Aprés midi du 28 novemre 2007.
14.00- 14.45
On parle tous football : La campagne de communication 360 de Coca cola
Grand Prix des Stratégies Média 2007
⇒ Michel Gotlib, Directeur Commercial et Marketing, COCA COLA SERVICE FRANCE
⇒ Michel Teuliere : directeur général, CARAT FRANCE
14.45- 15.30
Le cas MONOPRIX avec DRAFT FCB
15.45 - 16.45:
Table ronde
Entreprise, Marque, produit : de la communication 360° à la communication en 3 Dimensions
- Ou en est-on de la communication cross média, multicanale, transversale, intégrée, 360, globale : réalité ou jargon d’agence ?
- Les annonceurs et les agences sont –elle aujourd’hui organiser efficacement pour la communication globale ?
- Marketing direct, Internet, pub : Quel est le bon mix d’expression et arbitrer ses investissements ??
- Internet : pivot des stratégies 360 ?
- Vers une communication 3D ou comment maximiser les points de contacts avec tous les stakeholders de l’entreprise : actionnaires, salariés, consommateurs, distributeurs…
Table ronde animée par Jérémy Dumont président de pourquoitucours
⇒ François Banon, VP communication Europe, DISNEYLAND
⇒Jacques Olivier Broner, Président, agence ROUGE
⇒ Reza Ghaem-Maghami, Directeur Général, PROXIMITY BBDO
⇒ Damon Crespin SEVEN - FULLSIX
⇒ Elisabeth Exertier, directrice associée, SITE MARKETING
⇒Corinne Lévy-Melot, responsable communication et publicité NOKIA FRANCE
⇒Simon Bachelet, Planneur Stratégique, MEDIACOM
16.45- 17.15:
ROI : Analyser vos campagnes pour mieux arbitrer vos investissements
- Actions RP, communication événementielle : comment mesurer les retombées médiatiques de vos actions
- Quels sont les outils à disposition pour évaluer les retombées d’une campagne multicanal
⇒ OCCURRENCE
Le Site Marketing a été consulté, en tant qu'observateur expert du Hors Media, pour organiser un Séminaire d'un jour sur la communication à 360° pour le compte d'un groupe de communication. Le Site Marketing s'est attaché les services du
Collectif de Planeurs Stratégiques Pourquoitucours, en la personne de son directeur Jérémy Dumont, pour mener à bien cette mission Nous contacter
Tu peux encore
choisir les thémes que le cercle d'innovation dans le marketing, la
communication, les médias, la création présentera lors de lesaperosdujeudi 2007/2008 : courtscircuits
Les 100 membres de courtscircuits restent pour l'instant secrets.
Fais tes propositions en faisant des commentaires sur les notes "agenda".
S'incrire pour la première soirée de la rentrée : c'est là
Photographe :
courtscircuits est le premier cercle d'innovation transversale dans le marketing, la communication,
les médias et la création. Il regroupe une centaine de professionnels qui mettent en commun leur temps
et leur énergie pour faire avancer la réflexion sur des thématiques clefs. Le résultat de leur
travail est rendu public, en particulier lors de lesaperosdujeudi.
C'est une des initiatives de pourquoitucours qui a lancé l'agence des idées (pourquoitucours), les blogs
participatifs (www.levidepoches.fr), et les rencontres interprofessionnelles (lesaperosdujeudi)...l'année dernière.
Le lundi 2 juillet de 10h à 12h30 à l'échangeur courts circuits s'est réuni pour
décider du programme de la rentrée.
Nous avons abordé ensemble les thèmes de prospective que nous pourrions traiter de
septembre à juin 2008 (nous devons en définir 10 au final) :
- L'accomplissement de soi : à la recherche de "sa vie"
- La mobilité : "nouveaux services on the move"
- La chose publique : " donner et partager...utopie, phantasme ou réalité ?
- Les créatifs : "qui sont les talents de demain" ?
- Identités plurielles : "schizophrénie, marketing & technologies" !
- Les métiers de demain : "les profils émergents"
- Le Facteur temps : "la quatrième dimension créative"
- L'immatériel : "l'économie et la valeur de l'humain"
- La révolution des médias : "media is message"
- La création et le marketing : "le marché comme source d'inspiration créative"
Et des "rêgles du jeu"...
