« mars 2014 | Accueil | mai 2014 »
Rédigé le 30 avril 2014 dans 02 Notes de réflexion @ jeremy dumont | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
"L'enquête du M" est une aventure "grandeur nature" proposée aux voyageurs durant les journées européennes du patrimoine : ils deviennent enquêteurs d'un jour sur le réseau RATP, pour percer un secret, tout en redécouvrant un patrimoine qu'ils côtoient tous les jours sans forcément le remarquer : http://www.youtube.com/watch?v=22udKZ1MmWQ
Campagne présentée lors de l'apres midi de paris 2.0 du 7 mars animée par Jérémy Dumont, planneur stratégique : http://www.pourquoitucours.fr
PARIS 2.0 : 60 campagnes de branded entertainment http://fr.amiando.com/brandedentertainment.htm
Plus d'informations : http://www.psst.fr
Rédigé le 30 avril 2014 dans 09 Actualites de la plateforme d'echange PSST | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Click image to open interactive version (via WorldPay Zinc).
Rédigé le 29 avril 2014 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Le projet NetGlobers site communautaire de voyageurs d'Europ Assistance propose aussi bien du contenu réalisé avec des agences de contenus mais aussi co-création avec la réalisation de carnets de voyages des membres. L'application TripOrganizer permet d'organiser son voyage en mobilité à travers des checks lists, et Europ Assistance assure une présence sur les réseaux sociaux facebook / Twitter relais de contenu et interaction avec les fans. http://www.netglobers.fr
Campagne présentée lors de l'apres midi de paris 2.0 du 7 mars animée par Jérémy Dumont, planneur stratégique : http://www.pourquoitucours.fr
PARIS 2.0 : 60 campagnes de branded entertainment http://fr.amiando.com/brandedentertainment.htm
Rédigé le 29 avril 2014 dans 09 Actualites de la plateforme d'echange PSST | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
source de l'article : http://www.slate.fr/story/85693/heritiers-generation-inoxydable-fragiles
Il y a plus d’un quart de siècle paraissait un ouvrage provoquant sur La génération inoxydable, celle des baby-boomers, «une génération dominante (qui), selon son auteur Michel Cicurel, peut se vanter d’avoir à vingt ans balayé les attitudes sociales rigides du passé et vers la trentaine assuré le triomphe de l’économie de marché». Les études abondent pour ausculter cette fameuse génération à l’aune de son legs historique, et tout débat sur la jeunesse d’aujourd’hui conduit inéluctablement la réflexion vers celle qui l’a élevée et a contribué à son avenir économique –la Revue française de sociologie, fin 2013, a enrichi ce débat par diverses contributions.
Toute chose étant égale par ailleurs (niveau d’éducation, origine familiale, statut d’immigration, genre) existe-t-il objectivement une pénalisation (emploi/salaire) des 20-30 ans par rapport à la génération des baby-boomers? L’inégalité de départ subie par les jeunes adultes d’aujourd’hui, l’entrée sur le marché du travail s’opérant plus difficilement et à un âge plus tardif, se rattrape-t-elle sur la durée, les éléments de carrière étant seulement repoussés dans le temps?
Affinant son analyse économétrique sur les effets de cohorte, le sociologue Louis Chauvel confirme le résultat de ses travaux précédents: il y a effectivement des inégalités de destin entre les générations, et s’il en est une qui a été bénie des dieux, c’est bien celle qui eut 20 ans dans les années 1960 tant en termes d’insertion dans l’emploi que d’évolution du salaire et de la carrière.
Après cette génération au destin exceptionnel, toutes les cohortes suivantes ont dû affronter un marché de l’emploi moins favorable, et des à-coups de la croissance. En conséquence, et malgré l’élévation du niveau moyen d’éducation, les inégalités entre individus se sont recomposées de la façon suivante:
Le processus d’écartèlement des conditions économiques entre population jeune et population vieillissante, d’une part, et entre fractions au sein d’une même classe d’âge, d’autre part, est particulièrement marqué dans la société française. Et ce, pour deux raisons: le marché du travail se distribue entre les in (fonctionnaires ou salarié doté d’un CDI) et les out (les emplois précaires), ces derniers emplois étant le lot des nouveaux arrivants; la place que l’on occupe dans la structure sociale tout au long de la vie est plus que jamais déterminée par le niveau de diplôme initial.
