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« février 2016 | Accueil | avril 2016 »
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Rédigé le 29 mars 2016 dans 02 Notes de réflexion @ jeremy dumont | Lien permanent | 0 Comments
Depuis la conférence 4AS qui s’est tenu à Miami en début de semaine, Maurice Levy le CEO de Publicis a appelé les agences à se réveiller dans un monde de la publicité en plein changement.
Publicis va déployer un nouveau type d’organisation pour mieux s’adapter aux changements du marché et in fine regagné en expertise et efficacité, il s’agira d’intégrer de manière horizontal 3 métiers / expertises clés qui sont La Technologie – La Créativité – Le Marketing.La colonne vertébrale de ce dispositif sera composée des agences Sapiens, Nitro et Razorfish et sera opérationnel au 1er Juillet de cette année pour les marchés majeurs. Il s’agit donc de « casser les silos » qui compose le groupe Publicis actuellement structuré comme une holding
Lire l'article : http://programmatique-marketing.fr/2016/03/24/quand-maurice-appelle-les-agences-a-se-reveiller-et-annonce-une-nouvelle-organisation-pour-publicis/
Rédigé le 29 mars 2016 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
"l’idée sous-jacente que la propriété privée et exclusive est la seule forme de priorité capable de garantir le bon fonctionnement des sociétés, s’est trouvée elle aussi fortement démentie, et par les faits eux-mêmes.
(...) non, un commun n’est jamais « donné ». Il suppose une communauté qui se soit mobilisée pour le constituer ou le préserver. Tout commun est d’abord et avant tout un construit social.
(...) Ils ne sont donc pas exempts de conflits et de tensions. Mais (les commoners) instaurent, et c’est en cela qu’ils sont si importants, une autre manière de gérer les ressources et une manière « citoyenne » de gérer les différences d’intérêts sans s’en remettre à la puissance publique. En ce sens ils constituent un degré supplémentaire de démocratie. Ils ajoutent de la démocratie participative directe à la démocratie représentative."
(...) Les communs ne sont pas une zone grise « entre État et marché » comme on le prétend quelquefois. Les communs ont besoin de l’État pour se développer, car il doit créer les ressources (à commencer par les ressources juridiques) dont les commoners ont besoin pour exister et se développer. Il faut créer une culture et une pratique de l’État partenaire des communs et des commoners.
lire l'article : http://www.contretemps.eu/interviews/ne-lisons-pas-communs-cl%C3%A9s-pass%C3%A9-entretien-benjamin-coriat
Rédigé le 29 mars 2016 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Elle se caractérise par la non-dissociation entre producteur et consommateur : dans le cadre d'une économie contributive, l'usager du service est potentiellement à la fois consommateur et producteur du service. Par exemple, Wikipédia et ses projets frères ou sœurs reposent tous sur le modèle de l'économie contributive : les rédacteurs des articles et autres contributeurs sont aussi des utilisateurs de l'encyclopédie, de Wikiversité, Wikilivres, Wikimedia Commons, etc.
C'est le cas aussi des logiciels libres, où un certain nombre d'usagers apportent leur contribution en améliorant le logiciel qu'ils utilisent.
L'économie contributive est un concept développé en particulier par Bernard Stiegler1 et l'association Ars Industrialis.
L'association Ars Industrialis définit l'économie contributive par trois caractéristiques principales2.
Rédigé le 29 mars 2016 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Il s’agit d’une technologie sociale des organisations alternative au modèle managérial traditionnel. Pour schématiser, avec l’holacratie, c’est celui qui fait qui gouverne. Mais attention, il ne le fait pas n’importe comment : il s’aligne sur la mission et la raison d’être de l’organisation.