C'est un cercle de professionnels semi participatif :
- un mail sera envoyé tous les mois pour partager les résultats et annoncer le prochain thème afin
que vous puissiez suivre et participer.
- il est possible de proposer des thèmes (avant le 15 septembre, date de cloture de l'agenda de l'année)
- chaque théme est géré par un leader qui sélectionne son "équipe", énonce les objectifs et organise les
réunions d'échange et de travail (ceux qui voudront les rejoindre auront les coordonnées des leaders
dans l'agenda)
- autant que possible des entreprises seront associés à la réflexion pour rester concret et opérationnel
- nous ferons toujours n point sur l'état de la connaissance sur le sujet, nous échangerons avec des experts
pour traiter les points de divergence/convergence entre eux et nous
- les thémes seront transversaux (et non confidentiels), d'interet général
- les professionnels participent en leur nom et la liste des membres n'est pas communiquée
- nous favoriserons l'échange et la créativité (et l'innovation bien sûr)
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Un des moyens de savoir détecter les valeurs et mode de vie émergents est d’étudier les segments de population les plus avant-gardistes (…) ces fameux créatifs culturels qui inventent une nouvelle culture, un monde nouveau. Ils représentent 17 % de la population française. La F@brique du Futur constitue un laboratoire « in vivo » et « in vitro » de détection d'usages émergents provenant de personnes avant-gardistes, au premier rang desquels figurent les créatifs culturels.
Il s’agit d’un courant sociologique mis en évidence au début des années 80, aux USA, par le sociologue Paul H. Ray. Il a démontré dans une vaste étude que ces créatifs culturels étaient empreints, de façon équilibrée, authentique et cohérente, des valeurs du développement durable : ouverture aux autres, forte sensibilité aux questions environnementales, valeurs « féminines », implication sociale et citoyenne, conscience des rapports Nord/sud, dimension psycho-spirituelle.
La grande force de l’étude de Paul Ray est d’avoir montré le poids de ce courant (25 % de la population américaine) et d’avoir mis en évidence que les créatifs culturels ne sont finalement ni marginaux ni isolés.
En France, une étude toute récente, a montré que les CC représentent 17 % de la population française. Ce chiffre peut sembler en retrait par rapport au pourcentage américain. En réalité, la France est quelque peu pénalisée sur le critère psycho-spirituel. Par contre, une part importante (21 %) de la population française – segment des altercréatifs - est très proche des CC (critère psycho spirituel en moins) en ce sens qu’elle est très désireuse que les choses changent et est très impliquée dans la sphère sociale.
Les fondements de La F@brique du Futur sont directement liés à ce double constat : nécessaire changement des méthodes d’innovation dans un sens plus tourné vers la détection d’usages émergents – et prise en compte des valeurs et comportements émergents. La F@brique du Futur est une association créée à l’été 2006 et dont la vocation est de réconcilier innovation et développement durable (au sens large du terme : dans ses composantes sociétales, environnementales, citoyennes, éthiques…). Son positionnement unique s’impose avec évidence. La F@brique du Futur ne constitue pas un think tank de plus, mais plutôt un « think network » pour être au plus près du terrain : penser globalement tout en agissant localement ! L'autre idée clé est de considérer que le futur s'imagine d'abord, puis se crée ici et maintenant. L’avenir est l'affaire de chacun de nous et non l'apanage d'experts. La F@brique du Futur constitue ainsi un laboratoire « in vivo » et « in vitro » de détection d'usages émergents provenant de personnes avant-gardistes, au premier rang desquels figurent les créatifs culturels.
En partant ainsi de la base, et en faisant remonter ces aspirations nouvelles vers les équipes de R&D et de conception dans les entreprises et organisations, nul doute qu'il en sortira des concepts davantage en adéquation avec les véritables besoins et désirs des consommateurs et citoyens, contribuant ainsi à faire advenir un monde meilleur.
Cette prise de parole a eu lieu dans le cadre de lesaperosdujeudi "la soirée bouches a oreilles" (à la rencontre des autres) qui a eu lieu le jeudi 22.2 a la Zen factory : www.lesaperosdujeudi.com. Une initiative de pourquoitucours, l'agence des idées.
Internet est un formidable outil pour cibler au mieux et approfondir sa connaissance d’une cible. Il est possible d’analyser les requêtes tapées dans les moteurs de recherches, les mots des blogs…. Les cibles deviennent des conversations et des connexions qu’il est stratégique pour les marques de maîtriser.
