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Rédigé le 31 janvier 2017 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Rédigé le 31 janvier 2017 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
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J'ai animé une journée d'inspiration chez vente-privee : "comment éveiller le désir dans un monde d'offres pléthoriques". Voilà les 20 exemples que j'ai trouvé pour leur donner des idées
Rédigé le 26 janvier 2017 dans 01 Rapports d'innovation @ jeremy dumont | Lien permanent | 0 Comments
Tous les milliardaires ne ressemblent pas à Donald Trump. Et les maîtres du monde qui dirigent les GAFA ne sont pas que ces monstres trans-humanistes qui veulent piétiner le reste de l’humanité à leur plus grand profit. Depuis que Bill et Melinda Gates ont choisi de consacrer une immense partie de leur fortune à faire le bien, les philanthropes issus du monde digital inventent à leur tour une nouvelle charité, probablement plus pragmatique que celle des Rockfeller...
Cela fait maintenant des décennies que la célébré maxime de Milton Friedman « La seule responsabilité sociale des entreprises est d’augmenter leurs profits » fait quasiment office de religion, plus particulièrement chez les investisseurs. Si bien que les entrepreneurs qui ambitionnent à la fois d’avoir un impact social et de générer des profits ont le plus souvent effrayé les investisseurs, voyant cette dualité comme contre intuitive.
Le digital semble sonner le glas de cette ère. Une tendance de fond voie le jour avec l’apparition d’un pont entre le business traditionnel, centré sur les profits, et la démarche philanthropique orientée vers le bien social. L’investissement dans un business traditionnel peut engendrer un retour sur investissement. Celui effectué dans une entreprise philanthropique peut offrir la satisfaction d’avoir contribué à améliorer une peu le monde. Le digital quant à lui semble se proposer de réaliser conjointement les deux avec une nouvelle génération d’entreprises.
De nouveaux acteurs disruptant complètement le monde de l’éducation comme edX qui donnent accès aux meilleurs cours des universités du monde entier gratuitement, Corsera ou encore Udacity. Kickboard permet aux enseignants de mieux évaluer leurs étudiants et de mieux collaborer entre eux pour faire progresser les élèves. Teachers Pay Teachers permet à toutes personnes désirant enseigner une matière de proposer ses cours en ligne.
Des initiatives d’investisseurs du digital comme le La Fondation X Prize de Peter Diamandis voient le jour. Basée en Californie, X Prize est une organisation à but non lucratif qui conçoit et gère des concours de grande ampleur ouverts à des équipes techniques et scientifiques du monde. Son objectif essentiel est d'encourager de nouveaux développements technologiques susceptibles d’engendrer des progrès majeurs pour le bien de l'humanité, grâce à l'émulation suscitée. L'actuel conseil d'administration de la fondation en dit long sur le sérieux qu’il convient d’accorder à cette initiative puisqu’il comprend non seulement Elon Musk, James Cameron, et Larry Page, mais aussi Arianna Huffington et Ratan Tata. Les prix récompensant les vainqueurs sont de plusieurs millions de dollars. Une stratégie très américaine qui permet de frapper les consciences de tous, afin d’attirer l'attention sur le but fixé.
Des initiatives à la croisée du profit et de la philanthropie comme la Singulariy University fondée dans le NASA Research Park de Californie, par Peter Diamandis, Ray Kurzweil et Salim Ismail, les chantres des technologies dite exponentielles, qui se veut autant une université, qu’un think-tank et qu’un incubateur. Entreprise privée, la Singularity University se donne comme mission d’éduquer, d’inspirer et de responsabiliser les leaders du monde afin qu'ils utilisent les nouvelles technologies pour répondre aux grands défis de l'humanité.
Certaines des start up de la Paypal Mafia comme Space X et ses satellites réutilisables, Palantir Technologie et son ambition de prévenir les catastrophe naturelle grâce à de la data, Matterport et ses expérience immersives en 3D destinées à créer des espace mieux adapter aux hommes, transforment des serial entrepreneurs de talents en de nouveaux bienfaiteurs de l’humanité.
Le digital semble vouloir offrir au monde un nouveau type d’entreprises caractérisé par trois P : Purpose Plus Profit.
