plus appropriée aux usages des americains qui passent 9 minutes par heure à se divertir en ligne (Experian). D'autant plus que les marques ne cherchent plus seulement à augmenter leur couverture avec un coup de buzz, elles cherchent à obtenir des retombées sur leur marque et au premier rang desquelles l'incitation à recommander comme le révèlle une étude de OGLIVY SOCIAL selon laquelle l'enjeu n1 des marques serait de mobiliser leurs fans en ligne.
Si le branded entertainment est relativement bien accepté par le consommateurs, les annonceurs ont encore beaucoup de chemin à parcourir avec leurs agences pour arriver au niveau d'attractivité des contenus diffusés par BUDWEISER sur sa plateforme "made for music". Ces annonceurs sollicitent aussi leurs agences medias pour promouvoir leurs contenus transmedia. Ainsi quand MITSUBISHI sponsorise une émission diffusée à la TV, Absolut monte un partenariat éditorial avec VICE et NT1 diffuse son hashtag #walkingdeadNT1 via des ecards sur Twitter.
Divertir permet à ces marques de prendre vie dans le quotidien de leurs consommateurs en étant vraiment fédératrices, utiles et directement activables comme AMERICAN EXPRESS qui permets aux gens de partager leurs passions, L'Oreal qui aide à reproduire les looks vus à la TV ou IKEA qui donne accès à des contenus additionnels au fil de son catalogue via une application mobile. Elles peuvent aller jusqu'à engager leurs consommateurs en temps réel, dans des moments forts en émotion, comme DELL avec #DELLLIVE qui permets aux festivaliers de vivre des expériences augmentées ou tout simplement comme COCA COLA qui ajoute le WIFI à ses fontaines à soda.
Pour y parvenir les marques ont besoin de collecter de nouvelles données:
- des données sur l'amplification de la couverture media via des
influenceurs au moment ou Nielsen prend enfin en compte la couverture additionnelle
qu'apporte Twitter aux programmes TV.
- des données sur la performance de leur communication en analysant le
contenu des conversations émises en retour pour aller plus loin que
le sentiment positif ou négatif et qualifier précisément les
intentions des consommateurs comme l'a fait Sharp avec le Fan Lab.
- et enfin des données marketing permettant de mieux comprendre les
consommateurs pour mieux les satisfaire en collectant les informations
qu'ils laissent derriere eux et qui peuvent permettre, par exemple, de
savoir quel cadeau de saint valentin ils aimeraient recevoir de pay
pal.
Rédigé le 24 octobre 2013 dans 01 Rapports d'innovation @ jeremy dumont | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
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Le
palmarès du Grand Prix Stratégies du brand content 2013 a été dévoilé
mercredi 23 octobre à Paris, devant un public de professionnels du
marketing, de la communication et des médias. Au-delà de son aspect
festif et communautaire, ce Grand Prix, comme tous les Grands Prix
Stratégies, constitue un instantané du meilleur de la création au
service des marques, un « best case » précieux pour les annonceurs comme
pour les agences.
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Publicis Conseil pour Nescafé |
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DDB Paris pour musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux |
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McCann Paris pour INPES |
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CONTENUS DIGITAUX |
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• Sites éditoriaux |
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Sid Lee Paris pour BNP Paribas |
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mention |
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MNSTR pour Boucheron |
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• Vidéos en ligne - Vidéos interactives |
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prix |
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Ogilvy Paris pour Perrier |
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• Vidéos en ligne - Web-séries |
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prix ex-aequo |
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DDB Paris pour Bouygues Telecom |
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prix ex-aequo |
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McCann Paris pour INPES |
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• Vidéos en ligne - Web-documentaires et court-métrages |
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prix et grand prix |
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Publicis Conseil pour Nescafé |
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mention |
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Publicorp pour Deloitte |
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• Vidéos en ligne - Web-films |
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prix |
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Ogilvy Paris pour Louis Vuitton |
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mention |
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Golden Moustache, Nosite et Studio Bagel pour Orangina |
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• Médias sociaux |
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prix ex-aequo |
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DDB Paris pour musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux |
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prix ex-aequo |
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Rapp pour Croix-Rouge française |
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Marcel pour Oasis |
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• Applications mobiles et tablettes |
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Agence V pour Golf |
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• Advertainment |
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Ogilvy Paris et Zenith-Optimedia pour Perrier |
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Ogilvy Paris pour Scrabble |
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CONTENUS HORS LIGNE |
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BETC Content pour Louis Vuitton |
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• Presse |
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DDB Publishing pour Pullman |
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• Autres contenus hors ligne |
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BETC Digital pour Ibis |
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CONTENUS INTÉGRÉS |
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Réalisation interne pour Quechua |
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BRANDED CONTENTS |
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Havas Cross Media et M6 Créations pour Auchan France |
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EVÉNEMENTS |
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Novembre Communication pour Puma |
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Ogilvy Paris pour Google et Tous unis pour l'égalité |
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LIEUX, FLAGSHIPS |
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Leg et Auditoire pour Nike |
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CAMPAGNES INTÉGRÉES |
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Publicis Conseil pour Nescafé |
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Marcel pour Oasis |
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Les partenaires du Grand Prix Stratégies du Brand Content 2013
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Cette édition spéciale est un supplément à Stratégies, division de Intescia. |
Rédigé le 24 octobre 2013 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Vers une nouvelle stratégie des acteurs du marketing : l’Inbound Marketing
Un contenu, aussi valorisé soit-il par son graphisme, son esthétisme ou son budget ne suffit plus à satisfaire les lois du référencement naturel. Il convient d’y associer désormais pertinence et qualité intrinsèque. Et ça, les plateformes crowdsourcées l'ont compris, en proposant aux acteurs du marketing de créer leur contenu de marque suivant un nouvel enjeu : l’Inbound Marketing.