Ces rigidités aboutissent à renforcer les situations acquises et à handicaper les possibilités d’insertion d’une partie sans cesse plus grande de jeunes –ce processus existe maintenant depuis plusieurs années et donc, de nos jours, la difficulté d’insertion s’étend aussi à des «adultes confirmés», les 30/40 ans. L’atonie, probablement durable, de la croissance constitue un facteur supplémentaire pour l’exclusion du travail d’une partie de la jeunesse.
Que peut-on déduire des résultats présentés dans ce numéro de la Revue française de sociologie?
L’articulation des inégalités intergénérationnelles et des inégalités au sein d’une même classe d’âge entraîne un renforcement des solidarités économiques de la part des parents, voire des grands-parents envers leurs descendants. Les 20-30 ans, qu’ils soient en panne par rapport à l’emploi ou qu’ils arrivent à s’insérer, font l’objet de transferts financiers comme jamais au prorata de la richesse accumulée par les familles au cours des trente dernières années: un mouvement qui, là aussi, creuse de nouvelles inégalités au sein de la jeunesse.
En 2009, la proportion d’individus de 25-29 ans propriétaires de leur logement était de 29%, soit plus que pour les cohortes précédentes au même âge: si cette amélioration touche en premier lieu des jeunes cadres ou des professions libérales, si elle est aussi redevable aux faibles taux d’intérêt de l’emprunt depuis le début des années 2000, elle repose tout autant sur l’accélération des transferts financiers dans les familles aisées. Alors que le poste logement ne cesse de grossir au sein du budget des ménages, être ou ne pas être propriétaire est devenu une clef essentielle de répartition entre les conditions de vie des jeunes.
Lire la suite de l'artcicle : http://www.slate.fr/story/85693/heritiers-generation-inoxydable-fragiles
Rédigé le 29 avril 2014 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Perçue comme une micro-tendance en vogue chez certains hipsters new-yorkais blasés, le “normcore”, mix-oxymore entre “normal” et “hardcore” est devenu - en l’espace d’un article paru dans un supplément du New York Magazine, de quelques partages et de reprises à toutes les sauces par les ¾ des journaux du monde entier (GQ y compris) - le nouveau phénomène de mode sur-médiatique. Théorisé par le bureau de tendances K-Hole dans son rapport au titre très évocateur “Youth Mode : The death of age”, le normcore est la résultante de l’ère de “Mass Indie” dans laquelle nous vivons : cultiver sa différence étant devenu la norme, le jusqu’au-boutisme voudrait donc que l’on devienne parfaitement normal, si ce n'est banal, voire ringard, pour être différent. Pour rappel, le rôle d'une telle agence de consultants est de prédire les futures tendances dans des domaines divers et variés grâce à leur capacité supérieure à saisir le flou artistique de l’air du temps et à le retranscrire avec une rhétorique certaine dans des PDF peuplés de nuages de mots et d’illustrations puisées sur Google Images. L’analyse va un peu plus loin, en présumant que le normcore est une sorte d’anti-snobisme, une invitation à se poser moins de questions et à finalement suivre les tendances et autres courants mainstream, la normalité étant une forme de liberté face à l’aliénation de “la coolitude qui repose sur la différence” : “pour être vraiment Normcore, vous devez comprendre qu’il n’y a rien de mieux que la normalité” souligne le compte-rendu.