Moins froid et technique qu’il n’y parait au premier abord, le digital serait souterrainement, lentement mais surement, assurément, véritablement, en train de contribuer à changer la nature même des entreprises, du moins de leurs missions ?
Après la logique de gain pour soi, et uniquement pour soi de l’entreprise (Win) qu’exprimait brutalement Milton Friedman, remplacé peu à peu par un Win Win, fièrement proclamé, dans lequel l’entreprise et les clients étaient tous deux gagnants, place peut-être au Win-Win-Win dans lequel la troisième catégories de gagnants est encore difficile à cerner : les collaborateurs de l’entreprise, les sociétés appartenant à l’écosystème crée par la première, les citoyens, l’Etat ?
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Rédigé le 25 janvier 2017 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Chez Sparknews, cela fait trois ans que nous découvrons des centaines d’initiatives inspirantes des quatres coins du monde. Ces initiatives, parfois très simples, sont toujours innovantes soit par leur approche, leur technologie ou leur mise en place. Elles sont le fruit d’entrepreneurs ou d’intrapreneurs sociaux, d’hommes et de femmes qui grâce à leur créativité, participent à la résolution de problèmes sociaux ou environnementaux.
L’Innovation positive by Sparknews, c’est cette innovation sociale là, au carrefour des médias, des grosses et moyennes entreprises et des individus. Pour penser les business model de demain et trouver du sens.
Le club de l'innovation positive rassemble des hommes et des femmes à responsabilités qui veulent se nourrir, échanger et imaginer des initiatives et des modèles innovants au coeur de leurs métiers. Ce club est fait pour vous inspirer et vous accompagner dans votre réflexion et action pour un business plus positif (croissance et sens).
L’adhésion au Club de l’Innovation positive est de 5000 euros par an (3000 euros pour les PME), sur facture. Elle donne accès à un réseau, du contenu innovant ainsi qu'une invitation pour vous et trois autres personnes de votre choix à 6 soirées thématiques sur 12 mois, à compter de la date d'adhésion.
Pour rejoindre le club, contactez Clémentine Sassolas ([email protected]) et retrouvez l'actualité de l'#InnovationPositive sur le groupe Linkedin "l'Innovation Positive by Sparknews"
Téléchargez la présentation du club >
Rédigé le 24 janvier 2017 dans 02 Notes de réflexion @ jeremy dumont | Lien permanent | 0 Comments
Rédigé le 24 janvier 2017 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Ils sont partout : plan digital, transformation numérique, réseau social interne… s’élèvent au rang de mantra des organisations, sous la houlette de Chief Digital Officers rapidement devenus incontournables.
Touchant tous les secteurs, le digital est l’emblème d’un monde qui change vite et profondément. En moins de temps qu’il n’en faut aux entreprises pour les appréhender, les tendances deviennent des réalités et les innovations des nécessités.
Or dans ce grand chambardement, l’avantage concurrentiel n’est pas tant dans la technologie, que dans l’état d’esprit. Il s’agit avant tout de transformation culturelle et managériale. Le digital (de même que l’intelligence collective) n’est pas une fin en soi : ce n’est qu’un moyen de transformer l’organisation au service d’une vision partagée ; un comment plutôt qu’un pourquoi. On parle bien de transformation et non de changement, car l’enjeu n’est pas d’aller d’un point A à un point B défini à l’avance. La transformation est avant tout une aventure humaine ; c’est apprendre à aimer surfer sur la complexité, individuellement et collectivement, pour créer durablement de la valeur dans un contexte mouvant. Cela ne se passe pas que dans la tête (rationnel), mais aussi dans le coeur (émotions) et les tripes (intuition).
Sébastien Bazin, PDG d’AccorHotels, affirmait début 2016 au 01Business Forum que “si on croit aller assez vite en matière de digital, c’est qu’on est trop lent”. Un an auparavant, lors du même événement, il expliquait :
“Si on ne comprend pas que la transformation digitale est une transformation de culture, on n’y arrivera pas”
La culture d’une organisation repose sur un triptyque objets - comportements - valeurs. Chaque composante influence la transformation et est influencée par elle, positivement ou négativement. Aussi puissant soit-il, le digital (systèmes, data, plateformes...) n’est qu’un objet. Son succès dépend des comportements et des valeurs : management, leadership et collaboration dans l’organisation.