Cette stratégie répond aux mutations des attentes des prospects et clients : un contenu plus informatif, plus éducatif et plus ludique que promotionnel et surtout mieux ciblé. Les plateformes de contenus crowdsourcées ont su également digérer des données, comme celles de l'étude de Sofware Advice sur la génération de leads en BtoB, en 2012.
Cette analyse montre notamment "le taux record de près de 92 % de demandes prospect suite à la lecture de vidéos". L'image est bel et bien le support de la modernité et jouer sans cet atout est un pari risqué. En proposant une déclinaison plurimedia (images, sons, vidéos, textes…), les plateformes crowdsourcées présentent des solutions efficaces pour satisfaire cette nouvelle pratique de l’Inbound Martketing qui redonne un nouvel espoir aux professionnels du contenu. Enfin, grâce à l'écoute active et aux conseils stratégiques offerts par ces structures, les clients des plateformes atteignent leurs objectifs : attirer, convertir et fidéliser leurs propres clientèles grâce à leur contenu de marque…
Dans quels contextes s'insèrent ces nouveaux enjeux des acteurs du marketing de contenus ?
Cette nouvelle ère du marketing de contenu intervient dans une continuité et une logique de dématérialisation globale et d’influence croissante des médias sociaux (SocialMedia), y compris dans le business. Le marché en ligne s'est ainsi accru grâce au développement d'outils adaptés, tant au niveau des interfaces entre l'utilisateur et le fournisseur (API pour Application Programming Interface) qu'au point de vue des outils de paiement en ligne et de gestion de la relation client.
Même le E-commerce n'échappe pas aux nouvelles contraintes du Web et au suivi actif des clients. Ainsi, selon la dernière étude du CMIContent, "58 % des entreprises souhaitent augmenter leurs dépenses en marketing de contenus dans les 12 mois à venir". Cette annonce prouve que la création de contenus, tant textuelle que photographique, vidéo ou sonore a de beaux jours devant elle, dans un marché qui couve depuis longtemps cette victoire double du fond et de la forme. En effet, l’émergence de cette révolution du contenu naît sur un terreau propice, nourri par l'ouverture des échanges et la globalisation des demandes.
suite http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/high-tech-medias/medias/221182830/plateformes-contenus-reponse-adaptee-a-levolut?Rédigé le 23 octobre 2013 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
http://fr.thegrandunion.com/?clients=casino
La page Facebook Produits Casino a été créée en Avril 2010 et a rapidement conquis une audience de plusieurs dizaines de milliers de personnes. Fort de ce succès, Produits Casino aimerait tirer profit intelligemment de sa page Facebook tout en satisfaisant encore et toujours plus ses nombreux fans.
Comment continuer à les engager, les valoriser dans la durée tout en leur donnant un rôle actif dans l’appréciation des produits Casino ?
La cible
Les 40 000 fans de la marque, les vrais enthousiastes des produits Casino et non les « concouristes » ou des « chasseurs de primes ».
Concept Stratégique
Stratégie Marketing Afin d’engager ses fans Facebook dans les choix stratégiques des Produits Casino, la marque a souhaité aborder Facebook comme un outil réellement engageant, en allant au-delà d’une simple relation virtuelle de marque avec la mise en place d’un programme de CRM Social : des relations plus personnelles, plus interactives et donc moins virtuelles. De plus, Casino aspirait à faire reconnaître la vraie qualité de ses produits. Une solution : le moyen le plus efficace de faire parler de ses produits est d’offrir aux consommateurs la possibilité d’en faire l’expérience.
Message à faire passer “La marque Produits Casino a tellement confiance en la qualité de ses produits qu’elle est prête à les crash-tester avec ses fans Facebook. ”
Partis pris créatifs
Tester gratuitement des produits Casino en créant le 1er panel consommateur 100% Facebook.
L’application Facebook « Casino Fans Testeurs » a ainsi été lancée sur Facebook. Cette stratégie permet de placer le fan au cœur du dialogue, en le positionnant en tant qu’ambassadeur de la marque.
Mécanique créative
Chaque test se déroule sur une période de 2 mois environ et implique l’intervention permanente pendant cette période d’un Community Manager sur l’application avec un relai sur la page Facebook afin de réagir et relayer les retours et commentaires des Fans testeurs mais aussi les non testeurs.
Design
Les choix créatifs de l’application « Casino Fans Testeurs » s’articulent
autour de 3 grands axes :
Ainsi, le parti-pris de Casino a notamment été d’utiliser des infographies, simple de lecture, dans cette campagne au ton humoristique, ainsi que des visuels en rapport direct avec l’univers de la marque « Produits Casino » : des produits beaux et bons.
Résultats
En seulement
quelques semaines et sans achat média, Casino a reçu plus de 1500
demandes/mois pour devenir Fans Testeurs, preuve d’un réel engouement de
la part de la communauté Facebook.
Sur les formulaires envoyés aux Fans Testeurs, 95 % sont retournés.
En moyenne, à la question du questionnaire « Recommanderiez-vous ce produit Casino ? » 90% des testeurs répondent OUI…
Les likers sont devenus de fervents prescripteurs !
Rédigé le 17 octobre 2013 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)