En terme stylistique, l’adoption contemporaine et détournée du normcore par les barbus de centre-ville se traduit par “l’acting basic”, le terme que Fiona Duncan, auteur de l’article de The Cut qui a initié le buzz, semble avoir confondu avec le normcore. Cela consiste tout simplement à s’habiller de façon apparemment ringarde, afin de ne pas se faire remarquer, quoique : un postulat proche de l’anti-fashion des nineties mais surtout la raison pour laquelle le constat initial semblait être la ressemblance frappante et paradoxale entre les hipsters les plus branchés et des touristes paumés grâce à des polaires informes, jeans délavés d’un autre temps, des sandales monacales et des coiffures que la bienséance voudrait interdites. Des ponts ont immédiatement été tendus entre les défilés et magazines de mode les plus pointus, capables de mélanger luxe ostentatoire et design dépouillé (on cite très régulièrement les sandales à fourrure créées par Phoebe Philo pour Céline) dans des tenues hybrides flirtant parfois avec l’ultra-normalité pourtant unique en son genre, qui n’est autre qu’un effet de stylisme.
(Le carré sémiotique du normcore selon K-Hole)
Rédigé le 29 avril 2014 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Plongée au cœur des 18-25 ans.
Pour eux, Facebook, Twitter et Instagram ont toujours fait partie du paysage – mais la Crise commencée en 2008, aussi.
Ils sont digital natives et aiment tout ce que le web peut leur apporter – mais ils débutent leurs vies dans un monde de contraintes et de difficultés économiques.
Ils sont connectés au monde via la Toile – mais ont du mal à se connecter à leur vie d’adulte parce que le marché du travail ne leur fait aucun cadeau.
Ils aiment consommer – mais doivent aussi beaucoup compter.
Ils ont la confiance en eux de la jeunesse – mais sont presque aussi inquiets de l’avenir que leurs parents.
Comment leur parler ? Comment entrer en résonance avec leurs valeurs – et d’abord les intégrer ? Quelles sont les pratiques qui les séduisent, qu’ils sont prêts à adopter, pour concilier leurs moyens et leurs envies de consommation ? Sur qui comptent-ils pour avancer, entreprises, institutions, parents, politiques ? Comment voient-ils leur entrée dans la vie – prendre sa place chez les adultes, ça veut dire quoi pour eux ?
Pour aller au-delà des idées reçues ou des clichés sur « les jeunes », FreeThinking a mené une étude de fond sur ces 18-25 ans aux prises avec un monde qui change et pour eux se durcit.
Mêlant enquête quantitative et investigation qualitative online, Génération C, C comme Crise, C comme Consommation d’après est une plongée au cœur de cette génération de Crisis Natives. Et au cœur d’une cible plus complexe à cerner qu’on ne le croit souvent.
Pour une présentation de Génération C, contacter les co-fondateurs de FreeThinking : http://www.freethinking.fr/publications/generationc/
Rédigé le 29 avril 2014 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Achats cross-canal, usages nouveaux devices, exposition média… qui sont ces nouveaux consommateurs ? Comment mettre en place une stratégie ciblée et efficace ?
Comprendre ces nouveaux consommateurs, apprendre à les connaître, et trouver les mots justes pour leur parler, au bon moment, en activant les bons leviers marketing est aujourd’hui primordial pour réussir ses stratégies cross-canal.
Ce livre blanc expose :
Téléchargez le livre blanc "Portraits des consommateurs cross-canal 2013"
http://www.experian.fr/mis/contact/consommateur-cross-canal-2013.html
Rédigé le 29 avril 2014 | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
Le groupe américain a dévoilé les concepts de deux séries originales de long format, comprenant chacune huit épisodes de trente minutes. Il s'agira de deux comédies. Other Space racontera les aventures galactiques d'un équipage qui découvre un univers parallèle, Sin City Saints se concentrera sur une équipe de basket fictive à Las Vegas.
Les budgets respectifs de ces séries n'ont pas été divulgués, mais le Wall Street Journal évoque un budget allant de 700 000 dollars à quelques millions par épisode. Yahoo! semble s'inspirer de l'exemple du site de vidéos en ligne Netflix, qui a été salué par la critique pour sa série politique à gros budget House of Cards.
Yahoo!, qui a fait de la vidéo une de ses priorités, va aussi s'allier avec l'organisateur de concerts Live Nation pour la diffusion des concerts qui seront retransmis en direct à partir de cet été.