Le concept est né aux Etats-Unis dans le secteur de l’IT dans les années 2000. Brian Robertson, Alexia Bowers et Anthony Moquin ont commencé à travailler dans des entreprises classiques : ils furent horrifiés par les modes d’organisation ! Ils prirent alors la décision de créer leur propre société, Ternary Software, avec une idée derrière la tête : explorer de nouvelles façons d’organiser le travail. Précision utile : ils avaient une expérience préalable des méthodes agiles. Pendant plusieurs années, ils ont puisé leur inspiration dans différentes sources afin de voir ce qui marchait ou non.
Afin de diffuser leurs méthodes organisationnelles, ils ont fini par créer le véhicule HolacracyOne. Plutôt que de jouer les gourous, ils voulaient arriver à un niveau d’abstraction suffisant pour que les pratiques puissent être transposées dans n’importe quelle organisation. Le résultat devait être une forme de constitution.
Lire l'article : http://magazine.ouishare.net/fr/2015/11/lholacratie-decryptee-entretien-avec-bernard-marie-chiquet/
Rédigé le 28 mars 2016 dans 04 Stratégie, développement durable et appropriation collective | Lien permanent | 0 Comments
Militants et sympathisants du parti écologiste ont passé une journée à réfléchir à la façon de « hacker » les structures d’EELV pour les transformer. Nourris de la culture du logiciel libre, ils ont parlé de « démocratie réelle », VIe République, revenu de base et statut de l’élu.
Paris, reportage
Hacker, n. m. (de l’anglais to hack into, entrer par effraction) : Personne qui […] cherche à contourner les protections d’un logiciel, à s’introduire frauduleusement dans un système ou un réseau informatique. (Recommandation officielle : fouineur.) Dictionnaire Larousse »
Hackers, militant écogistes ? Le rapport n’est pas évident. Julien Bayou, porte-parole d’EELV (Europe Écologie-Les Verts), explique : « Le hack, c’est différent du “crack” en informatique. Dans la culture du libre, le hack encourage les gens à améliorer les outils disponibles. » Modèle de l’encyclopédie libre sur Internet, Wikipedia en offre d’ailleurs une définition plus précise : « Un hacker désigne un virtuose pouvant intervenir dans différents domaines […] de l’informatique. » Ainsi, le hacking est défini comme « un bricolage créatif visant à améliorer le fonctionnement d’un système ». « C’est changer un petit paramètre pour transformer la réalité », résume Mathieu Baudin, de l’Institut des futurs souhaitables.
Alors, quand un groupe de militants d’EELV organise le « hacklab » du parti, samedi 5 mars, le sens du mot ne fait guère débat chez les participants. « Un parti reste un outil, mais on n’est pas obligé de s’en saisir de la façon dont il est actuellement constitué », explique Vincent M., jeune militant encarté écolo. S’agit-il de boycotter EELV ? « Non, de le transformer avec des méthodes nouvelles. »
Pour cela, toute une journée de réflexion pour parler VIe République, revenu de base et statut de l’élu. Animateur de la table-ronde intitulée « À quoi ressemblerait un pays gouverné par les écologistes ? », Vincent L. souligne l’importance accordée au thème de la « démocratie réelle » : « C’est la première des revendications des participants : les institutions, le non-cumul des mandats, l’égalité homme-femme dans la représentation. » Quand Léa teste son idée d’un mandat unique de sept ans, Ben propose le mandat semi-impératif et révocable, contrôlé par une assemblée locale.
« La méthode est très importante à l’heure où notre appareil est en panne pour produire du collectif, se félicite Sylvain, adhérent à EELV depuis 2009 et membre d’un bureau exécutif local. Le collaboratif et le participatif doivent être les piliers d’un parti politique au XXIe siècle », affirme-t-il, en soulignant la ressemblance avec certaines campagnes municipales capables de réunir plusieurs collectifs autour d’un même projet.
Quelques figures connues du parti, telles David Cormand, nouveau secrétaire national, ou Yves Contassot, conseiller de Paris, ont passé une tête au cours de la journée. Sur la centaine de participants, les organisateurs estiment qu’il y avait une moitié de militants d’EELV et une moitié de curieux, ceux-ci incluant une vingtaine d’adhérents des trois derniers mois.