Dans l’optique de mieux cibler sur Internet, une démarche préalable d’analyse sur les pratiques et comportements des internautes est particulièrement enrichissante. Et si, déterminer des cibles passe pour une phase importante de tout dispositif de communication, son efficacité est avant tout dépendante de sa cohérence avec un contexte donné du web.
Alors comment être plus efficace sur le net ?
D’abord, il est important d’évaluer l’intérêt que représente pour les internautes le sujet, la marque ou le produit que l’on souhaite promouvoir. Pour ce faire, nous pouvons analyser l’ensemble des requêtes tapées dans les moteurs de recherches et qui se réfèrent à l’univers/marché étudié. Cette étape présente un double intérêt, d’une part cela permet d’évaluer les volumes de recherches et mesurer la tendance naturelle des internautes à rechercher volontairement de l’information. D’autre part, les moteurs de recherche sont des espaces d’expression libre, l’étude de la lexicalisation des mots clefs offre de nombreux enseignements, bien sur dans une démarche de référencement de site web mais aussi dans une optique de choix de termes de communication.
La deuxième étape consiste à évaluer l’état actuel de l’offre de contenu sur le net pour le marché. Très brièvement, il s’agit d’identifier et d’évaluer à la fois la visibilité et la pertinence des contenus mis à disposition sur le web par ses concurrents. On étudie alors d’abord le référencement des sites concurrents mais ensuite aussi, la qualité de l’offre éditoriale et l’interactivité proposée.
Enfin, avec la démocratisation des contenus générés par les internautes, il devient absolument indispensable d’écouter les internautes qui prennent la parole sur le net et dont les contributions sur les blogs, forums, wiki et autres réseaux sociaux… ont un impact direct sur la réputation on-line de la marque. Cibler revient alors à écouter ce qui ce dit sur le web pour identifier d’une part peut être des détracteurs qui parasitent une communication mais surtout ses supporteurs.
Sur Internet, dans une vision contributive, les cibles deviennent alors des conversations et des connexions dont la maîtrise définissent directement l’image et la notoriété d’une marque.
Maintenant, pour partager à mon tour un peu plus que du marketing, voici un petit jeu flash inspirée des livres « Où est Charlie ? » http://www.alanoutten.com/ et là encore, il faut cibler : )
Cette prise de parole a eu lieu dans le cadre de lesaperosdujeudi "la soirée bouches a oreilles" (à la rencontre des autres) qui a eu lieu le jeudi 22.2 a la Zen factory : www.lesaperosdujeudi.com. Une initiative de pourquoitucours, l'agence des idées.
comment il s'appele deja le CR a l'origine de ce spot qui avait été pensé pour la radio a l'origine, pour faire la pub de LOWE paris ? Il est chez BETC now ...
jeremy dumont
L'argument du « made in France »
refait surface
[ 31/01/07 ]
Le message du retour des produits fabriqués dans l'Hexagone passe à nouveau auprès des consommateurs, plus enclins à privilégier la sphère proche.
Dans un grand magasin parisien, la vendeuse du rayon literie cherche ses mots. Pour convaincre cette possible acheteuse d'une couette de choisir un produit plutôt haut de gamme, elle finit par lui expliquer que la marque n'a pas recours à la sous-traitance étrangère et fait fabriquer ses produits uniquement dans l'Hexagone.
Cette scène est symptomatique du grand retour de l'argument « made in France » comme déclencheur de l'acte d'achat.
Selon une étude réalisée cet automne par Ipsos pour le groupement coopératif de lunettes, 60 % des Français estiment que celles sortant d'usines françaises sont de meilleure qualité que les produits venant de l'étranger, et plus de la moitié des personnes interrogées les jugent aussi plus esthétiques. Enfin, six personnes sur dix se disent prêtes à payer un peu plus cher pour cette fabrication, avec un surcoût d'environ 17 %. Moins surprenant, le monde des bijoux s'avère également sensible à l'argument. Mais là, l'action est collective. L'Union française de la bijouterie, de la joaillerie, de l'orfèvrerie, des pierres et des perles (BJOP) a lancé le label d'origine de fabrication « Joaillerie de France », qui garantit que chaque produit y a été monté, serti et poli. Le poinçon spécifique forme d'ailleurs un hexagone. Le bouche-à-oreille Plus globalement, dans l'esprit du consommateur, la notion de « made in France » fait principalement mouche pour les catégories de produits plutôt moyen-haut de gamme. Sur l'entrée, voire le milieu de gamme, le public reste avant tout à la recherche du prix. « En revanche, sur ce créneau moyen-haut de gamme, elle rencontre un véritable écho.