Microsoft a annoncé de son côté que ses programmes Xbox Originals, allant du drame à la comédie en passant par les documentaires ou la retransmission d'événements en direct, seraient diffusés à partir de juin.
Parmi les premiers programmes attendus sur la Xbox One figureront une série sur le football de rue, dans laquelle apparaîtra notamment Thierry Henry, et un documentaire sur une équipe cherchant à retrouver des milliers de jeux vidéo invendus enterrés dans les années 1980 dans un désert américain par Atari.
Ridley Scott et Steven Spielberg font partie des réalisateurs enrôlés par Microsoft pour ces programmes. L'un et l'autre ont travaillé sur deux projets distincts basés sur la franchise de science-fiction Halo.
« Microsoft a une longue et riche histoire dans le secteur des contenus, affirme le vice-président des Xbox Entertainment Studios dans un communiqué. Les jeux font partie de notre ADN depuis au moins quinze ans, la création de contenus télévisés originaux est l'étape suivante logique de notre évolution. »
Rédigé le 29 avril 2014 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)
source : http://www.journaldunet.com/ebusiness/marques-sites/marques-les-plus-vues-sur-youtube.shtml
Les 500 marques mondiales dont les vidéos ont été les plus vues sur Youtube représentent 442 millions de vues par mois, soit 884 000 chacune en moyenne, selon une étude de Ourigger Media. Ces marques totalisent également 18,8 millions d'abonnés et ont mis en ligne 315 000 vidéos différentes dont seulement 7,4% sont des repackaging de clips télévisés. Rapportés à chaque marque, ces chiffres donnent 35 000 abonnés en moyenne alors que ces mêmes marques ont plus de 200 000 followers sur Twitter, soit plus de 5 fois plus.
Voici les marques dont les chaînes Youtube ont généré le plus de vues cumulées. Google est très représenté dans ce classement (5 places sur 10) car il utilise les invendus de Youtube à des fins d'auto-promotion.
Marque | Nombre de vues Youtube |
---|---|
Source : Outrigger Media | |
Google Chrome | 25,1 millions |
Pepsi | 23,2 millions |
21,2 millions | |
Red Bull | 16,3 millions |
KiaBUZZ | 14,1 millions |
Google Play | 9,2 millions |
Dior | 9 millions |
Google Chrome UK | 8,7 millions |
GoPro Camera | 8,5 millions |
Google Nexus | 8,1 millions |
L'étude permet également de comparer les marques selon leur secteur d'activité. Ainsi les secteurs de l'électronique grand public (plus de 60 000 abonnés par marque en moyenne) et de l'alimentation (plus de 55 000) obtiennent la première place tandis que le tourisme (moins de 10 000) et les services financiers (moins de 15 000) ferment la marche.
Nombre d'abonnés aux chaînes Youtube des marques, selon leur secteur d'activité. Par marque. © Outrigger Media
Enfin, l'étude propose également un classement des marques en fonction de l'engagement des utilisateurs, de l'influence de la chaîne Youtube et de la régularité de publication. Ce top des marques sur Youtube confirme le positionnement "jeune" de la cible, la quasi totalité des marques du top 10 (Volkswagen excepté) visant principalement cette cible.
Marque | Score | Engagement | Régularité | Influence |
---|---|---|---|---|
Source : Outrigger Media | ||||
Red Bull | 746 | 8,8 | 3,9 | 9,7 |
679 | 7,9 | 6,4 | 9,4 | |
Old Spice | 647 | 7,4 | 6 | 9,2 |
Nike Football | 638 | 7,1 | 4,9 | 9,3 |
GoPro Camera | 629 | 8,1 | 7,6 | 8,5 |
Blackberry | 616 | 7,5 | 4,8 | 9,1 |
DC Shoes | 614 | 6,7 | 4,8 | 9,1 |
Coca-Cola | 614 | 7,4 | 3,9 | 9 |
Samsung | 613 | 7,1 | 5,7 | 9 |
Volkwagen | 612 | 7,3 | 3,9 | 9 |
Rédigé le 29 avril 2014 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments | TrackBack (0)