« J’en avais marre du levier de la peur dans le contexte actuel », explique Bénédicte, venue d’Argenteuil. Elle suivait EELV « de loin » et veut « dépasser le clivage gauche-droite et changer le logiciel face aux défis à venir ». Elle a participé à l’atelier « Repenser la stratégie et élargir la base électorale » : « Il y a aujourd’hui des gens à qui plus aucun parti politique ne parle. Mais, plutôt que d’y réfléchir en termes de cible, il faut défendre notre projet de société et s’attacher à porter des solutions ! »
C’est toute l’ambition de ce mouvement qui se veut « humble, après avoir touché le fond de la piscine », dixit Julien Bayou, un des ses organisateurs. « Il faut retrouver le dialogue avec l’extérieur, confronter les bonnes idées. En politique, on parle toujours d’entrisme. On veut faire l’inverse, de l’“extrisme” : se replonger dans le mouvement social pour s’en irriguer. »
« Cela devient un marronnier de la vie politique, cette idée de l’ouverture », juge Ben avec scepticisme, en égrenant la liste de ses adhésions : aux Verts, au Parti de gauche, à Nouvelle Donne… Aujourd’hui, il se considère comme un citoyen-hacker de l’ensemble des partis : « Ils doivent se remettre en cause pour parvenir à leur véritable vocation. Un parti politique n’est pas un club ni une écurie, mais un animateur pour ceux qui veulent prendre en charge la vie publique. » Pour lui, l’alternative passe par le changement de mode de désignation des candidats électoraux : « Des élections sans candidat, ou bien le tirage au sort d’un jury qui étudiera les candidatures. »
Cette journée se situait dans la perspective du congrès d’EELV, qui doit se tenir fin mai. Elle se prolonge avec un site Internet, sur lequel chacun est encouragé à s’exprimer. « C’est un moyen d’ancrer ces échanges dans le réel et de préparer la réparation du parti », dit Julien Bayou.
Venu en observateur, Mathieu Baudin se réjouit de l’entreprise de hacking du monde politique : « Le seul monde qui n’a pas encore été bouleversé par la disruption numérique. Pourtant, il en aurait bien besoin. Le système politique actuel est la prolongation d’un siècle qui est révolu. »
Cela peut-t-il encore passer par EELV ? Mathieu, non encarté, hésite : « L’objectif étant que les gens se reprennent en main, je ne sais pas s’il faut rester dans le périmètre d’EELV… Mais comme la structure est presque morte, il y a peut-être une opportunité à essayer d’en faire quelque chose. Sinon, il faudra aller voir ailleurs. » Thierry confirme : « Le parti est dans un tel état de déprime qu’il faut inventer autre chose. » Ce militant des Yvelines, actif contre le projet de centre d’entraînement du PSG, appelle à une « métamorphose » de la gouvernance : « EELV, c’est la Ve République : ils reproduisent dans leur fonctionnement les mêmes problèmes que le système national ! »
Face à l’avenir incertain du parti écologiste, certains préfèrent la dérision : « Pour entrer dans le parti, on ouvre les fenêtres maintenant, parce que la porte, tout le monde l’a prise pour sortir. »
source : http://reporterre.net/Quand-des-militants-d-EELV-cherchent-a-reinventer-leur-parti
jeremy dumont militant activiste EELV
Rédigé le 25 mars 2016 dans 02 Notes de réflexion @ jeremy dumont | Lien permanent | 0 Comments
Les entreprises classiques n’ont plus la cote. Du Premier Ministre à votre voisine de palier, tout le monde ne jure que par les startups. Le vocabulaire de la Silicon Valley a envahi notre quotidien, amplifié par des services de communication trop contents de profiter de l’image « innovante » des jeunes pousses. Mais derrière ce vernis clinquant, la réalité est moins alléchante et cache souvent la naïveté et les faiblesses du « monde d’avant ». Des voix s’élèvent pour alerter et dénoncer ce grand écart.