L'argument du « made in France » devrait donc continuer à prendre du poids et gagner en visibilité.
« C'est un croisement entre le retour du local et la prise de conscience de l'usage que l'on peut faire de son pouvoir d'achat. Dans un monde de plus en plus complexe, il s'agit de privilégier la sphère proche et de se demander : à qui je donne mon argent ? » souligne Jérémy Dumont, planneur stratégique et créateur de Pourquoitucours, une structure de conseil en gestion de marque. A l'heure où les experts se réunissent autour du climat, et tandis que les préoccupations environnementales montent parmi la population, une fabrication de proximité peut aussi tirer partie de la réduction des dépenses d'énergie liées au transport et devenir aussi un argument écologique.
CLOTILDE BRIARD pour les echos
Un ziki permet de rassembler sur une seule page web toutes ses informations personnelles, de republier automatiquement tout son contenu publié sur Internet (blog, photos, vidéos, podcasts ..), de regrouper toutes ses différents profils sociaux (Linkedin, Viaduc, OpenBc, 6nergies, Myspace...) et de définir à l’aide de mots-clés sa personnalité, ses centres d’intérêt, ses compétences ou ses talents afin de faciliter la mise en relation avec les autres membres. C’est rapide, simple et gratuit. Chaque membre peut se créer un ziki personnel et/ou le ziki de sa société, puis un ziki groupe (associations, clubs …).
Ziki achète des campagnes publicitaires au nom de ses membres sur Google, Yahoo et MSN. Ainsi lorsqu’une personne vous recherche sur Internet (un ami d’enfance, un ancien collègue, un potentiel recruteur, un partenaire, un client…) un lien redirigeant vers votre ziki apparaît en tête des résultats de recherche.
Ziki est un réseau social qualitatif. Notre objectif est de réunir des personnes qui veulent utiliser un service simple, efficace et gratuit pour être trouvé, gérer leur réseau et découvrir des personnes ayant des intérêts similaires et complémentaires.
Ziki est un réseau social moins anonyme par nature. Ziki s’adresse principalement à ceux qui veulent maîtriser leur image et se promouvoir sur Internet. Grâce aux campagnes publicitaires gratuites pour le nom de nos membres sur Google, Yahoo et MSN afin qu’ils soient trouvés facilement, un ziki peut servir de carte d’identité numérique. De plus, le contenu d’un ziki se met à jour automatiquement sans changer vos habitudes.
Ziki est un réseau social léger. C’est à dire que nous n’imposons pas d’inviter ses amis afin de profiter du service comme la majorité des réseaux sociaux existants. La mise en relation entre les membres est directe et se fait en toute simplicité par rapport aux mots-clés que chacun a utilisé pour se définir.
Ziki est un réseau social ouvert. Nous ne proposons pas encore d’outil de publication mais simplement de syndication. Vous êtes libre de publier votre contenu où vous voulez : pour votre blog (Blogger, Typepad, Msnspaces...), vos photos (Flickr, Fotolog, BubbleShare...), vos vidéos (Youtube, Dailymotion, Vpod.tv...), vos favoris (Del.icio.us, Blogmarks.net, BlinkList...) et vous récupérez automatiquement tout ce contenu sur votre ziki.
Dans cet environnement changeant,
Businessweek propose une liste de livres sur l’innovation
et le design publiés cette année.
Mavericks at work : case studies des managers et des entreprises
qui souhaitent penser et agir différemment : dans un monde assailli
par la peur du risque, la conformité, et la reproduction de la stratégie
des concurrents, Edward Tufte cherche plus profondément du côté
de l’art et de la scnience afin de faire émerger de très vieilles
connections entre la vérité et la beauté.