Des dimensions qui, pour se transformer réellement et donner du sens à la révolution digitale, requièrent une démarche de fond, volontariste, authentique et systémique. Co-construire, oser faire confiance, dépasser les silos et les organigrammes pour travailler de façon transverse, demandent de la persévérance quand l’organisation s’est bâtie sur des réflexes inverses. Accompagner les managers et les collaborateurs n’a qu’un impact restreint si les dirigeants ne s’impliquent pas personnellement et si la gouvernance ne s’adapte pas.
De fait, le défi se joue en grande partie dans le rapport au temps : alors que le digital est un univers d’accélération, la culture évolue dans la durée. Pas de solution miracle à ce paradoxe, si ce n’est justement “prendre le temps d’aller vite” ! Or si le digital n’est qu’un moyen, c’est pourtant souvent là que les entreprises mettent les moyens : c’est plus visible, plus concret, plus simple qu’un travail de fond sur les manières de penser et d’agir. Mais les deux ressources que sont l’argent et le temps sont tout aussi nécessaires pour mettre en oeuvre des démarches qui transforment l’ADN culturel et managérial, au coeur du réacteur. Dans les deux cas, le but est bien de créer de la valeur. Ceci est d’autant plus vrai, qu’une transformation digitale mal appropriée est bien souvent un serpent de mer en interne comme en externe, : perte de temps et d’argent pour les salariés comme pour l’organisation.
“Prendre le temps d’aller vite” est un véritable choix d’investissement.
Chez ImFusio, nous sommes sûrs que les organisations qui font ce choix aujourd’hui sont celles qui tireront demain et après-demain leur épingle du jeu de la complexité et de la transformation permanente qui ne fait que commencer. Si la transformation digitale assure la croissance, la transformation culturelle la pérennise.
Rédigé le 24 janvier 2017 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
L’engagement est un état psychologique qui explique pourquoi un salarié s’investit plus ou moins dans son travail et pourquoi il choisit de rester dans l’entreprise. Les études économiques montrent que les salariés engagés sont moins souvent absents, moins stressés, changent moins souvent de poste ou d’entreprise, fournissent plus d’efforts, font un travail de meilleure qualité et prennent plus d’initiatives.
L’Institut Gallup (2013) observe par exemple un écart de productivité de 21% entre les établissements où les salariés sont les plus engagés et ceux où ils le sont le moins. Interrogée dans cadre de l’étude La qualité de vie au travail : un levier de compétitivité*, Silja Druo, responsable des ressources humaines Captain Train, confirmait que la performance, la croissance et l’innovation de la startup puisent leur source dans le bien-être au travail des collaborateurs, le sentiment de reconnaissance et de se sentir utile.
Selon les sociologues, gestionnaires ou psychosociologues du travail, susciter l’engagement des collaborateurs est possible, pour peu que les entreprises se préoccupent de six besoins fondamentaux des individus au travail : reconnaissance, compétence, relation à autrui, contribution, autonomie, sens du travail.
Les individus développent alors des ”facteurs internes d’engagement” : ils prennent plaisir à réaliser leurs tâches et retirent une satisfaction de leur travail, elle-même source de bien-être et de performance économique.
L’engagement est bénéfique mais jusqu’à un certain point ; attention donc à ne pas tomber dans le "workaholism". Ce terme désigne un engagement excessif, une dépendance au travail. Dans ce cas, la vie professionnelle prend le dessus sur la vie familiale et les risques de burn out sont plus forts. L’engagement, dans ce cas, nuit à la performance et au bien-être du salarié.
Rédigé le 24 janvier 2017 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments
Parenthèse avec Pascal Canfin, ancien journaliste et ancien conseiller politique pour le climat, directeur du WWF France.
Rédigé le 24 janvier 2017 dans 03 Avant-Garde : économie, société, environnement (écologie) | Lien permanent | 0 Comments