Soumier n’est pas plus tendre avec l’open innovation, qui prône la collaboration entre startups et grands groupes : “comment imaginer qu’une startup puisse grandir à l’ombre des grands groupes ? Ça n’existe pas. Les grands groupes tuent l’innovation. Elle les dérange. Au mieux ils l’endorment.”
Près de deux ans plus tard, dans “ne me parlez plus d’open innovation”, Taro Ugen, bien placé sur la question chez BPI France, a décidé carrément d’effacer le buzzword préféré des entreprises de son langage. ll dénonce comme Soumier l’ambiguité de certaines entreprises qui “visitent des incubateurs comme on va au zoo”. Il est vrai qu’on ne compte plus les corporates (grands groupes) qui vont s’encanailler dans le Sentier pour découvrir ce qu’est un espace de coworking ou une salle de créativité. Les logos des “partenaires” remplacent les tags dans ces espaces qui n’ont souvent plus de “co-” que la baseline. Les cadres sans cravate remplacent les hackers sur les bancs des évènements. Le Président de la République lui-même n’a pas pu résister à l’appel en débarquant à l’improviste au Numa, accompagné de caméras. “On est bien dans une approche de l’innovation strictement cantonnée à la communication philanthropique” nous dit Taro Ugen, “dans le but de soutenir l’écosystème et non d’y participer.”
Le “pitch de startup” (présentation du produit au public par les fondateurs) devient une figure convenue des salons professionnels et autres conventions. Généralement suivies d’un vote du jury (composé des sponsors de l’évènement : c’est un écosystème), les séances de pitchs ont au moins le mérite de donner de la visibilité et des jalons aux startups qui débutent. Pour les autres c’est surtout de la perte de temps. De la communication, pas du business. Des photos, pas des contrats. Mais le problème semble plus profond. Taro souligne l’incompréhension des entreprises qui considèrent avant tout les startups comme des “convoyeuses d’innovation technologique”, alors que la technologie est justement ce qu’il y a de plus accessible à l’ère numérique. Ce que n’ont pas les grands groupes et que possèdent intrinsèquement les startups, c’est la capacité de croissance. Et Taro de rêver de “Chief Growth (croissance) Officers” qui activeraient les outils de l’innovation au service de la croissance de leur entreprise, qui travailleraient avec les startups pour “casser les barrières culturelles et monter des géants internationaux pour croquer le monde ensemble”.
“Devenir un géant, croquer le monde, dominer ses adversaires, capturer et valoriser les données de ses utilisateurs,…” ce vocabulaire est désormais monnaie courante jusque dans la bouche du plus modeste des startupers. Symbole de la foi dans la capacité des startups à “faire du monde un meilleur endroit” ou formules toutes faites destinées à séduire les investisseurs ?
Lire l'ensemble de l'article: http://15marches.fr/numerique/ras-le-bol-startups
Rédigé le 23 mars 2016 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
L'Europe compte 160 millions de 25-35 ans, soit 40 % des actifs. Cette "Génération Y", grandie à l'ère de la crise et du numérique, révolutionne en douceur le monde du travail : enquête en France - Entretien avec Jean-François Zobrist, ancien patron, adepte de "l'entreprise libérée" - Comment une petite ville galloise a pratiqué "l'optimisation fiscale".
L'enquête : l'Europe compte 160 millions de 25-35 ans, soit 40 % des actifs. Cette "Génération Y", grandie à l'ère de la crise et du numérique, porteuse de valeurs innovantes, révolutionne en douceur le monde du travail - avant le monde tout court ? Enquête en France.
L'interview : Jean-François Zobrist, ancien patron, adepte de "l'entreprise libérée".