De Galiléo à Google, Wikinomics prle de Myspace, Second
Life et YouTube…mais aussi de vieilles icones comme IBM,
BMW, Best Buy ainsi que des exemples internationnaux
La liste des livres :
- Designing Interactions by Bill Moggride
- Worldchanging by Alex Steffen
- Payback by James Andrew and Harold Sirkin
- ZAG by Marty Neumeier
- Beautiful Evidence by Edward Tutfe
- Open Business Models by Henry Chesbrough
- Wikinomics by Don Tapscott and Anthony Williams
- Mavericks at Work by Bill Taylor and Polly LaBarre
- Juicing the Orange by Pat Fallon and Fred Senn
- Spectale by David Rockwell and Bruce Mau
jeremy dumont
Lancé fin novembre, ce site référencera les offres commerciales en ligne et hors ligne qui suscitent l'intérêt des internautes. Il se veut une alternative aux comparateurs de prix.
Ni moteur de comparaison de prix, ni site de recommandations d'internautes, ni catalogue d'offres commerciales. Ohmybuzz! est un peu tout cela à la fois. Le site - qui devrait être lancé en France à la fin du mois de novembre - référencera des articles vendus en ligne mais aussi hors ligne. Il mettra en avant ceux autour desquels il y a le plus d'intérêt exprimé, debuzz. Non pas sur la Toile en général, mais sur le site lui-même.
« Nous avons mis au point un algorithme qui fait remonter les articles les plus intéressants, commente Hugues de Musset, cofondateur du site.Nous prenons en compte plusieurs paramètres comme le nombre de clics sur chaque article ou sa rareté. S'il s'agit d'une offre exclusive pour nos utilisateurs, c'est encore mieux. » Mais, impossible d'en savoir plus sur les critères pris en compte, l'équipe désirant garder sa formule secrète.
Plusieurs catégories de produits sont proposées, de « Ordinateurs et mobiles » à « Maison et jardin » en passant par « Vin et nourriture », etc. Sur la page d'accueil apparaissent les articles qui bénéficient du bouche à oreille le plus important, toutes catégories confondues.
Ohmybuzz! ne va pas chercher sur le Web les produits qu'il référence. Ce sont en fait les marchands qui soumettent eux-mêmes leurs offres commerciales. De cette manière, les sites d'e-commerce et les magasins traditionnels peuvent lister leurs articles. Chaque annonce est validée par l'équipe du site avant d'être lancée dans le système. Dans la version bêta non accessible au public, on trouve, par exemple, des jeans Diesel vendus en ligne ou les services d'un jardinier de terrasse à Paris.
« A partir d'un seul endroit, le consommateur connaîtra les offres les plus intéressantes, qu'elles soient dans le monde physique ou en ligne, chez des cybermarchands professionnels ou amateurs comme sur PriceMinister et eBay, ou encore dans les ventes privées », insiste Hugues de Musset. Pour ces dernières, Ohmybuzz! fait même parfois office de parrain permettant ainsi à ses utilisateurs d'accéder à ces espaces réservés.
Les commerçants peuvent faire remonter les produits
A l'intérêt exprimé par les visiteurs du site, qui permettra à des produits de bien figurer sur le site, s'ajoutera un système de mise en avant par les commerçants eux-mêmes. Il s'agit d'un service payant, le référencement, lui, étant à la base gratuit. Les vendeurs auront la possibilité d'accroître la notoriété d'un produit en lui ajoutant plus ou moins de points de crédit. Ceux-ci coûtent entre 15 et 25 cents, le clic. C'est-à-dire que la somme que devra débourser le vendeur sera ce tarif multiplié par le nombre d'internautes ayant cliqué sur l'offre.
Pour autant, à en croire l'équipe d'Ohmybuzz!, ces crédits, qui permettront à un article de remonter artificiellement dans le classement, ne pervertiraient pas le système.« Cela donne plus de visibilité, mais ne permet pas de gagner la première place. Il existe des pondérations, comme les recommandations des internautes qui sont appelés à se prononcer sur les offres. Sans mettre d'argent, un petit marchand traditionnel peut très bien arriver à la première place du classement », assure Hugues de Musset.
Les internautes pourront également ajouter des commentaires sur les offres. Ceux de langue française pourront le faire dès la fin du mois, les Américains devront attendre le début janvier 2007 pour bénéficier d'une version qui leur sera dédiée.
l'express
Une belle initiative de Catherine, une noble cause et un dispositif attrayant rempli de buzz.