Le Vox report : comment une petite ville galloise a pratiqué "l'optimisation fiscale", à l'instar des multinationales. Et toujours, le tour d'Europe des correspondants.
Rédigé le 23 mars 2016 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Lieu du repérage | Lieu de l’achat | Formule |
web | web | 100% web (ou «full digital») |
magasin | magasin | 100 % magasin (ou «full store») |
web | magasin | ROPO (Research Online, Purchase OffLine) soit repérage en ligne, achat hors ligne |
magasin | web | Repérage en boutique, achat sur le web (ou «showrooming») |
Nous assistons désormais à l’avènement de l’omnicanal. L’internet et plus précisément le ecommerce ont fait émerger une multitude de problématiques liées aux nouveaux usages de consommation des consommateurs connectés que nous sommes. Un consommateur peut ainsi réaliser ses recherches préliminaires en ligne, commander en ligne ou finaliser son achat en boutique. Ces comportements de recherches et d’achat en fonction des canaux physiques ou digitaux peuvent se présenter de la manière suivante : toutefois une donnée essentielle à ce tableau pour finaliser le parcours d’achat du client et satisfaire ce dernier au mieux : il concerne la livraison/réception des produits.
Le triptyque recherches/achats/livraison peut se définir de la manière suivante :
Mode de livraison | In Brand store | Out Brand store | In Brand store | Out Brand store |
Recherche en ligne | ROPO | ROPO | Full digital | Full digital |
Recherche hors ligne | Full store | Full Store | Showrooming | Showrooming |
Lieu de l’achat | Achat hors ligne | Achat en ligne |
L’introduction par les entreprises d’une proposition e-commerce pour l’achat et la livraison en direction des consommateurs a eu pour conséquence de multiplier les possibilités de recherches, les moyens d’achats et les modes de distribution. Cette proposition a facilité l’émergence de nouveaux usages de consommation auxquels les entreprises répondent par une gestion de la complexité des trois facteurs dans une dimension omni canal. Autrement dit, la recherche, l’achat et la livraison seraient effectués sur des canaux différents. L’objectif sera alors de les rendre complémentaires ou en tout les cas de les synchroniser afin de désigner un parcours client omni canal.
Rédigé le 23 mars 2016 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Le digital occupe une place prépondérante dans les stratégies de communication mises en place par les marques.
En l'espace de 15 ans, ce canal de communication a pris une dimension sociétale qui modifie complètement les usages et comportements des consommateurs, des institutions et de toutes les parties prenantes de la vie économique et politique. Bien plus flexible et interactif que les médias classiques, Internet offre de nombreuses opportunités aux entreprises qui veulent toucher leurs différentes cibles de façon plus personnalisée et créative.
C'est pourquoi Stratégies organise, en partenariat avec l'ECS et avec le soutien de la délégation intéractive de l'AACC et de l'UDA, la huitième édition du Grand Prix Stratégies du marketing digital.
Cet événement a pour objectif de valoriser le meilleur de la communication digitale, en mettant en avant les meilleurs dispositifs conçus par les marques : sites, programmes relationnels, brand content, médias sociaux, e-pub, mobile, innovation, communication globale on-line, campagnes intégrées seront à l'honneur.
Un jury composé d'experts, de directeurs d'agence et de directeurs marketing / communication / interactif en entreprise, se réunira en février pour attribuer les Mentions, les Prix et le Grand Prix 2016. Le palmarès sera dévoilé fin mars, en présence des personnalités qui comptent dans cet univers.
Nous sommes à votre entière disposition pour tout complément d'information et comptons vivement sur votre participation pour faire de cette nouvelle édition un succès et surtout une référence pour tous les acteurs de cet univers.
GRAND PRIX : Dream on pour Opéra national de Paris
SITES EVENEMENTIELS
Prix : 84.Paris pour Because Music
INNOVATIONS TECHNOLOGIQUES DIGITALES
Rédigé le 23 mars 2016 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments